25 octobre 1767 : naissance de Benjamin Constant. Aller au contenu principal 25 octobre 1767 : naissance de Benjamin Constant Il y a 250 ans, le 25 octobre 1767, naissait Benjamin Constant.
Dans notre rubrique sur les "Classiques", Michel Winock fait le point sur l'importance de ses écrits politiques. Qu’est-ce qui se cache sous le beau mot de liberté ? Benjamin Constant nous aidait à le démêler lors d’une mémorable conférence. A lire en accès libre : « De la liberté des Anciens comparée à celle des Modernes » par Benjamin Constant, Michel Winock, L'Histoire n°346, octobre 2009. Image : Benjamin constantWikimedia Commons Nos rubriques Expositions / Cinéma / Compte rendus de livres / Bande dessinées / Portraits / Les Classiques / Carte Blanche Préparer les concours Tous nos webdossiers pour préparer les concours Cartothèque les cartes publiées dans L'Histoire En poursuivant votre navigation sur les sites du groupe Sophia Publications, vous acceptez l'utilisation des cookies permettant de vous proposer des services et contenus personnalisés.
Partager. BENJAMIN CONSTANT. « De la liberté des Anciens comparée à celle des Modernes » par Benjamin Constant. La thèse En 1819, Benjamin Constant donne au cercle de l’Athénée une conférence mémorable, « De la liberté des Anciens comparée à celle des Modernes ». Deux sortes de liberté existent, dit-il. La liberté des Anciens, en Grèce comme à Rome, c’est la liberté politique, la délibération publique sur les grandes affaires de la Cité, au prix de « l’assujettissement complet de l’individu à l’autorité de l’ensemble » .
La liberté des Modernes, c’est la liberté individuelle, liberté de dire et de penser ce qu’on veut, liberté religieuse, liberté de détenir une propriété, de travailler et de commercer. Est-ce à dire que la liberté politique est obsolète ? L’auteur Né en 1767, d’une famille protestante suisse d’origine française, Benjamin Constant a connu une vie agitée, notamment dans ses relations avec Mme de Staël, et passé pour une girouette, successivement monarchiste, républicain, napoléonien, de nouveau monarchiste au gré des événements.
Qu’en reste-t-il ? « De la liberté des Anciens comparée à celle des Modernes » par Benjamin Constant. Benjamin Constant. Portrait de Benjamin Constant.
Plaque à Lausanne. Vue de la sépulture. Benjamin Constant de Rebecque, né à Lausanne le 25 octobre 1767 et mort à Paris le 8 décembre 1830, inhumé au cimetière du Père-Lachaise[1], est un romancier, homme politique, et intellectuel français d'origine vaudoise. Biographie[modifier | modifier le code] Les Chevaliers, roman héroïque en cinq chants, composé par Benjamin Constant à l'âge de 12 ans. Famille et formation[modifier | modifier le code] Léon-Pascal Glain, Louise-Julie Carreau-Talma avec qui Constant se lie d'amitié[3] Mme de Staël avec sa fille Albertine, fille présumée de Constant vers 1805. Or le 5 juin 1808, Benjamin et Charlotte se marient en secret.
Sous la Révolution française[modifier | modifier le code] Il se fait naturaliser français grâce à une loi du 15 décembre 1790[2] déclarant Français les descendants de familles expatriées pour cause de religion (les protestants en l'occurrence), à condition qu'ils s'installent en France[10]. Lettre à M. Les écrivains français en politique - De l'Empire à la « monarchie de Juillet » (1804-1848) De l’Empire à la Troisième République, le XIXe siècle a été jalonné par de nombreux régimes politiques et ébranlé par de violentes secousses.
C’est aussi un siècle durant lequel les grands écrivains n’ont pas hésité à s’engager, balançant entre hommes d’influence, hommes d’action et hommes de pouvoir. De ces liens qu’ils ont tissés entre littérature et politique, ils ont fait une partie de l’identité française et seront suivis par leurs successeurs lors du siècle suivant. C’est l’histoire de ce compagnonnage parfois ambigu, souvent heurté, que nous allons retracer en trois parties. La première couvre l’Empire et la révolution de 1830. Elle évoque des figures particulièrement marquantes tels que Chateaubriand ou Alexandre Dumas, qui s’impliqueront avec fougue dans la vie politique sans pour autant recevoir les récompenses auxquelles ils aspiraient. L’Empire et la Restauration - De Staël et Constant : un couple de libéraux Pendant la Restauration, il est élu député.