VIDEO. Emission spéciale - Musée des Confluences - France 3 Rhône-Alpes. Musée des confluences Fier vaisseau solidement amarré sur la pointe sud de Lyon, là où la Saône se jette dans le Rhône-Alpes, première vision des visiteurs qui traversent la ville dans l'axe nord-sud, le futur musée des confluences est quasiment achevé.
Première visite vendredi à 9h50. Par Kathleen Garon Publié le 24/06/2014 | 08:25, mis à jour le 24/06/2014 | 08:30 Les travaux du Musée des Confluences ont débuté à Lyon en 2006. Au fil des ans, le projet ambitieux initié par le Conseil Général du Rhône pour abriter les collections du Musée Guimet d'Histoire Naturelle s'est transformé en cauchemar. . © Capture écran film Musée des Confluences. Confluence ou comment les amateurs de bouchons ont résolu leur problème de transit. Un examen de la configuration urbaine de l’hyper-centre lyonnais montre que le quartier de La Confluence, jusqu’alors appelé «derrière les voûtes» par les Lyonnais, s’apparentait plutôt à une banlieue séparée du centre, non par l’enceinte de Thiers mais par le fameux, fumeux et enfumé «centre d’échanges de Lyon-Perrache».
Ce «centre d’échanges», inauguré en 1976, constitue l’immense système digestif des différents transits lyonnais avec une capacité de traitement digne de la Brasserie Georges, capable d’avaler la jonction de deux autoroutes (A6 et A7) dans le prolongement du tunnel de Fourvière, le tram, le métro, le bus, les TER, les TGV sans compter une bonne partie du transit local Est/Ouest : gaz, encombrements, remontées acides, ballonnements, constipation, sensation de somnolence, lourdeur digestive ? D’aucuns le savent, les Lyonnais savent digérer plats en sauce et charcuteries des plus grasses. Mais pour passer de l’autre coté des voûtes «on s’en voyait drôlement !» *. Musée des Confluences à Lyon : une architecture audacieuse signée Coop Himmelb(l)au. Le Département du Rhône, maître d’ouvrage En tant que maître d’ouvrage, le Département du Rhône a imaginé le concept, décidé des orientations, conçu la programmation et assure le financement.
Le musée des Confluences illustre également les valeurs portées par le Département parmi lesquelles le souhait de rester ouvert sur le monde, la volonté d’innover et le devoir de solidarité. C’est pourquoi le musée des Confluences sera un lieu de rassemblement pour tous, où chacun y trouvera, à sa convenance, pédagogie et plaisir, enseignement et détente, culture et citoyenneté. Un geste architectural fort En 2001, la conception du musée des Confluences a été confiée à l’agence autrichienne Coop Himmelb(l)au, réputée dans le monde entier pour ses bâtiments à l’architecture déconstruite.
L’ensemble repose sur un socle, qui abrite les ateliers de production, les auditoriums et les espaces d’accueil des groupes. Lyon Confluence, Collombarium à la com' Voyage organisé.
Départ Paris - Gare de Lyon, arrivée Lyon-Perrache. Par delà les voûtes*, la prostitution. Image d’Epinal. LyonSiegCommWi.jpg (680×450) Un Hôtel de Région signé Christian de Portzamparc : Déshabillez-le ! Il aura fallu presque une demi-journée pour parcourir le nouveau siège de la Région Rhône Alpes.
De long en large, de haut en bas mais jamais dehors. Appréhender l’édifice de l’extérieur est sans doute plus à même de souligner l’effet manqué, celui d’une masse, creusée, en suspens. Aux façades ternes, beigeasses, qu’une lumière pourtant idéale peine à rehausser, jouxtent de larges baies vitrées aux effets réfléchissants, involontaires selon Christian de Portzamparc.
Il s’agit là, à n’en point douter, d’un vif regret pour son concepteur qu’une anecdote répétée en l’envi peine à effacer : «une Lyonnaise m’a dit qu’il était formidable de ne pas voir l’intérieur et de réserver la surprise à celui qui le visite». Il ne fut offert pareil délice à la joyeuse troupe de journalistes venus en nombre visiter l’événement architectural. «On ne montre pas, on ne s’expose pas. Pas exactement. «Etre fonctionnaire et être en lien avec l’espace public : tout est en symbiose. Jean-Philippe Hugron. Prisons Saint-Paul et Saint-Joseph. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Portail de Saint-Paul, cours Suchet. Les prisons Saint-Paul et Saint-Joseph étaient un ensemble de deux prisons construites au XIXe siècle à Lyon au sud de la gare de Perrache. Désaffectées depuis 2009, elles sont en cours de reconversion en campus. Histoire[modifier | modifier le code] Les prisons sont construites au XIXe siècle sous la direction des architectes Louis-Pierre Baltard et Antonin Louvier. Devenues vétustes et surpeuplées au cours du XXe siècle[1], l'État lance la construction d'un nouveau centre pénitentiaire à Corbas. Lyon 2e arrondissement, Confluent, Verdun (cours de), Gare de Lyon-Perrache.
La gare de Lyon-Perrache : le "bâtiment-voyageurs" Les lignes Paris-Lyon et Lyon-Marseille sont à l'origine construites et gérées par deux compagnies distinctes, la compagnie Paris-Lyon et la compagnie Lyon-Méditerranée.
En découle une longue polémique sur la nécessité de créer à Lyon deux gares ou une seule. Lyon est partagée entre les partisans d'une gare placée à l'est du Rhône et les partisans d'une gare située à Perrache. Dans les deux cas, d'ailleurs, la voie ferrée ne peut pénétrer dans l'agglomération que par un tunnel. La voie venant de Paris longe la rive droite de la Saône depuis Chalon et peut atteindre Vaise ; le défilé entre la Côtière et le Mont d'Or, au prix de quelques travaux, laisse la place à la voie ferrée. Bien que les trains de marchandises soient peu à peu détournés vers les Brotteaux et Saint-Clair grâce à la construction du tunnel de Caluire, le trafic en gare de Perrache s'intensifie et il devient nécessaire de créer des voies supplémentaires.