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Smart city

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ÉcoQuartier, l’adaptation en question - La démarche ÉcoQuartier, telle que mise en place par l’État, est issue du Grenelle de l’environnement et de la loi portant engagement nationale pour l’environnement (art. 7III) : « mettre en place des écoquartiers d’ici 2012 dans les collectivités de plus de 50 000 habitants ayant un programme de développement de l’habitat significatif ». À cette fin, le ministère du logement a mis en place un premier appel à projet en 2009 en indiquant aux collectivités de présenter des projets d’aménagement urbain selon 7 domaines d’excellence principalement environnementaux. Les solutions en matière d'énergie, d’éco-conception, de mobilité durable, d’eau et de biodiversité apparaissaient comme les plus adaptées à la manière dont un aménageur pouvait agir en matière environnementale. Le terme « climat » n'apparaissait pas alors dans l'avis de l'appel à projet. Cette distinction doit aider dans l’analyse des options d’adaptation sans pour autant hiérarchiser les phénomènes.

B with G

L'innovation ouverte, un concept au cœur de la ville intelligente - Club Tech... Tous les acteurs s’accordent aujourd’hui, du moins dans le discours : une smart city réussie associera le public, le privé et surtout les principaux concernés, les habitants. L’« open innovation » ou innovation ouverte est devenue un leitmotiv, et la sociologue Saskia Sassen utilise le concept d’« urbanisme open source ». « Nous avons souhaité une coconstruction, avec entrepreneurs, citoyens et sachants, indique Bertrand Serp, vice-président de Toulouse métropole, chargé du numérique. C’est l’originalité de notre projet, par rapport à des villes où de grands groupes ont proposé leurs solutions, avec des recommandations. » Signe de ce changement de modèle, des collectivités comme Montpellier, Nice et le Grand Lyon s’inscrivent désormais dans une phase plus inclusive.

Troisième larron Séduisante, l’open innovation doit faire ses preuves et échapper au piège de la récupération : gare au saupoudrage pour la communication ! Avantages et écueils percent déjà. Toute une chaîne Focus. "Une smart city doit innover sur le long terme et prendre des risques contrôlés" Quels sont les projets et expérimentations notables qui verront le jour dans les prochains mois sur le territoire métropolitain en matière de smart city ?

"Après le passage de communauté urbaine à métropole, la première phase de la mutualisation des services numériques a donné lieu à la constitution d'un service commun métropolitain résultant de la fusion des services informatiques de neuf communes. Cette vaste réorganisation étant passée, les projets vont se succéder : déploiement de nouveaux services éducatifs numériques dans les écoles primaires de nombreuses communes, accélération du déploiement de la fibre optique, études pour un projet de wifi gratuit dans la métropole, développement de l'internet des objets, déploiement de services innovants dans le cadre de la Cité du vin et sur le territoire d'Euratlantique. " Dans le développement de la smart city, la question des infrastructures est fondamentale. Comment se situe Bordeaux en matière d'open data ? Les municipalités pourraient gâcher 341 milliards dans le déploiement des Smart Cities - H+ MAGAZINE.

L’implémentation des Smart Cities, ces villes connectées qui promettent un confort de vie jusqu’ici inégalé, pourraient bien se révéler beaucoup plus ardue et coûteuse que prévu. Le rapport d’étude de Machina Research sur le déploiement des solutions de l’internet des objets est sans appel. Les municipalités pourraient gâcher 341 milliards de dollars au cours de l’implémentation de ces villes intelligentes. Depuis quelques années, le terme de Smart Cities revient sur le devant de la scène. Mais qu’est-ce donc qu’une ville intelligente ? Comme pour votre voiture intelligente ou votre téléphone intelligent, la ville du futur sera elle aussi intelligente.

