Et si la décentralisation n'avait pas que du bon? Un contrat pour développer le potentiel touristique du Sud Ardennes.
Le Canal Seine Nord Europe rapport final 28 novembre. L’eau et les milieux aquatiques - Données et études statistiques. Politique comparée - Sciences Po Bordeaux. Descriptif Ce cours vise à réinterroger les grands objets de la sociologie politique par le prisme de la comparaison.
Comment la démarche comparative et les choix de la comparaison influent sur les analyses produites ? Comment les théories et grilles d’analyse forgées sur des terrains et dans des contextes spécifiques voyagent, et notamment hors Occident ? Examens Le nombre de crédits ECTS et les modalités d’évaluation sont susceptibles d’être différents pour les étudiants en programmes d’échange à crédits. Bibliographie indicative Badie B. & Hermet G., La politique comparée, Paris, Armand Colin, 2001.Gazibo M. & Jenson J., La politique comparée. Théorie politique environnementale - Portail des Humanités environnementales. Au sein de la science politique environnementale (« environmental politics »), la théorie politique environnementale (« green political theory ») s’est attachée depuis le début des années 1990 à identifier et analyser les singularités de la pensée politique écologiste dans le champ des idées politiques contemporaines.
Parmi les fondateurs de ce courant disciplinaire, le Britannique Andrew Dobson a décrit l’écologisme comme une idéologie politique à part entière, caractérisée par trois spécificités : 1) la conviction qu’il existe des limites à la croissance, 2) un écocentrisme qui incite à attribuer une valeur intrinsèque à certaines entités naturelles, 3) la conviction qu’une décentralisation radicale s’impose pour des raisons démocratiques et matérielles. Ces trois traits spécifiques tendent alors à distinguer l’écologisme de toutes les autres grandes idéologies contemporaines – socialisme, libéralisme, anarchisme, conservatisme, etc. Gouvernance environnementale. Gouvernance environnementale Le terme de gouvernance a trouvé un écho significatif à la fois comme concept analytique dans le champ académique, faisant référence à une transformation des modes de gouvernement ; comme principe normatif d’action au niveau international (Fonds monétaire international, Banque mondiale, Organisation des Nations unies…) pour désigner des principes et des méthodes standards pour une « bonne gouvernance » des problèmes publics ; et enfin comme rhétorique devenue incontournable dans le débat politique.
Le succès de la notion de gouvernance à partir des années 1990 est lié à son usage croissant dans quelques domaines d’action publique privilégiés comme l’urbain (Le Galès, 1995), le développement territorial et l’environnement (Theys, 2002). Mode d'emploi. Structurer un dictionnaire par ordre alphabétique est une des opérations les plus arbitraires que l’on puisse accomplir à l’égard des mots (Topalov : 2010). C'est pourquoi la structure de ce dictionnaire, et donc sa consultation ne se feront pas par ordre alphabétique, mais par familles de mots. Ce choix relève également d’un souci d’intelligibilité et de visibilité immédiates de la logique de l’ensemble, qu’une liste alphabétique de mots ne saurait rendre au premier coup d’œil. D’ailleurs, s’il est vrai qu’un des avantages d’un dictionnaire est celui de pouvoir être feuilleté au hasard sans suivre un sommaire et sa cohérence, il ne reste pas moins que l’organisation par ensembles de mots n’empêche pas cette serendipity intellectuelle.
On pourra utiliser le dictionnaire comme une carte qui guide parmi les interstices du flou, qui aide à intercepter les « faux amis » de la participation. Le dictionnaire, on l’a dit, peut s’exploiter comme une carte qui guide. Axes Transversales. Gestion intégrée. De la gestion partagée à la gestion intégrée La gestion communautaire des ressources naturelles que l’on retrouve un peu partout sous une forme ou sous une autre, provient de la longue expérience du développement rural intégré, particulièrement dans le domaine agro-forestier pour la lutte contre la pauvreté et la satisfaction des besoins vitaux.
