Chloroquine : Le Pr. Didier Raoult avait-il raison ? (Partie 2) Sans titre. While doctors and politicians still struggle to convince Americans to take the barest of precautions against Covid-19 by wearing a mask, the Department of Homeland Security has an opposite concern, according to an “intelligence note” found among the BlueLeaks trove of law enforcement documents: Masks are breaking police facial recognition.
The rapid global spread and persistent threat of the coronavirus has presented an obvious roadblock to facial recognition’s similar global expansion. Suddenly everyone is covering their faces. Even in ideal conditions, facial recognition technologies often struggle with accuracy and have a particularly dismal track record when it comes to identifying faces that aren’t white or male. Thread by @Panda31808732: 1. Sur la situation française et un possible début de rebond épidémique : cela ne fait que souligner à quel point il faut une stratégie de s… COVID-19 : des français adorent les revues prédatrices pour publier leurs articles refusés sur AZI / HCQ... c'est du lourd ! La revue 'Asian Journal of Medicine and Health' est une revue prédatrice qui participe aux salons des articles refusés.
C'est une revue prédatrice, c'est une certitude, car certains semblent douter... C'était probablement la seule possibilité pour publier ce genre d'article car lee reviewers auraient demandé des éclaircisseements... sur quelques points. Et je passe sur le partage des données sources... C'est la stratégie du Collectif Laissons les Médecins Prescrire qui a eu des croyances car azithromycine et hydroxychloroquine seraient efficace contre la COVID-19.
Je passe sur le niveau de science que d'autres que moi ont commenté... surtout quand de nombreuses études bien faites n'ont pas montré d'efficacité de cette potion. Non, les masques ne sont pas dangereux pour la santé. Les masques ne représentent pas un risque pour votre santé, contrairement à ce que des théories complotistes anti-scientifiques prétendent.
Au contraire, ils sont aujourd'hui nécessaires. Les masques de protection contre le coronavirus, dorénavant obligatoires dans les lieux clos, n’échappent pas aux fausses informations, idées reçues et théories du complot. Parmi elles, vous avez peut-être vu passer l’affirmation suivante : les masques de protection seraient dangereux pour la santé en provoquant de l’hypoxie (un manque d’oxygène) et de l’hypercapnie (une trop forte concentration de dioxyde de carbone dans le sang à cause d’un mauvais renouvellement).
«Irresponsable» : la première étude de Didier Raoult mise à mal par une revue critique. Elle est à l'origine de milliers de prescriptions d'hydroxychloroquine durant la crise du coronavirus.
Déjà critiquée, la première étude encadrée par Didier Raoult fait l'objet depuis le 13 juillet d'une complète remise en cause. Dans une « revue » critique, publiée dans la revue The International Journal of Antimicrobial Agents, le chercheur hollandais Frits Rosendaal démonte en dix points le protocole du directeur de l'IHU de Marseille. Et relaie, une partie des critiques du monde scientifique. Didier Raoult, lui, a toujours défendu l'usage de la chloroquine dans le traitement des patients malades ainsi que sa méthode, assurant que « le médecin peut et doit réfléchir comme un médecin, et non pas comme un méthodologiste ».
L’immunité face au Covid-19 serait de courte durée, selon une étude - Infos coronavirus. Publié le : 16/07/2020 - 08:58Modifié le : 16/07/2020 - 09:12 L’immunité au coronavirus disparaîtrait rapidement.
Quelques mots aux “anti-masques” : quand l'ignorance menace la gestion sanitaire. Le port du masque est désormais rendu obligatoire dans les magasins et dans certains lieux publics.
Et d’aucun de brandir subitement des chiffres pour indiquer ne pas comprendre cette mesure alors que les courbes ne cessent de descendre, que l’on autorise les voyages à l’étranger… Deux éléments de réflexion me viennent à l’esprit en voyant apparaître ces messages sur les réseaux sociaux : 1. Les épidémiologistes et infectiologues savent bien mieux que nous pourquoi ce type de mesure est nécessaire et nous serions bien inspirés de les écouter et respecter leurs recommandations. Comparer la mortalité COVID influenza : tout faux ? Pour rappel, au début de mai 2020, environ 65’000 personnes aux États-Unis étaient décédées de la maladie à COVID-19.
Ces chiffres sont souvent considérés comme similaires au nombre estimé de décès dus à la grippe saisonnière signalé chaque année par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC). Les auteurs estiment que cette apparente équivalence de décès dus à COVID-19 et à la grippe saisonnière ne correspond pas à la réalité. Ils mettent en avant plusieurs éléments permettant de relativiser cette affirmation.Ils relèvent que les méthodes d’analyse diffèrent fondamentalement. Les décès liés au COVID19 sont comptés alors que les chiffres liés à celui de l’influenza sont estimés. Ils donnent l’exemple des années 2013 et 2018 où les décès liés à l’influenza étaient estimés à 23’000 et 61’000.
Pas d’efficacité probante de l’hydroxychloroquine sur les malades. (Washington) L’administration d’hydroxychloroquine, un médicament contre le paludisme, n’a ni amélioré ni détérioré de manière significative l’état de patients gravement malades du coronavirus, selon une étude publiée jeudi et réalisée dans des hôpitaux new-yorkais.
