La fabrique à BD de la BnF, l'application gratuite. Nous respectons votre vie privée Nous (la société Webedia) et nos partenaires utilisons des technologies telles que les cookies sur notre site pour personnaliser le contenu et les annonces publicitaires, vous fournir des fonctionnalités de médias sociaux et pour analyser notre trafic sur le site et sur Internet.
En cliquant sur le bouton « Ok » ou en poursuivant votre navigation via une action de défilement, vous acceptez le traitement de vos données personnelles (ex: adresse ip) pour servir ces différentes finalités.Vous pouvez à tout moment modifier vos choix de consentement en vous rendant sur notre charte cookies. Les impacts du numerique en BD. Pour son quinzième opus, la Revue Dessinée [1] publie un reportage sur les impacts du numérique et comment le rendre plus responsable.
Derrière un dessin et un scénario en apparence légers, mais qui en font un régal à parcourir, se cache une enquête minutieuse et fouillée. L’angle Aux commandes, Vincent Courboulay (enquête) et Loïc Sécheresse (dessin) ont choisi un angle d’approche original : les auteurs ont ramené Steve Jobs à la vie ! Steve rencontre une divinité chargée de peser son âme pour valider son entrée dans un paradis. Persuadé de la beauté de son karma, il va être confronté à une triste réalité. Son voyage va le mener des mines en République démocratique du Congo où sont extraits des minéraux comme le coltan jusqu’aux décharges à ciel ouvert du Nigéria et du Ghana en passant par les usines d’assemblage en Chine et par l’utilisation irraisonnée dans nos sociétés.
Le poids du clic Nos clics quotidiens ont l’air anodins. Un outil pédagogique ? Les auteurs. Green IT - GreenIT.fr - la communauté des acteurs du numérique responsable, green IT et de l'éco-conception logiciel et site web. ALEC Plaine Commune 2013 Les data centers sur Plaine Commune. Pour une informatique éco-responsable. Le nuage de pollution d'Internet. Les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) ont à jamais bouleversé notre époque, transformant en profondeur nos échanges et le partage de l’information.
On pourrait penser qu’elles participent de la dématérialisation : moins de déplacements, plus d’efficacité dans la gestion des flux, et donc diminution de notre empreinte écologique. Mais est-ce si simple ? Le développement exponentiel de l’utilisation des NTIC dans la vie quotidienne, phénomène dit du “big data”, font en réalité d’Internet un moyen de communication très énergivore. Virtuel seulement en apparence, il s’appuie sur une infrastructure très réelle. Et polluante. De votre boîte mail à celle de votre destinataire ou encore de votre requête Google aux sites Web, le chemin est bien réel.
En effet, votre mail emprunte les dédales de câbles de cuivre pour rejoindre dans un premier temps, les serveurs de votre quartier. L’impact énergétique des gestes quotidiens sur Internet. Trop de pollution numérique ? J’ai testé le Web écolo - 12 novembre 2015. La machine a été la première à tirer le signal d’alarme : « Vous utilisez la totalité de votre espace de stockage.
Il vous sera bientôt impossible d’envoyer et de recevoir des mails. » Ce matin-là, en ouvrant ma boîte mail, la douche était froide avant même la salle de bain. « Ce n’est pas illimité ? Je vais devoir trier les 15 000 messages emmagasinés depuis 2007 ? Je prends trop de place sur la Toile Avant de me faire moins égoïste : « Je prends trop de place sur la Toile, c’est grave docteur ?
Je connaissais les datacenters (« centres de données »), où s’alignent des barres de serveurs qui consomment une énergie monstre pour garder la tête froide. Merci, votre inscription a bien été prise en compte. Avec son nucléaire bon marché, la France se place au quatrième rang mondial pour le stockage et le traitement des données informatiques, d’après DataCenterMap.com, site qui référence les équipements mondiaux. Carte de France de la pollution numérique - Chroniques Cartographiques. Pollution numérique : l'impact sur l’environnement n'est pas virtuel. Chaque année, un salarié français émet l’équivalent de 514 kg de gaz à effet de serre, rien que par son activité numérique.
C’est l’équivalent d’un Paris-Moscou en voiture... Un chiffre à multiplier par les quelque 27 millions de salariés que compte l’Hexagone. Quant aux besoins énergétiques, cela revient à allumer 50 ampoules basse-consommation pendant 2 000 heures pour chaque salarié. Et côté consommation d’eau, cela représente 23 555 litres, soit l’équivalent de 428 douches, là encore par salarié. Ces chiffres, publiés par le cabinet d’analyse Green IT le 21 avril dernier, prennent en compte la fabrication et l’utilisation des équipements. Vers des data centers 100% renouvelables ? Quelles sont les principales sources de pollution ? Chaque année, Greenpeace scrute donc leur consommation et leur approvisionnement énergétique dans son baromètre Click Clean.
Comme en 2014, le bonnet d’âne revient à Amazon Web Services. Allonger la durée de vie des équipements Ecoconception des logiciels. Pollution numérique : cinq gestes pour sauver l’environnement.