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Amazonie : un peuple disparaît des suites du Covid-19 – Libération. La révolution des algues. Les algues peuvent contribuer à un changement systémique dans notre modèle de civilisation.

La révolution des algues

Il y a 10 000 ans, l’homme est passé de la préhistoire à l’histoire moderne quand il a cessé d’être un chasseur-cueilleur sur terre et s’est mis à développer l’agriculture et l’élevage. Dans l’océan, l’homme est aujourd’hui encore pour l’essentiel un chasseur-cueilleur, il y déverse ses déchets et en extrait des ressources (gaz, pétrole, poisson) sans aucune compréhension des impacts sur l’écosystème marin. Hormis en Asie où elles sont déjà largement présentes dans l’alimentation, les différent végétaux marins sont fort peu connu des hommes.

La diversité végétale en mer est pourtant bien plus grande que sur terre et sur celle-ci repose toute la vie animale sous-marine. Sans algues pas de vie animale dans l’océan, ni sur terre par conséquent car l’océan contribue à 50% de l’oxygène de notre planète. Les algues sont une ressource aux applications multiples et pour la plupart encore à découvrir. Alaska, Patagonie, Alpes : partout dans le monde, la fonte des glaciers s’accélère. Avec le réchauffement, les temps changent au Groenland. Vitale et fragile, la mangrove de Madagascar est en danger. Trois fois moins de pesticides dans les vins de Bordeaux qu’il y a quatre ans. Le Gaspillage Alimentaire. We feed the world exploitation avicole productiviste. Les forêts verticales s’enracinent en ville. A l’image des tours du Bosco Verticale, à Milan, l’architecture se couvre d’arbres, jusqu’à camoufler les bâtiments.

Les forêts verticales s’enracinent en ville

Nombre de projets n’en sont encore qu’à la phase préparatoire. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Grégoire Allix Une forêt qui s’enroule comme un ruban jusqu’à 150 mètres de hauteur autour d’un gratte-ciel de verre : plantée de quelque 500 arbres et arbrisseaux, la tour Occitanie, dessinée par l’architecte américain Daniel Libeskind, doit s’élever au-dessus de la gare Matabiau et du canal du Midi, à Toulouse. Son promoteur, la Compagnie de Phalsbourg, a acquis les terrains en janvier. Le permis de construire doit être déposé d’ici au mois de juin. Des chantiers du Grand Paris à ceux de Nanjing (Chine), d’Utrecht (Pays-Bas) ou de Lausanne (Suisse), l’architecture commence à se couvrir de grands arbres, jusqu’à camoufler les bâtiments en forêts… Au moins sur le papier : la plupart de ces édifices sont encore à l’état de vues en 3D et de maquettes.

Aux Emirats arabes unis, l’écocité de Masdar prend forme. Le fonds souverain Mubadala a revu à la baisse ses ambitions pour la ville, symbole du développement durable.

Aux Emirats arabes unis, l’écocité de Masdar prend forme

En ce doux mois d’hiver, la température ressentie est bien loin des 20 OC affichés. A l’entrée de l’institut de recherche, elle avoisine plutôt 14-15 OC. Un peu frais, alors qu’il est encore 3 heures de l’après-midi, dans le désert d’Abou Dhabi. « Nous sommes dans un tunnel à vent. C’est low-tech et pas cher à mettre en œuvre, explique Steve Severance, le patron du marketing et du programme de Masdar, l’écocité emblématique d’Abou Dhabi, la capitale des Emirats arabes unis. Malgré les retards, Masdar n’est plus un simple mirage. Par-delà les parkings, qui se trouvent au sud de la zone, le soleil se reflète dans une mer de panneaux solaires, donnant l’impression au visiteur qu’il contemple un lac artificiel. 530 sociétés installées Cette perspective semble encore très éloignée.

Réchauffement : 143 millions de déplacés climatiques attendus en 2050. La hausse du niveau des mers ou les pénuries d’eau, notamment, contraignent des communautés entières à se mettre en quête d’endroits plus viables.

Réchauffement : 143 millions de déplacés climatiques attendus en 2050

Pour la première fois, un rapport de la Banque mondiale, publié lundi 19 mars, alerte sur la multiplication attendue des « migrants climatiques » d’ici à 2050, si rien n’est fait pour lutter contre les effets du changement climatique. Ce document est présenté comme le premier du genre sur la question des déplacements de populations directement liés aux effets du réchauffement. « Chaque jour, le changement climatique devient une menace économique, sociale et existentielle plus forte », contraignant des individus, des familles et même des communautés entières à se mettre en quête d’endroits plus viables, a souligné Kristalina Georgieva, directrice générale de l’institution basée à Washington.