La smart city, c’est la c’est la ville de demain. La smart city est en réalité un véritable carrefour de la vie urbaine. C’est pourquoi de nombreuses villes font le choix de la connectivité. Selon l’Institut Gartner, les smart cities pourraient faire 30% d’économies par rapport à une ville traditionnelle. Les 7 enjeux clés du bâtiment à énergie positive - Club Techni.Cités.

1) Prendre en compte le cycle de vie du bâtiment Le « Bepos nouveau », comme le qualifie Alain Maugard (1), président de Qualibat et co-inventeur du concept de bâtiment à énergie positive, devra viser non seulement à réduire le carbone émis par la consommation du bâtiment, mais aussi celui relâché lors de sa construction. « A force de faire des bâtiments économes en énergie, le “carbone gris“ de la construction devient majeur, souligne-t-il. Ainsi, si vous faites la somme du carbone émis chaque année par un bâtiment à énergie positive, il faudra 80 ans pour égaler les émissions liées à la construction du bâtiment. Cette durée est de 50 ans pour un bâtiment RT 2012. Il faut donc chercher aujourd’hui à décarboner la production. » Certains acteurs ont déjà anticipé cette orientation. 2) Passer du bâtiment au quartier « Nous avons cherché avec le Bepos à optimiser la production de l’énergie par le bâtiment, indique Alain Maugard. 3) Territorialiser la question énergétique 4) Faire simple.

Événements de La Fabrique de la Cité. TUTORIAL : la ville intelligente à l'épreuve des usages. Partie 1 Quels sont les enjeux et les défis pour les bâtisseurs de la Smart City ? La Smart City est une notion récente, aux contours fluctuants, mais quels que soient le sens qu’on lui donne et les services qu’elle comporte, la ville intelligente est fondamentalement au service de ses habitants et de son administration.

Pour ceux qui la conçoivent et qui la bâtissent, l’enjeu fondamental est donc de mettre en place des dispositifs qui soient à la fois utiles et utilisés. Le véritable défi n’est pas technologique mais pratique : il faut parvenir à donner un sens à des solutions que les utilisateurs ne s’approprieront que si elles leur apparaissent sûres, faciles d’utilisation et d’un intérêt évident. " L’autre enjeu capital concerne les données. " Les services de la Smart City reposent sur le recueil et l’utilisation d’un certain nombre d’informations, dont certaines peuvent être à caractère personnel.

Partie 2 Cette question des données est indissociable de celle de la gouvernance. Partie 3. Le « stationnement intelligent » était une idée stupide. Vademecum principal interactif 30 01 15 final. La Smart City : une Cité idéale ? | L'Atelier : Accelerating Innovation. Si on écarte l'aspect technique de la Smart City, quelle est sa phénoménologie et, surtout, quelle devrait être sa finalité ? Ultime volet de ce sujet et certainement le plus important : le concept de Smart City avec tout le cortège de promesses qui l'accompagne à présent, n'est-il finalement qu'un nouvel avatar de la Cité idéale dont l'Histoire nous montre qu'il ressurgit de façon récurrente aux moments charnières des transitions de nos sociétés ?

Les utopies citadines abondent dans la littérature depuis l'antiquité : l'Atlantide de Platon, l'Eldorado de Voltaire, Utopia de Thomas More... Dans chacune de ces villes luxueuses et dorées résident des fragments perdus de notre entière Humanité; le projet utopique de la Cité idéale ne serait-il pas finalement plus un projet ayant un profond moteur psychologique, celui d'une quête de réification de la psyché humaine passant par la construction d'une Cité qui témoignerait alors de cette réussite.

