Turkey violence: How dangerous is instability? Image copyright AFP Turkey's biggest cities have witnessed a spate of deadly bombings and a bloody attempted coup this year.
For so long a beacon of stability between Europe and the Middle East, Turkey has entered a period of high tension. It has long fought Kurdish militants in its restive east. Now it is trying to prevent Islamist militant violence spreading up from Syria and is cracking down on thousands of people suspected of supporting the failed coup.
La Turquie peut-elle couper les ponts avec l'Occident? Quel jeu joue la Turquie?
Après avoir chassé le groupe Etat islamique (EI) de la ville de Djarabulus en Syrie, l'artillerie turque a bombardé des combattants kurdes syriens du PYD, considérés par les Etats-Unis comme leur meilleur atout dans la lutte contre Daech. Cette initiative intervient alors que la Turquie semble rebattre les cartes de ses relations diplomatiques. Turquie : « Ce qui frappe, c’est l’improvisation des putschistes » Chroniqueur au quotidien de gauche laïc Cumhuriyet, Ahmet Insel, professeur émérite à l’université Galatasaray, a longtemps dirigé Birikim, l’une des plus prestigieuses revues intellectuelle turque.
Il est l’auteur La nouvelle Turquie d’Erdogan (La Découverte). Que sait-on aujourd’hui des auteurs de la tentative de coup d’Etat ? Une partie des présumés cerveaux du « coup » ont déjà été arrêtés. Parmi eux, un ancien chef des forces aériennes, Akin Öztürk, ou un ancien conseiller juridique de l’état-major, Muharrem Köse. Ils sont accusés d’appartenir aux réseaux de la confrérie islamiste de Fetullah Gülen qui a été longtemps l’alliée d’Erdogan pour asseoir son pouvoir et infiltrer l’appareil de l’Etat avant de devenir son plus farouche adversaire. Mais parmi les quelque 2 839 officiers et soldats arrêtés le 16 juillet, on trouve de tout. Turquie : jusqu'où ira Erdogan ? Turquie. L’heure des purges a commencé. Au lendemain du coup d’Etat avorté, une violente répression s’abat sur les militaires et leurs soutiens présumés.
Dans la ligne de mire d’Ankara, un homme, refugié aux Etats-Unis : Fetullah Gülen. Après le putsch avorté, l’heure est aux célébrations pour les partisans du président Recep Erdogan en Turquie. Mais aussi aux règlements de comptes. Les réseaux sociaux abondent désormais d’images, certaines difficilement soutenables, de scènes de violence à l’égard des militaires – souvent de jeunes conscrits : battus, humiliés et parfois lynchés par les partisans du gouvernement appuyés par les forces de sécurité restées loyales. Turquie : "Après ce putsch, la contestation sera impossible" Paru dans leJDD Des supporteurs d'Erdogan samedi place Taksim .
(Reuters) Comment une partie de l'armée en est-elle arrivée au coup d'État? D'abord, parce qu'il y a eu un précédent. What's Going On in Turkey? Here’s what we know Monday:
Erdogan promised to bring true democracy to Turkey. Instead, he’s held it hostage — Quartz. June 23, Year of Mossack Fonseca Tax Solutions Neville Smethwick wakes early and leaps from bed to draw his curtains onto a world of birdsong, bunting and beer tents.
He hums to himself as he dresses, pulling on breeches, bellpads, a baldric, clogs, his cherished silk-trimmed boater, his tatter-coat. Turquie : les clés pour comprendre le putsch avorté. VIDÉO - Des milliers de personnes ont été arrêtées à travers la Turquie pour leur soutien présumé à la tentative de putsch dans ce qui s'apparente à une vaste purge, suscitant de fermes mises en garde de l'étranger.
Le Figaro fait le point. • Quelle est la situation ce dimanche en Turquie? Après le coup d'État militaire avorté de vendredi soir, qui a fait au moins 290 morts à Ankara et Istanbul, une purge a été lancée. Des centaines de généraux, juges et procureurs ont été arrêtés pour leur soutien présumé à la tentative de renversement du régime, dans ce qui a été qualifié de «grand ménage» par le ministre de la Justice, Bekir Bozdag.
