TLD deux sèvres. Deux-Sèvres : l'entreprise TLD de Saint-Lin peine à recruter de la main-d'oeuvre. Ses tracteurs à bagages ou ses escaliers pour passagers équipent des aéroports du monde entier.
TLD, entreprise de matériel aéroportuaire qui a un site à Saint-Lin, en Gâtine, groupe international implanté sur trois continents, 1600 employés dans le monde, leader sur le marché des matériels aéroportuaires, ne cesse de se développer. 240 salariés travaillent actuellement sur le site deux-sévrien, dont 90 intérimaires. A Saint-Lin, cela fait plus de 30 ans que l'on travaille pour les aéroports. Pourtant, l'usine, située à une heure de route de Poitiers, n'arrive pas à recruter et ne fait pas rêver. L'entreprise connaît une forte croissance de son activité depuis cinq ans, "plus 20% chaque année", constate Sébastien Fabre, directeur du site de TLD à Saint-Lin. 1.300 véhicules ont été livrés en 2018.
Etude de cas toulouse. Délocalisations. Hutchinson redécolle grâce à l'aéronautique - 31/03/2017. Touché par la crise, le site Hutchinson d’Ingrandes, qui travaillait avant seulement pour l’automobile, s’est diversifié dans l’aéronautique.
Un pari gagnant. Aujourd'hui, la plupart des entreprises industrielles du bassin touchées par la crise survenue en 2008 vont mieux. Parmi elles, la fonderie alu s'en est sortie en se diversifiant. Mais ce n'est pas la seule. C'est aussi le cas du site Hutchinson d'Ingrandes-sur-Vienne (*), qui se développe désormais grâce à l'aéronautique.Créée en 1853, l'entreprise Hutchinson (groupe aujourd'hui filiale de Total) a racheté l'ancienne base militaire américaine de Saint-Ustre en 1967. " On est sur des marchés à très forte croissance " Quinze ans plus tard, quand la crise est arrivée, le site a été durement touché.
Les pôles de Compétitivité - Cartes des pôles - Moteur de croissance et d'emploi. Aerospace Valley : la vitalité de l'un des premiers pôles de compétitivité de France. L'objectif est de maintenir les positions des Grands Groupes, et les PME-PMI sur les marchés actuels, en conservant une avance technologique, pour leur permettre d’accéder à de nouveaux marchés.
Réélue lundi soir pour trois ans à la présidence de ce pôle de compétitivité Aerospace Valley, Agnès Paillard compte "continuer à travailler sur la feuille de route de la filière aérospatiale". Agnès Paillard, pdte d'Aerospace Valley L'un des dossiers d'importance pour Agnès Paillard :est le rapprochement avec l’Institut de recherche technologique Saint-Exupéry avec lequel a débuté un partenariat très étroit qui passe par une co-localisation. Le déménagement du pôle Aerospace Valley dans les locaux de l'IRT est prévu en ce début 2015. Espaces industriels. Le coup de gueule d'un chef d'entreprise. Patron de Lostis Recyclage, Samuel Lostis met les pieds dans le plat en critiquant le manque d'attrait de la ville, selon lui, pour les jeunes et les cadres.
Comment votre entreprise se porte-t-elle? « Économiquement, on ressent une bonne reprise. Nous, on dépend beaucoup des industriels. Et on voit que, localement, le contexte est plutôt favorable en ce moment. Les voyants sont au vert. » Les cours mondiaux des métaux ont remonté? « Les cours sont en moyenne à + 15%. "Ce n'est pas avec de lamusique classiquequ'on va fairevenir les gens" Délocalisation chez Safran à Châtellerault : la CGT monte au créneau - 04/04/2017. Le site châtelleraudais de Safran Aircraft Engines est en train de délocaliser deux lignes de production au Mexique.
Colère du syndicat CGT. Économiquement, le site châtelleraudais de Safran Aircraft Engines (ex-Snecma), qui assure la maintenance des moteurs d'avions militaires et répare les moteurs d'avions civils et militaires vendus par le groupe, se porte bien. Amiens : l'usine Whirlpool délocalisée en Pologne. Leur usine part en Pologne : un coup dur pour les 190 employés du site Whirlpool d'Amiens : "On nous avait promis des choses et en fin de compte on se retrouve dehors" explique une employée.
La production de sèche-linges français partira en Pologne dès le 1er juin 2018 où le géant américain de l'électroménager dispose déjà d'une usine. L'une des raisons selon la direction : le coût de la main-d'oeuvre. En France, une heure de travail coûte 38 euros à une entreprise, alors qu'en Pologne, c'est presque cinq fois moins, presque huit euros de l'heure.
Les syndicats sont furieux : pour sauver leur usine, les salariés avaient accepté de faire des efforts : flexibilité du temps de travail ou encore suppression de RTT. Pour Cécile Delpirou, syndicat CFE-CGC Whirlpool, "il n'y avait pas une nécessité à délocaliser vers la Pologne. Le bout du tunnel? Châtellerault, une ville pleine d’atouts qui s’enfonce dans la crise - LCI.
Fiche croquis indus. Fiche emploi secondaire vienne.