Les 17 étapes pour faire émerger un leadership inspirant et transformationnel. Pour en savoir plus sur la Théorie U : Site en français (et à l’origine de cette traduction) :
Leadership transformationnel. La théorie du leadership transformationnel est une approche du leadership défendue entre autres, par Russell Ackoff, Bruce Avolio, Bernard Bass ou James Burns.
Cette théorie pose comme hypothèse que les gens suivent une personne qui les inspire et qui leur donne une vision claire et convaincante. En retour, les subordonnés agissent avec un dévouement et une loyauté incontestables. Le leadership transformationnel cherche à élever le niveau de motivation et de moralité dans les organisations en faisant plus appel à des besoins intrinsèques de long terme et moins à une demande extrinsèque de court terme. Le leader est une personne qui est dotée d'une vision du futur et qui partage sa passion pour réaliser de grandes choses. Il fait avancer son projet en injectant l'enthousiasme et de l'énergie autour de lui(elle). Leadership serviteur. Le concept du leader serviteur fut popularisé, au début des années 1970, par Robert K.
Greenleaf (1904-1990). Il s’agit d’un leadership éthique qui se veut une critique du leadership autoritaire, préconisé par Frederick W. Taylor et prévalant aux USA, au début de son industrialisation. Leadership rhétorique. Le leadership rhétorique du leader charismatique a été souligné par la théorie de l'entrepreneur institutionnel et de la théorie discursive de l'institutionnalisation.
L'usage du leadership rhétorique par les leaders charismatiques Les chercheurs (S. Levin, J. S. Mio, R. Leadership appréciatif. Initialement introduit par Srivastva et Cooperrider (1987), le leadership appréciatif est basé sur les fondamentaux du constructivisme social.
Le leadership appréciatif se concentre à comprendre, à apprendre et à s'appuyer sur ce qui fonctionne plutôt que ce qui ne va pas dans le milieu du travail. Il apprend à chaque individu dans la société à être des leaders, à s'apprécier comme leaders dirigeants, à explorer les conditions qui donnent cette idée et cette énergie pour imaginer son avenir en tant que leader. Selon la définition du mot apprécier, il existe 4 façons de définir ce mot. En premier, apprécier représente l'acte de reconnaître le meilleur chez les gens ou le monde autour de soi.
La coopération en mode matriciel : risques et bonnes pratiques. Les organisations matricielles, séduisantes sur le papier, portent les germes de nombreux dysfonctionnements : dilution des responsabilités, alourdissement des processus de décision, bureaucratie galopante … Un client nous a demandé d’accompagner la transition de son entreprise vers un mode matriciel (inévitable du fait de la mutualisation des fonctions support sous forme de shared services) en donnant aux collaborateurs des clés pour bien coopérer.
Je décris ici notre apport. La principale difficulté de la coopération dans une organisation matricielle est de maintenir un rapport "gagnant / gagnant" entre les équipes de l’axe horizontal (dans notre exemple la fonction support) et celles de l’axe vertical (la fonction business) Le rapport "gagnant / gagnant" … et les autres ! Dans l’excellent modèle des "positions de vie" de l’analyse transactionnelle, avoir un rapport gagnant / gagnant correspond à une relation "++". Je suis "–" quand je considère … qu’aucun des deux n’est à la hauteur ! LE BONHEUR AU TRAVAIL : DE LA PROPOSITION DE REVE AU RISQUE D’INJONCTION A ETRE. Dans la droite ligne de la mode de la libération des entreprise ou de la pleine conscience, on voit surgir une nouvelle proposition : Le bonheur au travail.
L’irruption, ou devrions nous dire l’éruption, de ces propositions sonne comme des promesses d’avenir radieux mais peuvent parfois être transformées en des injonctions cachées d’un système économique en réorganisation permanente et qui tente d’amener les individus à compenser individuellement les problèmes que ce même système génère. La proposition du bonheur mérite d’être examinée car qui refuserait une telle proposition ? La référence à Spinoza tente de placer le débat dans le champ philosophique. C’est certainement une nécessité car le bonheur est bien une question de philosophie. Mais de philosophie personnelle plutôt que d’injonction ou de morale sociale. Les 7 points qui différencient une entreprise libérée d’une organisation classique. Chroniques d’experts Organisation Le 28/05/2015 Temps de lecture : 8 minutes Identifier les sept points communs des entreprises libérées permet de comprendre, en creux, ce qui peut dysfonctionner dans les organisations traditionnelles.
Quel que soit le domaine ou le secteur d’activité dans lequel elles évoluent, les entreprises libérées ont des points communs. 1. La souffrance au travail a un coût : le coût du stress a été évalué à 3,8 % du PIB par des études européennes, soit entre 3 et 3,5 millions de journées de travail perdues. 2. Incarner une vision et la faire partager à ses collaborateurs : si cela était courant dans les entreprises familiales et paternalistes de la période préindustrielle, les dirigeants d’aujourd’hui sont tout aussi volatiles que les investisseurs. 3. Pour maintenir la cohésion au sein d’un collectif de travail, il ne suffit pas d’afficher des valeurs telles qu’on peut le voir dans les chartes d’entreprise.
Intelligence collective. L'organisation matricielle, véritable révolution copernicienne du management permet enfin d'associer les talents dans nos entreprises.
L'enjeu ? Favoriser l'innovation, véritable levier de croissance et d'engagement. L’histoire explique l’actualité et est source d’inspiration pour l’avenir. Alors rappelons-nous que le management existe depuis des milliers d’années et plus loin encore. Il a eu différentes fonctions: l’organisation des tâches, l’augmentation de la productivité (Taylor, Gilbreth, Gantt), ou encore l’organisation globale de l’entreprise (Fayol, Weber). Les 17 étapes pour faire émerger un leadership inspirant et transformationnel.