Aktion Sühnezeichen Friedensdienste e. V. Bernard Bloch : un comédien pour pousser les murs. Bernard Bloch a voyagé avec des lecteurs de « Témoignage chrétien » en Palestine puis seul en Israël.
Une expérience tissée de révoltes et de belles rencontres dont il a tiré un livre et un spectacle. Bernard Bloch Comédien Bernard Bloch est comédien jusqu’au bout des ongles. La scène est son lieu de vie depuis plus de quarante ans. Son exigence et cette palette d’expériences ne l’ont jamais changé en « théâtreux ». Voyage en « terre ceinte » Le récit de ses pérégrinations récentes en « terre ceinte » (comme il l’écrit justement) a été celui d’une expérience plus existentielle que littéraire, bienveillante pour ce monde et tous ses habitants. « Je n’ai pas fait Sciences-Po. » Mais l’auteur livre en même temps un témoignage documenté (1).
Tout le monde en prend pour son grade : le mur, les violences, la bonne conscience palestinienne, la cécité des Israéliens et des puissances qui s’activent au Proche-Orient. À lire aussi. Ce lien qui unit les Chrétiens et les Juifs. Entretien avec Bogdan Bialek, co-directeur chrétien du Conseil Polonais des Chrétiens et des Juifs C’est un lien unique et particulier qui unit les Juifs et les chrétiens – rappelle Bogdan Bialek.
C’est pourquoi il est souhaitable que l’Église s’engage encore plus dans le dialogue avec les Juifs et le judaïsme. Entretien réalisé à l’occasion des Quatrièmes Rencontres Judéo-Chrétiennes « Shalom/La Paix » de Kielce (Pologne) qui se sont déroulées du 4 au 11 avril 2014[1]. ACI – En quoi consiste, selon vous, le dialogue judéo-chrétien ? Bogdan Bialek – Qu’entend-on par dialogue en général ? ACI – Quand et à quel endroit le dialogue a-t-il réellement commencé ? BB – Les chercheurs s’entendent, et à juste titre, pour dater le début du dialogue, à partir de la déclaration conciliaire Sur la relation de l’Église avec les religions non-chrétiennes du 28 octobre 1965, connue sous l’appellation Nostra Aetate (grâce à son préambule qui débute par ces mots).
BB – Tout dialogue a un sens.
Désintox. Chief Rabbi David Rosen. Antisémitisme religieux. Marc Knobel. Note de lecture : "Comment la terre d’Israël fut inventée" Shlomo Sand (Flammarion) Cette fois-ci, Shlomo Sand s’attaque à un autre mythe meurtrier.
Pour les membres du courant national-religieux, « Dieu a donné cette terre au peuple juif » et au nom de ces conceptions intégristes, les Palestiniens sont des intrus. Mais les sionistes « laïques » partagent cette même conception. Ils ont fait de la Bible un livre de conquête coloniale en affirmant que les Juifs ont toujours eu un attachement indéfectible à « la terre d’Israël », ce qui leur donne un droit de propriété exclusif. C’est ce mythe de la terre qu’il passe à la moulinette avec un style agréable et de très nombreuses références historiques et bibliographiques. Bref, c’est un livre absolument indispensable. Histoires personnelles Dans « Comment le peuple juif fut inventé », Shlomo Sand avait raconté quelques anecdotes personnelles. Là, Shlomo nous livre quelques touches de ses origines. En 1967, Shlomo est soldat dans une armée qui fait la conquête sanglante de Jérusalem-Est.
Le sionisme et la religion juive. Judaïsme : pratique religieuse. Dialogues Inter-religieux. Interfaith « The International Raoul Wallenberg Foundation. Grand Paris : une idée capitale dans toutes les têtes. La scène se passe au service maquette de Libération, devant le schéma du futur métro Grand Paris Express.
En rouge la rocade de la ligne 15 qui fera le tour de la banlieue. Une des maquettistes a cette réflexion: «C’est drôle, on dirait que Paris disparaît…». La scène se passe lors d’une réunion associative à Athis-Mons, en bordure de la future métropole du Grand Paris. Une banlieue très pavillonnaire. Une vingtaine de personnes. La scène se passe un peu partout et quelqu’un pose cette question: «Alors, ce Grand Paris, ça va se faire?» L’imaginaire du Grand Paris est un chantier en construction que, pour le moment, seuls les politiques bâtissent. L’histoire d’une prudence Qui est l’artisan du Grand Paris? Parallèlement, en 2006, Paris impulse une «conférence métropolitaine», club informel qui réunit quelques maires de banlieue, dont une poignée à droite comme Philippe Laurent (Sceaux), Jacques J.P.
La lisibilité politique de toutes ces démarches est nulle mais là n’est pas le propos. Contre-attaque(s) - Pour en finir avec l'islamophobie.