Ces fragments abondent. L'Homme et la Société. L'ogre Google va dévorer la smart city, et il vaut mieux s'y préparer. Le géant américain va profiter des bornes Wifi publics et de la plateforme big data développée dans les villes par Sidewalk Labs, filiale du groupe, pour y étendre son emprise. Pour ceux qui auraient jusqu'alors réussi l'exploit de l'éviter, il faudra peut-être penser à abandonner le combat. Car après les navigateurs Internet, les boîtes mail et les smartphones, Google investit les villes. Et Sidewalk Labs, la filiale de la maison mère du géant Alphabet, vient à peine de commencer à équiper le centre de New York de bornes Wifi intelligentes qu'elle développe déjà une nouvelle plateforme big data dédiée aux transports, Flow, dans les 7 communes finalistes (dont San Francisco et Austin) du challenge smart city américain, lancé en partenariat avec les autorités du pays.

"Notre ambition est de tester Flow dans des villes moyennes pour déterminer un modèle de smart city qui pourra ensuite être dupliqué. "Cela permettra à Google de comprendre avant les autres ce dont le marché aura besoin" La ville intelligente doit être un projet politique. Avec la vogue des smart cities, tout se passe comme si les villes actuelles avaient été promues par General Motors, Roux et Combaluzier ou Bouygues. Ce sont les grandes firmes du numérique qui ont lancé cette mode pour étendre leur offre à la fin des années 1990. Si les productions se veulent spectaculaires, les résultats ne sont pas au rendez-vous : Masdar (Abu Dhabi) n’a pas d’habitants, Songdo (Corée) n’attend pas ses objectifs économiques et Plan IT Valley au Portugal reste une vitrine de ville connectée.

L’Union européenne se prévaut de plusieurs centaines de villes intelligentes, au motif qu’elles auraient développé une infrastructure de connexion appliquée à la gestion de problèmes urbains. C’est peu pour prétendre à l’intelligence de la ville ! Il y a eu des villes intelligentes avant le numérique. L’absurdité et la nocivité de ce modèle ont été dénoncées avec talent par de grands auteurs que furent Lewis Mumford et Jane Jacobs. Sidewalk Labs, la ville connectée de Google, prend forme. Après Songdo et San José (la capitale de la Silicon Valley), c’est au tour de Google de mettre un pied dans la smart city. Après la présentation du projet Sidewalk Labs à l’été 2015, l’entreprise annonce notamment qu’elle cherche déjà un terrain pour créer sa ville du futur, entièrement connectée. Une idée ambitieuse Le but principal de Sidewalk Labs est ainsi de pallier à des problèmes comme ceux du logement, de la pollution, de la santé, de la marginalisation, des énergies non renouvelables, du transport, ou encore du coût de la vie, en construisant une commune intelligente et écologique grâce à des milliers capteurs intégrés dans chaque élément de son décor.

Dirigé par l’ancien député-maire en charge du développement économique et de la reconstruction au sein de la municipalité de New York, Dan Doctoroff, le projet devrait être décrit en détail à Larry Page, CEO et fondateur d’Alphabet (maison-mère de Google). Des possibilités énormes Au fait, Sidewalk Labs recrute ! Smart grid_La Gazette. Comprendre, informer, visualiser : comment appréhender la smart city ? Entre méconnaissance et méfiance : une smart city difficile à accepter La non connaissance ou la méconnaissance de la smart city entraîne la méfiance de ses futurs utilisateurs. Peur du piratage, syndrome Big Brother, non adhésion … nombreux sont les freins à une acceptation massive du concept.

Et pourtant, ces craintes viennent souvent des mêmes personnes qui affichent leur vie sur les réseaux sociaux. Car le nerf de la guerre c’est la récolte de la data, une data difficile à appréhender et dont l’usage n’est pas toujours certain. Aujourd’hui, presque n’importe quel objet peut être connecté ou augmenté, de quoi alimenter la suspicion sur l’utilité de la smart city © Social Media Club France Vers plus de lisibilité, de visibilité et d’accessibilité Nous avons tous un petit côté Saint Thomas qui fait qu’on ne croit que ce qu’on voit. La Ville de Nantes a fait le pari du développement intelligent. Nantes dans ma poche, l’application qui rend concrète la smart city © Nantes.fr.