IFLA Statement on Digital Literacy (18 August 2017) Digital technologies have dramatically transformed our lives.
Yet even with physical access to these tools[1], it is not a given that all can take full advantage of the opportunities created to receive, apply, share, and create information. Just as basic literacy – the ability to read and assimilate information – is essential for individuals to participate and flourish in society[2], realising the potential of ICTs for personal and community development requires everyone to have the necessary knowledge, skills, attitudes and behaviours.
Media and information literacy is a central part of this. Given libraries’ mission to help all their users access and apply the information they need for personal and community development[3], this is an important part of the practice of librarianship. This statement sets out the case for action, defines ‘digital literacy,’ offers examples of how libraries are contributing, and makes recommendations to governments and other stakeholders.
Bâtir une société de l’information plus forte de bas en haut : déclaration de l’IFLA sur la maîtrise de l’information numérique. 22 Août 2017 From the Annual Conference English | Русский | Español | 简体中文 | Deutsch | العربية Séances de formation à la maîtrise de l’information numérique à la bibliothèque de la ville d’Imus aux Philippines ; Photo: IREX sur Flickr Nous passons le plus clair de notre temps à naviguer sur Internet.
Rester en contact avec nos proches, déclarer nos impôts, tout se fait maintenant en ligne. Les bibliothèques ont, de longue date, assisté leurs utilisateurs dans l’apprentissage, la création et la participation. En gardant cette mission à l’esprit, les bibliothèques ont été pionnières dans la promotion non seulement de l'accès à Internet, mais aussi dans l'assistance aux besoins des usagers.
Tout comme l'alphabétisation de base a longtemps permis aux usagers de tirer le meilleur parti des documents imprimés, de même la maîtrise de l’information numérique leur permettra de bénéficier au mieux des outils numériques pour améliorer leur vie. Charte biblib abf. Qu'est-ce que l’illectronisme, qui concerne un quart des Français ? - Le monde bouge. De nombreux Français ont des difficultés à utiliser Internet au quotidien.
L’“illectronisme”, nouveau mot pour désigner la fracture numérique, constitue un vrai handicap, notamment pour les démarches administratives. L’illectronisme, c’est le terme désormais retenu pour nommer l’illettrisme numérique. C’est à dire la difficulté à utiliser internet dans la vie de tous les jours. Le phénomène n’est pas du tout anecdotique : il concerne un quart des Français. Et près d’un tiers vont jusqu’à renoncer à se connecter, assure le CSA Research (1). La question de la fracture numérique s’est posée dès qu’Internet s’est développé. Le CSA a distingué plusieurs profils d’usagers : les « aguerris », qui n’ont aucune difficulté.
Tribune-comment-la-france-s-est-vendue-aux-gafam-05-01-2019-2283510_420. Vous ne savez toujours pas vous servir de l’informatique. Des dinosaures et des hommes Ce n’est pas que je n’ai pas envie de vous parler cinéma pour ce premier billet de la saison 2018-2019 – d’autant que j’ai découvert quelques contenus intéressants – mais la rentrée scolaire m’incite plutôt à vous donner quelques devoirs.
Les dinosaures de mon espèce auront évidemment compris que cette chronique faisait référence à ce billet traduit ici . Arrêtons de nous mentir : la jeune génération ne sait pas utiliser un ordinateur ni un smartphone. Elle sait utiliser les différents réseaux sociaux à la mode et éventuellement faire une recherche sur Google. Tout va dépendre de son environnement familial. 13 millions de Français en difficulté avec le numérique.
Les digital natives existent-ils ? À la question « les digital natives existent-ils ?
», cet article voudrait répondre de façon nuancée en proposant l'hypothèse qu'ils existent bien, mais comme une mythologie contemporaine (Roland Barthes). Ce mode d'existence mythique, à saisir depuis les représentations culturelles et l'imaginaire social, pèse tout autant sur les pratiques numériques en les délimitant et en les définissant notamment par rapport à une échelle des âges imaginaires dont l'étalon demeure en effet le « digital native ». « Le numérique est politique plus que technologique » Pionnière du mouvement des fablabs en France, Emmanuelle Roux est sur tous les fronts pour oeuvrer à la démocratisation de ce qu'elle appelle la « culture numérique ». Une mission d'autant plus urgente et complexe qu'elle estime que ce ne sont pas 20% mais bien 90% des Français qui sont « des illetrés numériques ». Combien de Français savent ce qu'est une API ?
Combien d'entre eux ont déjà consulté le code source d'un logiciel ? Et combien ont une idée ne serait-ce qu'approximative de ce qu'est une blockchain ? Depuis plus de vingt ans qu'elle oeuvre à la diffusion de la culture numérique, Emmanuelle Roux a pu constater à quel point l'illetrisme en la matière transcende les générations, les milieux sociaux et les secteurs professionnels.