Cognition and emotion. Figure 1: Contrast of viewing fearful and neutral faces.
Large portions of occipitotemporal cortex are more strongly driven by fearful faces. The arrows point to the fusiform gyrus, a ventral temporal area that is strongly driven by face stimuli. Adapted with permission from the National Academy of Sciences: Pessoa et al. (2002b), copyright (2002). The relationship between cognition and emotion has fascinated important thinkers within the Western intellectual tradition. Historically, emotion and cognition have been viewed as largely separate.
Introduction Cognition refers to processes such as memory, attention, language, problem solving, and planning. Whereas there is relative agreement about what constitutes cognition, the same cannot be said about emotion. Because of the inherent difficulty in providing clear definitions for both cognition and emotion, they will not be further defined here. How to Get Past Negativity Bias in Order to Hardwire Positive Experiences. It’s helpful to know that the brain is plastic and can adapt to challenges.
And when it comes to learning new things, we can build up mental resources through intentional effort. People can get better at realizing self-regulation, executive functions, a sense of perspective or meaning, positive emotions like gratitude, a sense of strength and the feeling of being cared about. Instinct. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le chat domestique, même élevé à l'intérieur, manifeste l'instinct de chasser les oiseaux. L’instinct est la totalité ou partie héréditaire et innée des comportements, tendances comportementales et mécanismes physiologiques sous-jacents des animaux. Il est présent sous différentes formes chez toutes les espèces animales. Son étude intéresse nombre de sciences : biologie animale (éthologie et phylogénie), psychologie, psychiatrie, anthropologie et philosophie. Éthologie. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(mai 2011).
Conflit sexuel. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ce conflit sexuel a pour conséquence une augmentation de la reproduction d'un sexe au détriment de l'autre. Il en résulte un processus dit de « coévolution antagoniste », où l'évolution d'un sexe perturbe le succès reproductif de l'autre selon un modèle évolutif de « course aux armements » ou de « tir à la corde »[réf. nécessaire]. Alors que le conflit est regardé par les néodarwinistes comme un simple évènement de la sélection sexuelle, le biologiste Thierry Lodé étend le concept de conflit d'intérêt à tous les processus de coévolution et d'interactions antagonistes identifiés comme autant de sources des processus évolutifs. Le conflit agirait notamment à travers le déplacement de caractères reproducteurs ou écologiques[réf. nécessaire]. Psychologie cognitive. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Plus généralement la cognition se définit comme l'ensemble des activités mentales et des processus qui se rapportent à la connaissance et à la fonction qui la réalise. Psychologie évolutionniste. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contrairement à la psychologie cognitive classique qui tente de donner des explications évolutionnistes aux résultats expérimentaux, la psychologie évolutionniste tente de valider des hypothèses évolutionnistes par une démarche expérimentale. Présentation[modifier | modifier le code] La psychologie évolutionniste (PE) est une discipline située au carrefour de la biologie, de la psychologie, de l'anthropologie, des sciences sociales et naturelles et de la paléoarchéologie qui examine les traits psychologiques dans une perspective évolutionniste. La psychologie évolutionniste cherche à identifier quels traits psychologiques humains sont des adaptations qui ont évolué -c'est à dire qui sont le produit de la sélection naturelle ou la sélection sexuelle. Les principes fondamentaux de la PE : - Les comportements humains reposent sur des mécanismes psychologiques sous-jacents et des processus de traitement de l'information logés dans le cerveau.
Éthologie humaine. Réseau locomoteur spinal. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le réseau locomoteur spinal, ou central pattern generator (CPG en anglais), est un réseau de neurones localisé dans la moelle épinière. La particularité de ce réseau est qu’il peut fonctionner de manière autonome, indépendamment des commandes descendantes et des retours sensoriels [1] . Après avoir été activé par le cortex moteur, ce réseau peut générer à lui seul l’activité locomotrice. Système de récompense. Le système de récompense / renforcement aussi appelé système hédonique, est un système fonctionnel fondamental des mammifères, situé dans le cerveau, le long du faisceau médian du télencéphale.
Ce système de « récompenses » est indispensable à la survie, car il fournit la motivation nécessaire à la réalisation d'actions ou de comportements adaptés, permettant de préserver l'individu et l'espèce (prise de risque nécessaire à la survie, recherche de nourriture, reproduction, évitement des dangers…)[1].
Plus précisément, le système de renforcement est constitué par trois composantes : Certains psychotropes, comme l'alcool ou les opioïdes, agissent directement sur ce système quand ils sont ingérés, inhalés ou injectés dans l'organisme. Le dysfonctionnement du système de renforcement[3] serait à l'origine de troubles du comportement (alimentaire[4], affectif[5]…), ou à la dépendance à des substances (psychotropes) et à des situations (jeux d'argent, sexe, jeux vidéo…)[6]. Instinct.