J'ai pleuré devant mes boss, que faire?
Temps de lecture: 6 min S’il vous est déjà arrivé de pleurer au travail, vous vous êtes sans doute senti mortifié –et vous ne vous êtes probablement pas rendu compte à quel point vous n’étiez pas seul à vivre ce genre de situation. Si nous avons tendance à penser que les larmes n’ont pas leur place au bureau, la réalité est qu’un tas de gens pleurent au travail. Ce qui ne devrait pas être si surprenant que ça. Le travail peut être frustrant, souvent plein de déceptions et d’émotions fortes, et une foule de personnes sont extrêmement investies émotionnellement dans leur carrière. Or, on nous a aussi inculqué que faire preuve de «professionnalisme» signifiait ne pas montrer certains types d’émotions, et fondre en larmes peut sembler en totale dissonance avec l’image calme et lisse que la plupart des gens veulent donner d’eux-mêmes. «Toute notre équipe est submergée de travail. La semaine dernière, une erreur a été commise dans un projet, avec des conséquences graves. Larmes chroniques
La pédagogie Steiner
Je voudrais partager ma surprise (et ma colère) quand j’ai découvert qui était la nouvelle ministre de la culture. Je ne connais pas Françoise Nyssen, mais je connais très bien la pédagogie Steiner-Waldorf enseignée dans l’école qu’elle a fondée à Arles : "l’école domaine du possible". Des articles que j’ai lus, je ne remets pas en cause sa bonne volonté, mais malheureusement le chemin de l’enfer est justement pavé de bonne volonté ! Les disciples de l’anthroposophie sont très doués pour se faufiler partout, vous faire douter ! Mes neveux (dont je suis très proche et que j’ai aidé à élever après le décès de l’épouse de mon frère) ont fréquenté pendant plusieurs années une école Steiner dans l’Est de la France. Tout est question de physique. De fait, les enfants accumulent dès le départ un retard assez important. Il y aussi une forme de chantage quasi-affectif en direction des parents. S’il vous plaît, partagez ce témoignage pour prévenir les gens de ces dérives !
Trouver son « ikigaï » personnel : la course au bonheur total ?
‘Ikigaï’ (生き甲斐) ? Voici un mot japonais que la plupart des habitants de d’Okinawa, île du sud du pays connue pour ses nombreux centenaires, connaissent si bien qu’ils sont capables d’en appliquer les principes à la perfection. Trouver son ‘ikigaï’ signifie découvrir sa passion, sa raison de vivre, une occupation utile au reste du monde et pour laquelle nous avons du talent, c’est-à-dire au moins une chose qui nous fait dire « je suis heureux d’être en vie sur Terre et j’ai bien fait de venir sur cette planète ! ». À la source de la complétude La plus grande concentration de centenaires et de personnes qui respirent la joie de vivre se trouve sur l’île japonaise d’Okinawa, en mer de Chine orientale, d’après de récentes études. Ce cas particulier invite l’observation à se poser quelques questions : l’essentiel n’est-il pas d’aimer sa vie et d’apporter en même temps sa contribution personnelle au monde qui nous entoure ? Un retour aux sources dans l’air du temps Source :
Au Danemark, les forêts sont des salles de classe
Armés chacun d’une petite scie, Bertram et Hjalte, âgés tous deux de 4 ans, entament leur après-midi d’école en s’attaquant à une planche en bois. Ils l’ont calée dans un étau, au coin d’une épaisse table carrée, à leur hauteur. Debout, ils ont ôté leurs moufles et travaillent, concentrés. Aucun adulte ne semble les encadrer. L’affaire paraît d’abord laborieuse. Difficile d’imaginer qu’ils viendront à bout de leur projet. Nous sommes à l’école maternelle Skoven, non loin de la petite ville d’Holeby, sur l’île de Lolland, au Danemark. Outre une petite maison jaune à colombages et en toit de chaume, on y recense de nombreuses constructions en bois, fabriquées au fil des années : un atelier de bricolage, des bancs, un foyer, un four à pain, des totems sculptés et une cabane pour la sieste des plus jeunes. En cette journée de début mars, le ciel est dégagé, la température dépasse à peine zéro degré et le sol tourne à la gadoue.
De l'art d'entamer la conversation avec une personne inconnue
Temps de lecture: 5 min Lorsque l'on rencontre une personne pour la première fois et que la conversation patine, quels sujets ou questions permettent de la faire décoller? On a parfois bien du mal à trouver quelque chose d’intéressant à dire au-delà des banalités d’usage. Boisson et météo La prochaine fois que vous vous trouverez dans cette situation gênante, essayez cette technique éprouvée: «Je vais me resservir; vous voulez boire quelque chose?». Ça ne rate jamais. Le chemin du bar –ou du frigo– vous permettra sans doute d’embrayer sur des bavardages plus fertiles, et vous pourrez vous contenter de donner sa boisson à votre interlocuteur ou interlocutrice sans reprendre la conversation: l’art d’éconduire une personne tout en s’attirant ses bonnes grâces. Attention: loin de moi l’idée de condamner en bloc les bredouillis météorologiques. Distinctions sociales Péché originel Traçons désormais la réciproque de notre tangente. Il faut savoir que «Qu’est-ce que vous faites, dans la vie?»
La méthode Montessori dans les écoles musulmanes
On dénombre 22 000 écoles Montessori dans le monde. Du nom de Maria Montessori, première femme médecin de l’Italie, cette méthode d’enseignement propose une pédagogie alternative qui considère que chaque enfant doit avancer à son rythme. Maria Montessori, qui fera ses premières recherches auprès d’enfants malades mentaux, ouvre sa première « Casa dei Bambini » (Maison des enfants) en 1907, où elle prend en charge des enfants défavorisés de Rome. Maria Montessori. « Le système classique ne sort que des enfants moyens » Lundi 1er septembre : c’est jour de rentrée pour les 75 élèves des Ateliers Montessori. Un système sans notations Outre le recours à un mode d’enseignement alternatif, un éveil spirituel facultatif est proposé aux élèves, qui ont également la chance d’être mis face à de l’expérimentation, notamment avec des ateliers de botanique et d’être initiés aux langues (anglais et arabe) dès le plus jeune âge Le jardin botanique de l'école de L'Arc en ciel. Des financements fragiles
Ce qui rend les salariés heureux au travail
Temps de lecture: 6 min L’enquête DARES que nous avons exploitée est très riche: elle comporte 516 questions posées à plus de 33.600 répondants. La première étape de notre travail a été de faire le tri entre les questions «objectives» (horaires, rémunération, exposition aux nuisances…) et « subjectives » (tensions avec les collègues ou la hiérarchie, sentiment d’être plus ou moins bien payé…). Parmi les enseignements à retenir, on constate que la qualité de la relation hiérarchique conserve une importance primordiale dans le ressenti des travailleurs. Par ailleurs, certaines professions sont exposées à des niveaux de contraintes très élevés. Enfin, il s’avère que le sentiment de «bonheur au travail», très complexe, relève d’une multiplicité de dimensions tant sociologiques qu’économiques. Travailleurs immigrés et accidentés du travail: des profils à part Si l’on s’en tient aux conditions de travail objectives, huit profils types de travailleurs se dessinent.
Bill Gates is surprisingly strict about his kids' tech use — and it should be a red flag for the rest of us