Publié le 7 mai 2020 à 20h09 ✓ Lien copié Agence France-Presse « Le risque d’intubation ou de décès n’était pas significativement plus important ou moindre parmi les patients ayant reçu l’hydroxychloroquine que parmi ceux n’ayant rien reçu », ont précisé les auteurs de l’étude parue dans le New England Journal of Medicine. Financée par les Instituts de santé américains (NIH), l’étude d’observation a été conduite sur des malades de la COVID-19 admis dans les services d’urgence des hôpitaux New York-Presbyterian Hospital et Columbia University Irving Medical Center. Quelque 811 patients ont reçu deux doses de 600 mg d’hydroxychloroquine le premier jour puis 400 mg quotidiennement pendant quatre jours.
Observational Study of Hydroxychloroquine in Hospitalized Patients with Covid-19. Penser la pandémie (partie 1) Penser la pandémie (partie 2) Panser la Pandémie (partie 2) – Politiques des sciences. Dans notre première vidéo diffusée le 26 avril, nous avons reconstitué la chronologie de la pandémie de coronavirus et présenté les faits scientifiques saillants connus à l’époque pour les confronter ensuite à la gestion politique de la crise.
Aujourd’hui, nous allons adopter une approche historique pour souligner le fait que l’épidémie ne se réduit pas à sa composante biologique : elle est aussi une pathologie sociale, économique et politique. Il s’agit de reconstituer ce qu’aurait pu être une mise en débat démocratique et informée des différentes stratégies, en partant de savoirs pluridisciplinaires, de l’expérience commune mais aussi en tenant compte de l’inconnu auquel nous confronte le Covid-19. Penser la pandémie (annexe de la partie 2) : La mort, plus nue que la vérité. Panser la Pandémie (partie 2) – Politiques des sciences. Des chiffres qui relativisent l’ampleur de l’épidémie de Covid-19 dans le monde ? Attention, ces graphiques sont trompeurs. "Il faut cesser d’avoir peur!
Regardez les chiffres et détendez vous! Ne vous laissez plus manipuler par tous les stratèges qui font leur miel de vos peurs! ", annonce cette publication, partagée plus de 4 500 fois sur Facebook depuis le 6 avril, qui classe le nombre de décès du coronavirus loin derrière ceux de la malaria, du tabac ou du cancer dans le monde. "Quelques chiffres intéressants, histoire de remettre les choses en perspective…", indique une publication similaire sur Facebook, qui renvoie vers le site à l’origine de ces chiffres. Les auteurs de l'étude du Lancet contre le protocole Raoult sont-ils à la solde de Gilead ? La Querelle Raoult (Série) : pandémie et post-modernisme. En pleine pandémie de Coronavirus, en France une controverse doublée d’une polémique a vu le jour autour de Didier Raoult, infectiologue à l’IHU de Marseille et de la Chloroquine.
EuropeanScientist ouvre le débat en donnant la parole aux auteurs qui commentent « la querelle de la Chloroquine ». Pro et anti Raoult s’affrontent sur la « méthode Raoult » et ses propositions. Voici un texte de François Vazeille Directeur de recherche CNRS émérite et Membre fondateur de la collaboration mondiale ATLAS auprès du Grand Collisionneur de Hadrons du CERN. L’auteur, grand lecteur des ouvrages de Didier Raoult a revient sur un aspect méconnu de la presse et du grand-public : l’admiration de Didier Raoult pour le philosophe Paul Feyerabend. Un texte qui questionne l’approche scientifique de l’infectiologue marseillais que nous publions afin de compléter notre série initiées avec les textes de Marc Rameaux, Laurent Alexandre, Claude Escarguel.
Global Deaths Due to Various Causes and COVID-19. Short-term tests validate long-term estimates of climate change. How sensitive is climate to atmospheric carbon dioxide levels? For a doubling of CO2 concentration from pre-industrial levels, some models predict an alarming long-term warming of more than 5 °C. But are these estimates believable? Writing in the Journal of Advances in Modeling Earth Systems, Williams et al.1 have tested some of the revisions that have been made to one such model by assessing its accuracy for very short-term weather forecasts.
The results are not reassuring — they support the estimates. There is little doubt, at least among those who understand the science, that climate change is one of the greatest challenges facing humans in the coming decades. One of the key problems is how clouds adjust to warming2. So what have clouds been doing as global warming has slowly taken hold? In lieu of observational evidence, we must turn to computational models of the climate system. EXCLUSIVE-Sanofi stops enrolling COVID-19 patients in hydroxychloroquine trials. Penser la pandémie (Partie 3) : La société masquée. Covid-19 : pourquoi tant de confusions ? – {Sciences²} La confusion règne toujours sur les recherches thérapeutiques visant à mettre au point des traitements antiviraux efficaces contre le Sars-Cov-2. Vendredi dernier, les trois Académies concernées (des sciences, de médecine et de pharmacie) ont publié un communiqué commun qui alerte contre la dispersion et le manque de coordination des études, mais aussi le manque d’éthique dans la communication des résultats.
Les citoyens peuvent en effet légitimement se mettre en colère devant la confusion provoquée par le manque de coordination qui interdit de trouver de manière fiable les réponses aux questions posées quant à l’efficacité et à la mesure des effets secondaires négatifs des différents traitements proposés ou mis en oeuvre. Protocoles rigoureux L’obtention de ces réponses est très difficile. Aucun traitement validé A ce jour, aucun traitement antiviral n’a bénéficié d’une démonstration d’efficacité. Une grande prudence.