Explosions à Beyrouth : quel apport des technologies géospatiales pour comprendre et gérer la catastrophe ? - Histoire-géographie - Éduscol. Le blog « Cartographie(s) numérique(s) » a compilé les nombreuses productions cartographiques qui ont tâché d’analyser les explosions de Beyrouth.
Les cartographies nombreuses des explosions et de leurs effets à Beyrouth ont donné à voir les multiples technologies géospatiales qui existent. Elles ont été compilées par le blog « Cartographie(s) numérique(s) » dans un article spécifique dédié à cet événement. Données vidéo, images satellitaires d’avant et après la catastrophe ont permis la production de très nombreuses analyses visuelles. Sont également indiquées des ressources pédagogiques pour (faire) étudier l’événement et ses conséquences.
Des études de cas peuvent ainsi être construites sur la base de cet exemple et à partir de ces nombreuses ressources à propos des risques. Autres actualités en lien : Voir aussi sur le portail : Se former / Actualiser et approfondir ses connaissances / Par thème en géographie / Enseigner le développement durable / Les risques. Cartographie des risques. (58) Un volcan meurtrier comme ressource? □ - Gérer le risque grâce à la géo - Boussole x Géoconfluences.
Australie - « Le continent brûlé » face aux incendies de forêts. Australie. « Le continent brûlé » face aux incendies de forêts : l’Australie est-elle réellement un « lucky country » ?
« C’est le climat qui fait la spécificité du milieu australien. L’Australie se trouve en effet, par rapport à l’équateur, dans le même type de relation que le Sahara dans l’hémisphère nord. Elle est tout entière, ou presque, prise dans un « piège climatique », aggravé encore par la massivité du continent et la topographie, qui aligne les reliefs les plus élevés le long des côtes, empêchant l’humidité de pénétrer à l’intérieur.
Une conséquence du réchauffement climatique, mais attention aux fausses images ! Pour Joëlle Zask, auteure de l'ouvrage "Quand la forêt brûle.
Penser la nouvelle catastrophe écologique", les feux géants qui se multiplient dans le monde ne sont pas des phénomènes naturels. « C’est bien le réchauffement climatique qui nourrit ces incendies et maintenant que ces derniers sont rentrés dans les villes, on ne peut plus en faire abstraction... Nous ne vivons pas seulement dans l’Anthropocène mais dans le Pyrocène. Le feu est responsable d’une accélération du réchauffement climatique » (voir son interview sur le site Reporterre). Alors que les feux se poursuivent sur l’île-continent, un phénomène naturel soulève des préoccupations : la fumée dégagée par les feux de brousse provoque des orages, qui risquent eux-mêmes de déclencher de nouveaux feux. #Pyrocumulus Courrier inter (@courrierinter) January 2, 2020 — Le Grand Continent (@GEG_lgc) January 11, 2020 — Michael Brown (@MJIBrown) January 9, 2020 Il ne vous aura pas échappé que ça brûle fort en Australie.
Articles connexes. Une conséquence du réchauffement climatique, mais attention aux fausses images ! Incendie de l'usine Lubrizol de Rouen, conséquences multiscalaires d'un accident industriel. - Lettres Histoire Géographie en Lycée Professionnel. Comment les outils du géographe, en l’occurrence le croquis de synthèse et la carte narrative, nous permettent-ils de nous approprier avec les élèves une actualité récente et porteuse de nombreux enjeux ?
Le sinistre de l’usine pétrochimique Lubrizol à Rouen pourra être abordé au lycée professionnel en CAP dans le sujet d’étude « Les sociétés face au risque », dans le nouveau programme de seconde dans le thème « des réseaux de production et d’échanges mondialisés », mais également dans les projets de programmes de terminale, dans le thème « Les sociétés et les risques : anticiper, réagir, se coordonner et s’adapter ». Et il est encore de temps de mettre à jour nos séquences de Première (firmes transnationales, mondialisation) et de Terminale (acteurs et enjeux de l’aménagement des territoires)... 1.
Le site Lubrizol ; La zone de PPRT (500m) ; La zone impactée par le panache de fumée en fonction de la carte des vents. 2. Dix ans après Xynthia, apprendre à vivre avec les risques côtiers. Une résidence sur l’île d’Oléron ou à Lacanau avec vue sur l’océan… Un rêve de toute une vie, qui pourrait vite tourner au cauchemar dans les prochaines décennies.
Dix ans après la tempête Xynthia qui a meurtri la côte Atlantique, la bataille contre les risques de submersion et d’érosion du trait de côte semble perdue d’avance. « Depuis une quarantaine d’années, les services de l’Etat ou bien les collectivités les plus touchées ont tout tenté pour fixer le trait de côte avec de l’ingénierie lourde [digues], se protéger contre la mer ou ralentir le processus d’érosion, selon Caroline Lummert, ingénieure d’études à l’université de Bretagne occidentale. On peut jouer avec les forces de la nature, gagner peut-être encore quinze ou vingt ans. Géographie urbaine et risque industriel. Le site Métro politiques propos un article de fond sur l’accident de l’usine Lubrizol de Rouen, montrant que l’impact de l’incendie a été aggravé par la décentralisation des années 1980 et la volonté de réaménagement des berges de la Seine.
WordPress: J'aime chargement… Sur le même thème Une murder party géographique en 3e ! L'expérience, menée par Alexandra Berguig du collège Françoise Dolto de L’Aigle, est relatée ici. Révision PPRn 2019 / Prévention des risques / Environnement et prévention des risques / Action de l'Etat / Accueil - L'Etat à Saint-Barthélemy et Saint-Martin. Changement climatique : cinq îles des Salomon disparues sous les eaux du Pacifique. Cinq îles des Salomon, dans le Pacifique, ont disparu en raison de la montée des eaux et de l’érosion côtière, selon une étude scientifique australienne publiée samedi 7 mai.
Six autres sont fortement touchées. Les cinq îles qui ont totalement disparu (Kakatina, Kale, Rapita, Rehana et Zollies) étaient des îles non habitées mais porteuses de végétation, d’une superficie allant jusqu’à 5 hectares et sur lesquels les pêcheurs faisaient parfois escale. « Il ne s’agit pas seulement de petits îlots sablonneux », a expliqué Simon Albert, l’un des scientifiques auteurs de l’étude, à l’Agence France-Presse. Sur les six autres îles touchées, l’érosion de la côte a précipité une dizaine de maisons dans la mer depuis cinq ans et a obligé deux villages à se relocaliser plus à l’intérieur. Lire aussi Les océans montent à un rythme inédit depuis 28 siècles.