8€/mois pour du t-shirt. Il photographie le travail des enfants…
On estime que 168 millions d’enfants travaillent actuellement dans le monde (source). Même si c’est moitié moins qu’en 2000, c’est encore beaucoup trop. Certains d’entre eux réalisent des travaux particulièrement dangereux sans la moindre protection légale. “Pour abolir le travail des enfants, vous devez le rendre visible.“, c’est l’adage de GMB Akash, un photographe bangladais concerné par les injustices subies par les enfants de son pays. Abolir ne suffit pourtant pas toujours. « Si mes images mettent en lumière des réalités terrifiantes que des millions d’enfants doivent affronter chaque jour, alors j’ai accompli mon travail. Voici une petite sélection de ses clichés qui laissent sans voix.
Le scandale du travail des enfants - [source] [Presse]| RetroNews-BnF
Entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle, la Révolution industrielle change profondément les conditions de travail des enfants. Ceux-ci travaillaient déjà dans les sociétés traditionnelles, mais, dans les usines, les enfants ouvriers commencent plus jeunes et travaillent en moyenne davantage, parfois jusqu'à 16 heures par jour. Et ce, dans des emplois qui consistent le plus souvent en tâches répétitives et monotones, parfois dangereuses (comme dans les mines), et pour un salaire dérisoire. Au début des années 1840, on compte jusqu’à 143 000 enfants dans la grande industrie, dont 93 000 dans le seul secteur textile. "Messieurs, nous venons vous rendre compte de l'examen que nous avons fait du projet de loi présenté par le gouvernement, afin de protéger les enfants employés dans les manufactures, les usines et les ateliers. Et d'expliquer que dans certaines filatures, les enfants commencent à travailler dès six ans. Le rapport Villermé, la même année, enfonce le clou. "M.
Images of London history show the city's evolution over 2,000 years
La Relève et La Peste
Une enquête menée par Amnesty international dévoile que de grandes marques, telles que Renault, Microsoft ou encore BMW, ne font pas vérifier leurs chaines d’approvisionnement de cobalt, matière nécessaire à la conception de batterie. Des conditions de travail obscures Il s’est écoulé deux ans depuis les premières révélations d’Amnesty international, mettant en lumière que les batteries utilisées par les grandes marques étaient susceptibles d’être liées au travail des enfants en République démocratique du Congo (RDC). En effet, le cobalt est un composant essentiel des batteries lithium-ion, et plus de la moitié de ce qui est extrait à travers le monde provient de la République démocratique du Congo. Les informations rassemblées à l’époque montrent que, des enfants et adultes extraient le cobalt dans des conditions très dangereuses et néfastes. Aucune entreprise citée dans le rapport n’a pris de mesures suffisantes pour se conformer aux normes internationales selon l’organisation.
Le Petit Parisien. Supplément littéraire illustré | 1889-07-14 | Gallica
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Quelle est la différence entre l’Angleterre, le Royaume-Uni et la Grande-Bretagne ?
La Grande-Bretagne est le nom de l’île formée par les territoires d’Angleterre, du Pays de Galles et d’Écosse. C’est la plus grande île d’Europe et la 9e plus grande île au monde. Le Royaume-Uni (United Kingdom) est un État composé de 4 nations d’origine : L’Angleterre (England), dont la capitale est Londres (qui est aussi la capitale du Royaume-Uni) L’Écosse (Scotland), dont la capitale est Édimbourg Le pays de Galles (Wales), dont la capitale est Cardiff L’Irlande du Nord (Northern Ireland), dont la capitale est Belfast Le Royaume-Uni : l’Angleterre, l’Écosse, le pays de Galles et l’Irlande du Nord Les habitants du Royaume-Uni sont appelés les Britanniques. Le "Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande" est né en 1801, par l’union des royaumes de Grande-Bretagne et d’Irlande. Après la sécession de la majeure partie de l’Irlande en 1922, le titre officiel du Royaume-Uni est devenu "Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord".
Enfants esclaves de Zambie | ARTE Reportage
En Zambie, pays d’Afrique Australe où 80 % de la population vit sous le seuil de pauvreté, l’éducation est un luxe… que beaucoup de familles ne peuvent s’offrir. Pressés par le besoin d’argent et le nombre de bouches à nourrir, les parents envoient leurs enfants au travail. Dans le district de Mukushi, à 300 kilomètres au nord-est de la capitale Lusaka, une région où les habitants vivent de l’agriculture, peu d’enfants profitent de l’école. Sur 400 élèves, une centaine manque à l’appel. Appâtés par la faim et quelques piécettes, beaucoup d’entre eux travaillent dans des fermes, occupés à récolter les fruits, les légumes, le coton.
Le Petit journal. Supplément du dimanche | 1906-04-01 | Gallica
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The Strike 1886