La gestion communautaire des ressources côtières ainsi que la gestion partagée entre communautés et autorités locales s’en sont largement inspirées pour aboutir en 1992 à la consécration de la gestion intégrée des zones côtières (GIZC) en tant que démarche de développement durable dans l’Agenda 21, chapitre 17, de la conférence de Rio. La GIZC y est définie comme un processus de gestion adaptative, continu et itératif, destiné à promouvoir le développement durable des zones côtières (Cicin-Sain, Knecht, et al., 1998 ; Henocque et Denis, 2001). Vers un nouveau paradigme de l’action publique Mondialisation et expertise sans frontière.
Évaluation des processus de concertation et de gouvernance du territoire sur le littoral aquitain. 1Les derniers textes de loi le prouvent, la concertation est dans l’air du temps.
Qu’ils soient informels ou officiels, les processus de discussions entre les nombreux acteurs impliqués dans les différents aspects de la prise de décision se multiplient. Si dans les années 80 et 90, le mouvement, à l’échelle internationale, émanait plutôt des citoyens et des acteurs locaux (Simard, 2003), nos recherches empiriques actuelles tendent à montrer que les gouvernements semblent s’être appropriés le processus. Aujourd’hui, un nombre croissant d’acteurs étatiques encouragent ce phénomène de démocratie participative en proposant aux citoyens de nombreuses démarches de dialogue (Lovan et al., 2003 ; Duran, 2001). 1 Trois arguments peuvent être évoqués pour justifier la participation publique aux processus de déc (...) 2En France comme ailleurs, les processus de participation sont fréquemment utilisés dans le domaine de l’environnement.
La difficile « naturalisation » du causse Méjean. 1Le causse Méjean (Lozère) est un plateau calcaire situé à l’extrême sud-est du Massif central.
Marqué par un climat rude, de type méditerranéo-montagnard, il s’étend sur environ 340 km2 et culmine à une altitude de 1247 mètres. Le modèle des parcs nationaux à l’épreuve du territoire. 1Difficile d'évoquer avec sérénité et discernement le cas des Parcs nationaux en France.
La question penche spontanément dans l'irrationnel et renvoie à une imagerie de l'émotion. Même sous la plume des parlementaires ou de l'administration, les Parcs nationaux sont dépeints avec des accents lyriques, célébrés comme un "contrat implicite et harmonieux passé entre l'homme et la nature" (Giran, 2003). Une approche rationnelle selon l'angle de l'analyse des politiques publiques est alors assurée de froisser les naturalistes férus, les professionnels passionnés et les touristes exaltés. A lui seul, le terme de "parc national" a en effet le pouvoir de faire sens dans l'opinion publique, comme le montrent ces 60% de Français qui, tout en affirmant que les Parcs nationaux sont une absolue nécessité pour protéger la planète, sont incapables d'en citer un seul existant (Altimax, 2011).
Analyse des politiques publiques : définition, méthodologie et exemples. Dans le cadre d’un mémoire ou d’une thèse, il peut être intéressant d’étudier les politiques publiques, afin de collecter des données analytiques sur un sujet particulier.
Définition, méthodologie et exemple : l’article suivant présente l’analyse des politiques publiques sous tous ses aspects. Qu’est-ce qu’une politique publique ? Issu de la science politique, le concept de politique publique désigne les actions du gouvernement, et plus largement de l’État. Convention citoyenne pour le climat : quelle légitimité ? (ft. Le Réveilleur) La gouvernance des biens communs. 1La multiplication des phénomènes mondiaux débordant le cadre des relations entre États-nations, tels que le changement climatique, la crise financière, le risque technologique ou le développement des réseaux d’information et de communication, a nourri la réflexion sur la notion de biens communs et sur la manière de gérer collectivement ce type de biens.
