Diapo barbara kruger par Janne. Barbara Kruger Artist - Mary Boone Gallery. Barbara Kruger is an artist who, since the late 1970s, has explored the power of image and text.
Her bold works combining black-and-white photography and white-on-red type have become icons of late 20th Century art. For forty years her work has had a broad influence on contemporary art, graphic design, and cultural discourse. In 1991, for an Installation at Mary Boone Gallery, Kruger created a total environment of words and images covering the walls, ceiling, and floor.
In 1994, Kruger refined this idea by seamlessly papering the Gallery walls, tiling the floor with engraved metal plates, and introducing a booming recorded voice-over. For a two-gallery exhibition in 1997 she exhibited life-size figurative sculpture at Mary Boone Gallery and the first of her projected light and sound installations at a project space run by Jeffrey Deitch. Barbara Kruger. Sans titre, 2006, Australian Center for Contemporary Art Biographie[modifier | modifier le code] Style et démarches artistiques[modifier | modifier le code] Influence de sa carrière professionnelle[modifier | modifier le code] Barbara Kruger exécute depuis 1981 des photomontages[2]. Dans son travail, elle détourne l’image publicitaire sur des sujets de société de consommation. Elle mixe des photographies de sources existantes avec des textes concis et agressifs (slogan marquant) qui impliquent le spectateur sur des sujets de société de consommation.
La violence des images et des propos prend pour cible la société de consommation ainsi que les minorités (ethniques et sexuelles), soumises à l’autorité et aux stéréotypes sociaux. Elle fait partie d’une catégorie d’artistes que l’on nomme « artistes politiques » dans le milieu des années 1980, marquées par l’industrie culturelle. Expositions[modifier | modifier le code] Travaux[modifier | modifier le code] date : 1989. Édition by Claire Pinot. National Gallery of Art, Washington, D.C. Barbara Kruger. Barbara Kruger est une artiste conceptuelle américaine connue pour ses combinaisons d’images qui transmettent une critique culturelle résolument féministe.
Ses œuvres mettent en avant des stéréotypes et des comportements de consommation à travers des images sur lesquelles des textes sont inscrits, souvent en noir et blanc avec des nuances de rouge dans des phrases courtes « You are a captive audience » (Vous êtes un public captif) ou « I shop therefore I am » (Je fais les boutiques donc j’existe). Né le 26 janvier 1945 à Newark dans le New Jersey, Kruger travaille en tant que graphique designer et directrice artistique après avoir étudié à l’université de Syracuse et à la Parsons School of Design dans les années 1960, un plan de carrière qui influencera directement son style.
Comme l’artiste multimédia Jenny Holzer, Kruger utilise le langage pour diffuser ses idées au spectateur d’une multitude de façons, qu’il s’agisse d’estampes, de photos, de signes électroniques ou de panneaux. La Politique du malaise dans les photomontages de Barbara Kruger. Les slogans différents de Barbara Kruger. Le 27 septembre, l'artiste américaine Barbara Kruger se trouvait à Toulouse pour le 2e Printemps de septembre, le festival d'arts visuels (Le Monde du 3 octobre).
La veille, elle avait recouvert à Francfort la façade d'un grand magasin avec ses panneaux-slogans sous le titre "Shopping". Elle est aussi à Lille, dans l'exposition "Sans commune mesure" sur les relations images-textes dans l'art. A Toulouse, cette boule de feu de 57 ans, militante d'un art dans la rue, est doublement représentée : au Musée des Abattoirs, elle a tapissé le sol d'une salle immense de seize slogans sur fond de couleurs commerciales – "Achetez comme nous", "Vivez comme nous", "Haïssez comme nous", "Mangez comme nous"; sept de ces slogans, inscrits sur des bâches rouges, sont visibles au centre-ville. A la demande des riverains, deux bâches ont été retirées – "Pleurez comme nous" et "Mourez comme nous"–, rappelant trop l'explosion de l'usine AZF, il y a un an.
Barbara Kruger. Barbara Kruger - Untitled, 1994/1995 (Museum Ludwig) Barbara KRUGER, Untitled (your body is a battleground), 1989. "Circus", l'installation de Barbara Kruger. Barbara Kruger. Ancienne graphiste de la revue new-yorkaise « Mademoiselle », Barbara Kruger détourne l’image publicitaire, qu’elle expose agrandie, et lui adjoint un slogan écrit en caractères d’imprimerie.
Intimidantes par la violence des images et les propos explicitement dirigés vers le spectateur, ses images « politiques » prennent pour cadre la société de consommation ainsi que les minorités de toutes sortes (raciales et sexuelles) soumises à l’autorité blanche et masculine. Ses photomontages qui évoquent par le ton injonctif et le graphisme épuré quelque chose de l’Agit-Prop révolutionnaire, ou des montages photographiques anti-hitlériens de John Heartfield, peuvent être considérés comme autant de stéréotypes jouant un rôle prépondérant dans notre constitution de sujets sociaux et que le spectateur réceptionne selon ses dispositions.
La femme – toujours – couchée dans son lit, d’un sommeil qui semble agité, en proie à une gigantesque main clairement féminine (la sienne ?) Emmanuel Grandjean. Museum Ludwig: Kruger, Barbara, Untitled (Ohne Titel) Barbara KRUGER (1945-), Untitled (Sans titre), 1994-95, dimensions variables, installation de sérigraphies photographiques sur papier. Cologne, museum Ludwig, collection Ludwig. Centrepompidou. Barbara Kruger. Le thème central de l'art de Barbara Kruger est l'utilisation et l'abus de pouvoir en politique, mais aussi dans les médias et dans la publicité.
Dans son installation, elle travaille avec des photomontages, des lettres et des enregistrements sonores. Elle combine ses images photographiques considérablement agrandies avec des barres de texte rouges et les met en scène selon le modèle des stratégies publicitaires populaires. Les photographies montrent des images oppressantes et irritantes d'êtres humains et des scènes de comportement anormal. Des slogans frappants comme : « Croyez comme nous » ou « Combattez comme nous » attaquent également le spectateur. Avec le mot « nous », le spectateur n'est pas seulement adressé directement, mais il montre également comment il peut être influencé. > Art engagé, réflexion sur les mécanismes visuels (puissance de l'image, du mot qui fait image) utilisés par la propagande> Oeuvre in situ : à définir.
Barbara Kruger. Plasticienne américaine.
Issue d’une famille de la classe moyenne du New Jersey, Barbara Kruger reçoit à partir de 1965 une formation à la Parsons School of Design à NewYork, où elle est influencée par les photographies de Diane Arbus et par Marvin Israel, graphiste de la revue Harper’s Bazaar. Elle travaille dans une agence de publicité, puis, pendant six années, pour le magazine de mode new-yorkais Mademoiselle, dirigé par Condé Nast (qui publie aussi Vogue). Elle y apprend les protocoles de construction des images destinées à la communication de masse et, notamment, à opérer les cadrages permet-tant le meilleur impact visuel – technique de saisie des regards, qu’elle réutilise ensuite dans ses premières pièces comme artiste en 1969.