Managers, soyez un levier pour le mieux vivre dans votre entreprise. Le manager est aujourd'hui un des leviers principal pour accéder au bien-être en entreprise.
Le manager est au cœur du mieux-vivre en entreprise C’est lui qui oriente les collaborateurs au quotidien, donne du sens aux missions réalisées, valorise le travail accompli, insuffle un esprit d’équipe et soutient en cas de difficultés.Ses actions et ses comportements ont un impact considérable sur la motivation, l’enthousiasme et le bien-être des collaborateurs de son équipe. Il en est certes un acteur clé mais, pour exercer pleinement sa mission, il est également dépendant de son environnement et des moyens donnés. Il a besoin autour de lui d’une organisation claire, de comprendre le sens de sa mission, d’être lui-même reconnu et valorisé et d’avoir des objectifs ambitieux, mais également réalistes. Au-delà de la responsabilité du manager, au final c’est bien la direction et même les dirigeants qui sont responsables du management de l’entreprise.
Bien être au travail: un engagement managérial et social - hp - Développement personnel. ·Le harcèlement au travail Beaucoup de salariés déclarent être l’objet d’un comportement systématiquement hostile de la part d’une ou plusieurs personnes dans leur travail.
Les femmes sont plus nombreuses que les hommes à déclarer subir au moins un comportement hostile. La cause de ce harcèlement et de cette violence serait corrélée à l’importance des contraintes hiérarchiques au travail plus ou moins intense. ·La perte de repères Le sentiment de perte de repères et d’envieest souvent qualifié de « perte de sens». Beaucoup de salariés ont l’impression, à juste titre ou non d’être des « variables d’ajustement » à des logiques économiques et politiques qui leur échappent. Ils vivent une forme de dépossession de leur environnement de travail qu’ils croyaient partagé. Les grandes « familles » de facteurs de mal-être ont fait l’objet de nombreux travaux d’experts. Comportement et directivité. L’autorité sous-entend le pouvoir, le pouvoir de commander et de se faire obéir.
L’autorité ne tolère pas la contradiction. C’est en tout cas ce que nous dit le dictionnaire et il semble alors légitime de se demander si une attitude autoritaire est adaptée au management. En effet, si l’on se réfère à ce que nous dit la théorie de l’engagement, une personne n’est jamais aussi engagée que si elle a, ou si elle suppose en tout cas qu’elle a agit selon son libre arbitre. Vu sous cet angle, l’autorité semble agir en sens inverse puisque le collaborateur n’aurait d’autre choix que d’obéir et ne serait par conséquent pas engagé sur l’action qui lui est imposée.
A court terme et dans certaines situations d’urgences ou de crises, une telle attitude pourrait avoir des effets bénéfiques, mais qu’en est-il des situations courantes de management ? Blog Management de la Santé au travail et des Ressources Humaines. Sur les réseaux sociaux, dans le monde du conseil et parfois même dans celui des entreprises, le management bienveillant est souvent associé au management par le bonheur.
Récemment il est même apparu dans l’approche du « feelgood management », comme s’il ne se suffisait plus à lui-même. Ces témoignages et approches empiriques ne sont généralement pas étayés par des travaux et des démarches scientifiques mais ils émanent de pratiques professionnelles a priori testées par leurs partisans. Par conséquent, au lieu de critiquer sans mesure ces approches, je préfère les analyser plus attentivement et révéler ainsi leur part d’ombre et de lumière pour voir ce qu’elles apportent ou enlèvent au concept de management bienveillant auquel je crois profondément. Un management bienveillant « has been »? Bien-être au travail : une affaire de management. Bien-être au travail, lutte contre le stress, deux notions loin d’être nouvelles : depuis une quinzaine d’années, elles sont pleinement intégrées par les DRH.
La nouveauté est dans la façon de les appréhender : cet élément clé de toute politique salariale réussie est devenu un levier stratégique impactant fortement les résultats économiques. Les managers, chevilles ouvrières des transformations, sont une fois encore au cœur de ces nouveaux enjeux.Le bien-être au travail n'est plus un simple gadget, mis en avant par les entreprises pour mieux attirer les nouveaux talents, au même titre que l'implantation d'une salle de sport ou la mise en place d'open-spaces aux couleurs acidulées. « Bien-être et efficacité au travail » : trois ans après. Comment prévenir la progression des risques psychosociaux et améliorer les conditions de travail ?
Il y a tout juste trois ans, le 17 février 2010, Henri Lachmann, Christian Larose et Muriel Pénicaud remettaient leur rapport « Bien-être et efficacité au travail ; 10 propositions pour améliorer la santé psychologique au travail », au premier ministre François Fillon. Celui-ci déclara en réponse : « je veux, au travers de cette mission, poser les bases d'une profonde rénovation de la manière dont les entreprises prennent en compte les risques psychosociaux dans leur politique de prévention ». Qu'en est-il aujourd'hui ? D'emblée, les trois auteurs situaient leur travail dans la filiation de la responsabilité sociale des entreprises (RSE) : « les dix propositions qui suivent sont le reflet (...) d'une conviction commune, celle que le sujet de la santé au travail réconcilie le social et l'économique. (...)
Le rapport concentrait ses propositions dans cinq domaines. Les managers jouent un rôle central dans le bien-être des employés. Vous voulez des employés heureux et motivés qui encensent votre entreprise ?
Rôle et devoirs du manager dans la prévention des risques psychosociaux. Vous entendez de plus en plus parler de risques psychosociaux (RPS) sans savoir exactement ce dont il s’agit ?
En tant que manager, vous avez un rôle dans la prévention de ces risques.Connaissez-vous vos responsabilités ?