Selon lui, 6000 personnes sont en garde à vue. Units of Turkey’s military received scant support as they attempted to challenge the government. "La Turquie a le choix entre une dictature militaire et une dictature civile" Alors que la tentative de coup militaire est définitivement matée en Turquie, le politologue et écrivain Cengiz Aktar, dénonce la chasse aux sorcières menée par le régime du président Erdogan et s'inquiète pour l'avenir de son pays destiné, redoute-t-il, à vivre sous un joug de plus en plus fort.
Que s'est-il réellement passé en Turquie ces derniers jours? Beaucoup d'interrogations demeurent... - Il est clair qu'il y avait des velléités interventionnistes des militaires. Turquie : l'échec du putsch, une réussite islamiste. Par Farhat Othman.
Ne l’oublions pas ! Le régime turc — ou plus exactement l’héritage de la laïcité kémaliste — est placé sous la férule de l’institution militaire qui en est garante. Et celle-ci ne peut échapper à la vigilance de l’OTAN dont la Turquie est membre. Defeating the coup in Turkey won’t lead to more democracy. Rogue officers of Turkey’s military declared martial law and attempted to overthrow the government of President Recep Tayyip Erdogan overnight, but Erdogan a few hours later said his government is in control. The fate of Turkey is a test for the world Turquie : Fethullah Gülen, l'ancien allié d'Erdogan devenu ennemi public numéro un. Coup d'Etat manqué en Turquie : le bilan chiffré de la purge menée par Erdogan. Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, avait prévenu, après le coup d'Etat manqué du 15 juillet : "Nous allons continuer d’éliminer le virus de toutes les institutions étatiques".
Le "virus" ? Fettulah Gülen, ennemi juré d'Erdogan accusé d'avoir orchestré le putsch depuis les Etats-Unis, et ses partisans. Et le remède au "virus" est radical : une purge d'environ 50 000 soldats, juges, policiers, universitaires, qui ont été suspendus, interpellés ou inculpés. Le Premier ministre turc assure que chacun est sanctionné dans le cadre de la loi. Mais les arrestations se font sur la base de listes, et inutile d'espérer voir un avocat. Turquie : le président Erdogan instaure l’état d’urgence pour trois mois.
Cinq jours après une tentative de coup d’état manquée, le président turc a annoncé, mercredi 20 juillet au soir, l’instauration de l’état d’urgence pour trois mois en Turquie. Cela était « nécessaire pour éradiquer rapidement tous les éléments de l’organisation terroriste impliquée dans la tentative de coup d’Etat », a justifié Recep Tayyip Erdogan, en référence aux réseaux du prédicateur Fethullah Gülen, un ancien de ses proches devenu sa bête noire, qu’il a accusé d’avoir été l’instigateur du putsch.
Ce dernier, depuis son exil aux Etats-Unis, a formellement démenti toute implication. Lire le portrait : Qui est Fethullah Gülen, accusé par le pouvoir d’avoir initié le coup d’Etat en Turquie ? Le coup d’Etat « n’est peut-être pas fini » en Turquie, a aussi averti M. Erdogan. . « Nous n’avons jamais fait aucun compromis sur la démocratie, et nous n’en ferons jamais », a répondu M. Turkey temporarily suspends European Convention on Human Rights.
Turquie. Erdogan derrière le coup d’Etat ? La riposte du président turc après le putsch avorté en Turquie est d’une telle envergure qu’elle sème le doute : et si Recep Tayyip Erdogan avait monté un faux coup d’Etat pour faire le ménage parmi ses opposants ? Depuis le dimanche 17 juillet, à la suite de l’échec du putsch mené par une partie de l’armée en Turquie, Recep Tayyip Erdogan a lancé une vaste opération pour reprendre en main le pays. Selon le quotidien algérien El-Watan, les deux jours qui ont suivi le coup d’Etat ont vu 6 000 arrestations dans l’armée, 104 putschistes tués et 2 745 juges démis de leurs fonctions. Le gouvernement a également annoncé un possible rétablissement de la peine de mort, abolie en 2004. (5) Turquie, un putsch qui en cachait un autre. Soldats battus ou décapités par les bandes d’islamistes et de Loups gris appelés à la rescousse par le pouvoir ; purge massive non seulement de l’armée – ce qui pouvait sembler normal –, mais aussi – plus déroutant – de la justice, de la police, de l’université ; interdiction de sortie du territoire pour les fonctionnaires ; promesse de rétablissement de la peine de mort… Tout cela indique à l’inverse que le pays s’enfonce dans l’arbitraire, et de quelle façon Erdogan entend faire fructifier cette occasion – ce «don de Dieu», selon ses propres termes.
