Révolution française : une nécropole découverte en plein Paris ? Histoire : Thérésa Cabarrus, un coup de coeur sous la Terreur. Assise dans la misérable geôle du château du Hâ, près de Bordeaux, Thérésa Cabarrus, habitée par le désespoir, n'en finit pas de ressasser son passé.
Les murs sont humides, la cellule grouille de vermine et de rats. A 20 ans, elle se sent bien trop jeune pour avoir déjà tant de souvenirs. Ce mois de décembre 1793, à quelques heures d'être guillotinée, Thérésa revisite les heureuses années de sa vie. L'opulence de son enfance. Son père, un banquier espagnol de petite noblesse devenu extrêmement fortuné, s'est distingué au sein de la société madrilène avant d'être honoré d'un titre de comte. Son arrivée à Paris et son mariage, en 1788, avec Jean Jacques Devin de Fontenay, conseiller aux enquêtes du Parlement de Paris. Car ses illusions n'étaient pas que sentimentales.
Elle s'amusait du tutoiement citoyen et se coiffait de la cocarde tricolore. Il ressent un élan de passion en la voyant Mais la proscription des Girondins par la Montagne, au printemps de 1793, sonne la fin de l'insouciance. Toussaint Louverture. Descendant d'esclaves noirs, lui-même affranchi, il joue un rôle historique de premier plan en tant que chef de la Révolution haïtienne (1791-1802) et devient l'une des grandes figures des mouvements anticolonialiste, abolitionniste et d'émancipation des Noirs.
Arrêté et emmené en France, Toussaint Louverture finit ses jours en 1803, incarcéré en isolement au fort de Joux, dans le rude climat du Doubs, sans avoir pu connaître la proclamation d'indépendance d'Haïti le 1er janvier 1804 par son ancien lieutenant Jean-Jacques Dessalines. Biographie[modifier | modifier le code] Thomas Alexandre Dumas. Jean-Lambert Tallien. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(février 2017).
Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. Jean-Lambert Tallien, né le 23 janvier 1767 à Paris où il est mort le 16 novembre 1820, est un révolutionnaire et journaliste français. Thérésa Tallien. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Thérésa Tallien Thérésa Tallien. Lazare Carnot. Pour les articles homonymes, voir Carnot.
Famille[modifier | modifier le code] Biographie[modifier | modifier le code] Capitaine du génie et poète[modifier | modifier le code] Lazare Carnot entre très jeune dans l'arme du génie en 1771, à l'âge de dix-huit ans. Passant pour un original parmi ses camarades, il n'a encore que le grade de capitaine au corps royal du génie lorsqu'il écrit, en 1783, l'éloge de Vauban qui est couronné par l'Académie de Dijon. Camille Desmoulins. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Paul Barras. Pour les articles homonymes, voir Barras.
Paul de Barras, dit le vicomte de Barras, puis Paul Barras, né le 30 juin 1755 à Fox-Amphoux et mort le 29 janvier 1829 à Paris, est un noble français, homme politique révolutionnaire, général de la Révolution et de l’Empire. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise. Pierre Victurnien Vergniaud. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(mars 2017).
Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. Pierre Victurnien Vergniaud Biographie[modifier | modifier le code] Antoine Fouquier-Tinville. Hébertistes. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(novembre 2008).
Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. Ordre d'exécution des hébertistes publié par le Tribunal révolutionnaire signé de la main de Fouquier-Tinville. Origine du mouvement dit des exagérés[modifier | modifier le code] Dans les jours qui précédèrent le 10 août 1792, plusieurs meneurs « exagérés » dans leurs propos et leur costumes avaient admis que les insurrections de masse n’étaient rendues possible que par certains artifices. La presse joua à cet égard un grand rôle et les journaux de Hébert et de Marat qui étaient soutenus financièrement par des achats massifs ordonnés par la Commune ou sur les fonds du ministère de la guerre, se firent l’écho des accusations lancées contre Brissot et Lebrun.
Ministres (1792-1793) Jean-Paul Marat. Pour les articles homonymes, voir Marat.
Médecin et physicien[modifier | modifier le code] Plaque commémorative sur la maison natale de Jean-Paul Marat à Boudry. Georges Jacques Danton. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Georges Jacques Danton, né le 26 octobre 1759 à Arcis-sur-Aube et mort guillotiné le 5 avril 1794 (16 germinal an II) à Paris, est un avocat au Conseil du Roi et un homme politique français. La Révolution française - Cahiers de l’Institut d’histoire de la Révolution française. Constitution du 6 messidor an I. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(mars 2013).
Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. Constitution du 24 juin 1793 Lire en ligne Consulter La Constitution de l'an I, souvent surnommée la Constitution de 1793, est élaborée pendant la Révolution française par la Convention montagnarde et promulguée solennellement le 6 messidor an I (24 juin 1793). Journées du 31 mai et du 2 juin 1793. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(mars 2017).
Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. Les événements préalables[modifier | modifier le code] Le 3 avril, Robespierre demanda devant la Convention la mise en accusation des complices du général, déclaré traître à la patrie, « et notamment Brissot », attaque réitérée le 10 avril. Journée du 10 août 1792. Pour les articles homonymes, voir Dix-Août. Armoire de fer. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. États généraux de 1789. Ils se composèrent de près de 1 200 députés[2] élus, dans les pays d'élections, selon le règlement général du 24 janvier 1789[3] et les deux tableaux y annexés[4], et, dans les pays d'états, selon des règlements particuliers[5].
Convention nationale. Massacres de Septembre. Les massacres de Septembre sont une suite d’exécutions sommaires qui se sont déroulées du 2 au 6 ou au à Paris[1]. Des massacres semblables ont également eu lieu dans le reste de la France (à Orléans, Meaux, Reims,Versailles...), mais avec moins de victimes sur une plus longue durée. Club des jacobins.
Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1793. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Articles de constitution de 1789. Articles de constitution de 1789. Louis XVI. Louis XVI est surtout connu pour son rôle dans la Révolution Française, débutée suite à la convocation des états généraux en 1789, une des tentatives du roi pour réformer les finances de l'État. Massacres de Septembre. An III. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’an III du calendrier républicain, correspond aux années 1794 et 1795 du calendrier grégorien. Cette année a commencé le 22 septembre 1794 et s'est terminée le 22 septembre 1795. Directoire. Convention thermidorienne. Chute de Robespierre.
Exposition - Gouverner avec la peur : la Terreur (1793-1794)