Le concept, issu des sciences économiques, recouvre de nombreuses réalités en fonction de l’approche mobilisée (économique, juridique, éthique, politique…) et semble pouvoir s’appliquer à un ensemble d’objets toujours plus large dans le contexte de la mondialisation. La notion de bien commun mondial a été ainsi conçue pour prendre en charge la tension croissante entre la dimension mondiale de l’économie de marché, la persistance des régulations nationales et les impacts locaux sur les populations. 2Le climat de la planète, menacé par les activités humaines, est reconnu comme un exemple de bien commun.
Webinaire : « Réflexions autour du collectif au départ du patrimoine » - séance du 30 avril 2020. La gouvernance locale en 2 minutes ! Norois, n°185, 2000-1. Patrimoine et environnement. Les territoires du conflit. Saut au contenu Norois, n°185, 2000-1.
Patrimoine et environnement. Les territoires du conflit. www.persee.fr/issue/noroi_0029-182x_2000_num_185_1 Liste des auteurs Figures. Fcac637d-a1a0-4c92-8c84-78b06d37e986. CO 046. Dossier teledetection. Cartographie des paysages : apport à l'analyse des trames vertes et bleues. L'exemple du pays de Saint-Brieuc. Des rivières sous surveillance : état des lieux et perspectives des approches par télédétection à l’heure de l'Anthropocène - OSUR. Conservation de la biodiversité : quels modèles de conception et de gestion pour les aires protégées ? Coordination du numéro : Achille Assogbadjo (Université Abomey-Calavi,Bénin), Dominique Bourg (Université de Lausanne, Suisse), Robert Kasisi (Université de Montréal, Canada) et Jonathan Tardif (Université de York, Canada) La gestion règlementée des espaces tire ses origines de la vision dont les peuples se sont faits de la nature à travers les temps.
Puisqu’il existe autant de perceptions du monde que de peuples sur la planète, et parfois difficilement compatibles, nous pouvons souscrire à l’exigence de Philippe Descola (2008) lorsqu’il suggère que « la préservation de la biodiversité ne pourra être pleinement efficace que si elle tient compte de la pluralité des intelligences de la nature ».
Depuis plus de 2000 ans, l’humanité protège certains sites, forêts et écosystèmes. Analyse des modèles de gouvernance des aires protégées non étatiques au Kenya. La gouvernance des espaces protégés: vers un partage de la nature ? 1Depuis une trentaine d’années, l’évolution de la protection de la nature participe à restructurer les modes de gouvernance et d’intervention des gestionnaires des espaces protégés (Lionel et Kalaora, 2007; Depraz, 2008; Blandin, 2009; Kalaora, 2010; Claeys, 2014; de Cacqueray et al., 2018). Mobilisée à la fois comme but stratégique pour nombre de politiques publiques (Réserves naturelles, Conservatoire du Littoral…) et comme méthodologie de gestion dans les guidelines internationaux ou nationaux (UICN, Unesco, Réserves naturelles de France…), elle est désormais considérée comme le garant d’une meilleure conservation du patrimoine naturel et d’une plus grande légitimité sociale de l’intervention publique en matière de protection de la nature.
ARP Synthèse mise en page français. Penser la gouvernance de la biodiversité à travers l’analyse des dynamiques socio-écologiques. Barbault, R., 1997, Biodiversité. La modélisation dans le champ de la conservation : méthodes, problèmes et enjeux. Log in to your FUN-MOOC account. WFD61c A system for classifying the ecological potential of UK and Irish canals 2012[Final Report] Écopotentialité. Implementing ecological potential of lakes for the Water Framework Directive—Approach in Flanders (northern Belgium) Bakker et al., 2012 E.S. Bakker, J.M. Eau 16. Implementing ecological potential of lakes for the Water Framework Directive—Approach in Flanders (northern Belgium)
Bakker et al., 2012 E.S. Bakker, J.M. FichierRessource1 CDL12Indicateursbio. Restauration de la continuité écologique des cours (…) Membres. Rapport qualit 2008. 00 MEMOIRE Stage TourismeVF.
MEFM. Conservation. Patrimoine hydraulique. Gouvernance de l'eau. Nord - Pas de Calais. Cours d'eau : Hydrologie. Cours d'eau : biodiversité. Bateliers.