Alors, que s’est-il passé au juste ? Turquie, la crise permanente comme outil de domination. Il existe une perception populaire en Turquie : l’actualité du pays va bien plus vite que dans les autres contrées du monde et une crise politique ne fait jamais de vieux os, elle est immédiatement remplacée par une autre. Le soir du 15 juillet 2016, une frange de l’armée a tenté un coup d’État militaire contre le pouvoir islamiste et autoritaire de Recep Tayyip Erdoğan, déclenchant une nouvelle période d’incertitude tant dans les implications politiques et militaires que dans ses conséquences sociales et gouvernementales.
À l’heure où ces lignes sont écrites, il est encore trop tôt pour une analyse fine. Un coup d’État (fût-ce raté) est un fait social total. Il possède des dimensions sociologiques, politiques, militaires, techniques, stratégiques et diplomatiques. Les explications devront être affinées dans les mois voire les années à venir. Turquie : la chasse aux gülénistes passe aussi par l'Éducation nationale. The Foreign Policy Implications of Turkey’s Attempted Coup. (20+) La Turquie fonce tout droit vers la crise économique. Des images de chars dans les rues, des chasseurs survolant Istanbul et Ankara, des dizaines de milliers de suspects menottés et traînés devant des tribunaux et des foules vengeresses encouragées par le régime martial d’Erdogan.
Une semaine après le putsch militaire avorté et la purge des institutions qui a suivi, la tension se fait chaque jour un peu plus forte du côté de l’économie. Qu’ils soient nationaux ou internationaux, les investisseurs redoutent le pire : une situation politique de plus en plus chaotique. Sans attendre un hypothétique retour à la normale, nombre d’entre eux ont déjà préféré récupérer leurs capitaux, notamment du côté des investissements en Bourse.
Cette dernière a plongé de plus 15% en moins de dix jours. Certes, il est encore trop tôt pour tracer avec certitude le scénario catastrophe qui pourrait mettre à genoux l’économie d’un pays qui a connu une croissance de 4% en 2015. The coup conundrum. Après la Turquie, les coups d'Etat militaires ont-ils encore un avenir ? Le putsch a fait pschitt. Lancé avant la nuit tombée, vendredi 15 juillet, le coup d'Etat militaire en Turquie n'a pas vu le soleil se lever sur les eaux du détroit du Bosphore. Un énième échec. Car, depuis quelques années, l'issue des pronunciamiento est plus hasardeuse que jamais pour les conspirateurs. Les coups d'Etat sont-ils appelés à disparaître ? Ce que disent les chiffres Deux chercheurs américains, Jonathan M. Un inventaire délicat. En Turquie, la purge gagne les milieux d’affaires - La Croix.
Un mois après le putsch raté du 15 juillet, la saison des purges et des arrestations se poursuit en Turquie. Après la fonction publique, l’armée et les établissements d’enseignement, ce sont désormais les milieux d’affaires qui sont dans le viseur du pouvoir turc. Interviewé par la chaîne d’État TRT, le premier ministre Binali Yildirim a rendu public mercredi 17 août les derniers résultats du « nettoyage » des « éléments terroristes », réputés proches de l’imam Fethullah Gülen, cerveau présumé du coup d’État militaire raté du 15 juillet. Près de 80 000 fonctionnaires ont été suspendus de l’administration publique ; plus de 5 000 ont été licenciés ; sur les 40 000 personnes arrêtées à travers le pays, plus de 20 000 ont été placées en détention.
Par ailleurs, 5 000 suspects supplémentaires sont toujours en garde à vue, un régime qui peut être prolongé durant trente jours du fait de l’état d’urgence. Turkey coup: instability puts at risk war against Islamic State. As it happened: the failed Turkish coup Washington: That noise heard overnight on Friday was the sound of jaws hitting desks in NATO bunkers either side of the Atlantic, as the uncertain fate of Turkish President Recep Tayyip Erdogan posed threats to the US-led war against the so-called Islamic State, and to Europe's jury-rigged effort to staunch the flood of war refugees to the continent.