Les abeilles disparaissent. Le mystère de la disparition des abeilles - extrait. Pesticides : quand les abeilles ont le bourdon … Les abeilles sont considérées comme les “reines de la biodiversité”.
Et pourtant, leur nombre continue de diminuer. La raison : un système d’agriculture intensive qui utilise à outrance des produits chimiques. Ce système est promu par des entreprises agrochimiques telles que Bayer, Syngenta ou encore BASF. Mobilisation de Greenpeace devant le siège de Bayer, en Allemagne Nous souhaitons démontrer que le modèle agricole actuel a des effets néfastes sur les abeilles. L’étude a révélé que plus des deux tiers du pollen prélevés dans les champs et ramenés à la ruche par les abeilles ouvrières ont été contaminés. Le redoutable “effet cocktail” La vaste gamme de produits toxiques trouvés indique que les abeilles peuvent être exposées à des mélanges complexes d’insecticides, d’acaricides et de fongicides dans leur nourriture et dans la ruche. Il devient désormais urgent de protéger nos abeilles et notre agriculture.
Partagez cet article : Ou envoyez ce lien par e-mail : GMOs Are Killing the Bees, Butterflies, Birds and . . . ? "It is ironic to think that man might determine his own future by something so seemingly trivial as the choice of an insect spray.
" - Rachel Carson, Silent Spring When the honeybees, our most important food pollinators, started dropping like proverbial flies, scientists scrambled to identify their killer (or killers). Attention eventually turned to the increased use of a class of pesticides known as neonicotinoids. Scientists now believe at least some of these pesticides play a major role in Colony Collapse Disorder (CCD), the ongoing demise of honeybee colonies. Who makes the neonicotinoids? Syngenta, Bayer CropSciences and Dow Agrosciences. Who's using them, and for what purpose? We need bees in order to grow food, or at least some of it.
It's not just the bees that are dying. As consumers ask more and more questions about the impact of GMO foods and crops on our health and environment, we're making smarter choices about the foods we choose to eat. The Task Force on Systemic Pesticides. Pesticide makers have found a new way to kill bees. Pesticides : des parlementaires invitent le gouvernement à agir auprès de l’UE. Pour mémoire : les néonicotinoïdes sont une famille d’insecticides agissant sur le système nerveux des insectes.
Ils sont extrêmement nocifs pour nos précieux pollinisateurs dont la population ne cesse de décliner. La pollinisation représente 35% de notre production alimentaire, et les services rendus par la pollinisation représentent 153 milliards d’euros. La réglementation en vigueur date de mai 2013, lorsque la Commission Européenne a restreint l’utilisation de trois néonicotinoïdes, suite à une décision rendue par l’Agence européenne de sécurité des aliments (AESA), constatant le risque grave engendré par ces pesticides sur les abeilles.L’Union Européenne reconnaissait alors le rôle de ces substances sur la disparition des pollinisateurs ! Mais le problème reste entier puisque certaines de ces substances sont, encore aujourd’hui, utilisées sur de très larges surfaces. La France s’est fixé pour objectif d’être leader en matière d’agro-écologie.
Everything we know about neonic pesticides is awful. Neonicotinoid pesticides are great at killing insect pests, which helps to explain the dramatic rise in their use during the past 20 years.
They’re popular because they are systemic pesticides — they don’t just get sprayed onto plant surfaces. They can be applied to seeds, roots, and soil, becoming incorporated into a growing plant, turning it into poison for any bugs that might munch upon it. But using neonics to control pests is like using a hand grenade to thwart a bank robbery. Greenpeace réclame l'interdiction de 7 pesticides pour protéger les abeilles. Greenpeace demande l'interdiction de sept pesticides accusés de contribuer au déclin des abeilles, dont trois sont déjà dans le collimateur de la Commission européenne, dans un rapport scientifique rendu public mardi 9 avril.
"Les données scientifiques sont claires et montrent que la nocivité potentielle de ces pesticides est largement supérieure à tous les avantages qu'ils pourraient apporter en termes de lutte contre les parasites et d'augmentation des rendements agricoles", estime l'ONG, à l'initiative de ce rapport conduit par des scientifiques d'Exeter (Grande-Bretagne) et d'Europe centrale.
Pour Greenpeace, sept pesticides présentent "les dangers potentiels les plus immédiats pour la santé des pollinisateurs" et doivent être interdits. Y figurent notamment trois néonicotinoïdes (clothianidine, imidaclopride et thiaméthoxame), utilisés pour le maïs, le colza, le tournesol et le coton, que la Commission européenne souhaite suspendre pendant deux ans. À qui profite le miel ? #DATAGUEULE 20. Monsanto, sa vie son empire #DATAGUEULE 6.