Gard : un géographe propose de modifier les frontières du département avec l'Hérault le Vaucluse et les Bouches-du-Rhône. Le gouvernement prévoit de renforcer les compétences des collectivités.
Dans cette perspective, un géographe propose un découpage plus pertinent des départements français. En Occitanie, il a établi une série de préconisations, notamment dans le Gard qui perdrait de nombreuses communes. En étudiant les réalités locales, Laurent Chalard, géographe et consultant, propose de réviser la carte administrative des départements en modifiant leurs frontières. Le Gard serait particulièrement perdant à ce jeu de redécoupage. Une perte d'environ 50.000 habitants sur 760.000 et une perte de territoires, notamment son littoral.
Les Angles et Villeneuve-lès-Avignon seraient rattachées au Vaucluse. Après la "crise migratoire" de 2015, le Covid-19 assène un nouveau coup aux frontières européennes... Schengen : menaces sur la libre circulation, carte géopolitique réalisée avec @XemartinLaborde. A’urba, 2016, Atlas de l’espace métropolitain de Bordeaux, Bordeaux, Mollat, 135 p. Halshs.archives-ouvertes. Shanghai et Guangzhou, les deux plus grandes villes du monde. François Moriconi-Ebrard et Joan Perez ont publié en février 2017 un article dans la revue Confins qui présente Shanghai et Canton (Guangzhou) comme les deux agglomérations urbaines les plus peuplées du monde, avec 79,7 millions d'habitants pour la première et 47,5 millions d'habitants pour la seconde, soit respectivement la population de l'Allemagne et de l'Espagne.
François Moriconi-Ebrard est l'auteur d'une base de données, Geopolis, publiée en 1994, mais dont les mises à jour ultérieures ne sont pas accessibles. L'article en rappelle brièvement la méthodologie, qui avait été conçue pour permettre la comparaison entre les agglomérations de différents pays : c'est la définition morphologique qui est utilisée, correspondant à la définition française de l'unité urbaine, c'est-à-dire la population agglomérée au dessus d'un seuil minimal. L’Indonésie a choisi l’emplacement de sa nouvelle capitale. La capitale politique de l’Indonésie ne sera bientôt plus Djakarta, mégalopole engorgée et menacée par la montée des eaux.
Le président indonésien, Joko Widodo, a annoncé lundi 26 août qu’un site de l’est de l’île de Bornéo avait été choisi pour la déménager. Le site a été d’abord retenu « parce qu’il présente un risque faible de désastre naturel », inondation, tremblement de terre, tsunami ou éruption volcanique, a souligné le président, alors qu’une vaste partie du territoire de l’Indonésie est située sur la ceinture de feu du Pacifique. Vient de paraître le dossier "1801-1840 – Haïti, entre Indépendance et (...) - Société française d’histoire des outre-mers. Accueil > Actualités ultramarines > Vient de paraître le dossier "1801-1840 – Haïti, entre Indépendance et (...)
Le 7 juillet 2019 à 10h21 Vient de paraître le dossier "1801-1840 – Haïti, entre Indépendance et Restauration" de la revue électronique La Révolution française. Cahiers de l’Institut d’histoire de la Révolution française, sous la direction de Bernard et Frédéric , n° 16, 2019 [OpenEdition Journals]. L’ensemble des articles sont téléchargeables gratuitement en pdf. Le nouveau visage des régions françaises. Révolutions, restaurations, nations (Europe, 1814-1871) Résumé : Dans le cadre d'un manuel de culture scientifique destiné aux professeurs de l'enseignement secondaire, en lien avec les nouveaux programmes d'histoire-géographie de tronc commun de Première, ce chapitre propose une synthèse des travaux récents à propos des constructions nationales dans l'Europe du XIXe siècle.
Il met en évidence les procédés de construction des nations, identités culturelles avant d'être des réalités politiques, tout en étant attentif aux processus transnationaux dans lesquelles la construction des Etats-nations s'est insérée. À rebours de l'interprétation dominante du nouveau programme, qui fait de la France un cas spécifique d'Etat-nation déjà construit dès avant la Révolution française, les travaux récents sont nombreux à défendre l'idée que la construction nationale a relevé de circulations transnationales et globales qui ont dépassé le seul cadre européen. Carte blanche: «Dix idées reçues sur la colonisation belge» En tant qu’historien.ne.s, nous devons aussi reconnaître nos échecs en la matière.
Mais c’est aussi parce qu’elle est essentielle que cette histoire mérite mieux que les quelques slogans ou formules à l’emporte-pièce auxquels médias et politiques la réduisent souvent. L’histoire reste un processus de vérité : si elle peut faire l’objet d’interprétations divergentes, et si elle a depuis longtemps renoncé à ses fantasmes de neutralité absolue, la voir s’incarner dans des joutes politiques en forme de « pour ou contre » pose question. 1. « L’histoire de la colonisation belge, ce sujet méconnu sur lequel il faudrait faire la lumière » Il y a ici malentendu. Le problème est moins dans l’état des connaissances sur le sujet que dans leur faible diffusion vers le grand public. Il est interpellant pour nous de voir la classe politique appeler au débat et au « dévoilement » sur des épisodes de cette histoire qui font depuis longtemps consensus parmi une majorité d’historien.ne.s.