L'impression "à la demande" est-elle le futur du … Parmi les innovations les plus marquantes dans le secteur de l’édition ces dernières années, l’impression à la demande.
L’un des premiers éditeurs à s’en saisir en France est le groupe Humensis (par ailleurs éditeur de Pour l’Éco), qui installa en 2016, dans sa librairie du 5e arrondissement de Paris une Espresso Book Machine – sorte d’imprimante très perfectionnée développée par Xerox, capable d’imprimer en quelques minutes tout un livre et sa couverture collée. Ont suivi Copernics, lancée par Interforum, et Lightning Source, du groupe Hachette. 300 pages en 300 secondes. À Lyon, la bibliothèque expérimente des services virtuels pour poursuivre ses missions - Professionnels - Bpi. Le livre papier, plus écolo que le livre numérique ? Les liseuses n’ont pas signé l’arrêt de mort du livre papier. Loin de là même. En ce début de XXIe siècle, le développement durable est partout : à la une des magazines, au menu des discussions onusiennes, au centre des préoccupations des maisons d’édition. Ces dernières ont d’ailleurs fait des efforts colossaux ces vingt dernières années pour mettre en place une filière soucieuse de l’environnement, entre plantations gérées durablement, papier certifié et réduction des transports.
Objectif pour elles : baisser l’empreinte carbone du livre papier. Objectif atteint, à en croire l’étude publiée par le cabinet Carbone 4. Comment le numérique va révolutionner le livre. Presse en ligne et presse papier : la même planète ? Il va sans dire que le Web a révolutionné la presse et les médias de manière générale.
Le modèle économique, les réseaux sociaux, le potentiel de personnalisation, la place de la publicité, le temps réel sont autant d’ingrédients qui ont plongé les médias dans une sorte d’incrédulité d’abord puis de questionnement et qui aujourd’hui les poussent tous à revoir leur copie. Si la stratégie digitale est au cœur des préoccupations des médias en ligne aujourd’hui, en particulier des directions marketing, s’est-on suffisamment penché sur les différences entre un article destiné aux rotatives ou un article destiné au Web ? Si les deux types d’articles sont évidemment consommés de manière très différente, qu’en est-il de leur contenu ? Un bon journaliste papier est-il devenu naturellement un champion du Web ? À l’inverse le numérique n’aurait-il pas créé de nouvelles vocations ? Sans prétendre à l’exhaustivité ni à l’exactitude, je vous livre quelques réflexions sur le sujet cette semaine.
La presse, un média en pleine mutation. Les usages changent Le temps de la lecture du quotidien tout juste livré pour le petit déjeuner est révolu.
Bien que 70% des Français lisent encore la presse confortablement installés chez eux, 30% s’informent en dehors de leur domicile : en déplacement, au bureau, dans un café … L’arrivée sur le marché des journaux gratuits avait déjà révolutionné l’offre de la presse écrite, mais les nouvelles technologies, avec l’essor fulgurant des smartphones et autres tablettes, accélèrent la consommation en mode nomade et bouleversent la relation du lecteur à l’information. Presque tout-un-chacun peut devenir émetteur d’information ! Internet a créé de nouveaux modes de consommation de l’information C’est indéniable : Internet, les terminaux mobiles et les appareils connectés modifient nos habitudes de consommation. Aujourd’hui, il est urgent de faire évoluer le modèle économique de la presse papier pour l’adapter aux médias numériques 1. 2. 3. Nouvelles technologies, nouvelle société. 98 Médias - antenne parabolique : de 6 % en Grande-Bretagne à 2 % en France et en Suisse ; - micro-ordinateur : de 15 à 20 % ; - consoles de jeux vidéo : à peine 2 % en 1 989, près de 50 % en 1993.
Presque tous les foyers sont devenus des centres d'information et de divertissement, avec cinéma et jeux en libre service. Les enfants du petit écran, de la télécommande et des jeux vidéo sont déjà habitués à la vision multimédia (texte, sons, images et effets spéciaux) et à l'interactivité (le téléspectateur devient acteur) . - l'apprentissage du langage passe aussi par les petits écrans : aux générations du livre succèdent les premières générations vidéo et multimédia;
Grebert A. memoire. La révolution numérique. Depuis quelques semaines, une nouvelle mode sévit dans le monde des lettres : pour vanter les mérites d'un livre, les éditeurs n'hésitent pas à lui apposer la mention "Déjà disponible sur l'iPad", comme une preuve de sa modernité.
Si le procédé marketing a un petit côté "Vu à la télé", il témoigne néanmoins d'un brusque changement de regard sur le livre numérique. La médiatisation de la tablette d'Apple n'est en effet que la partie émergée d'un mouvement beaucoup plus large autour de ce nouveau support, qui n'en finit plus de battre des records. Fort du succès de son lecteur Kindle, Amazon a ainsi vendu pour la première fois le jour de Noël plus de livres en format numérique qu'en version papier !
Un chiffre symbolique, certes, mais loin d'être négligeable pour un univers qui connaît là sa première mutation majeure en cinq siècles. On avait pourtant presque fini par ne plus y croire. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement. Ce que le numérique a déjà changé à l'édition. Le livre numérique est d’abord apparu comme un fichier quelconque à télécharger sur un ordinateur.
D’un logiciel lié à une infrastructure partagée, il a évolué vers un système propriétaire spécifique grâce aux transformations technologiques des matériels et logiciels. On fait, en général, remonter la naissance du livre numérique à 1971, date de la création du projet Gutenberg (30 000 références de livres numériques en accès libre). Les premiers livres numériques (Cybook Gen 1 de Cytale, une société française, Gemstar 100, puis Librié) introduits dès 1999, ont échoués. En 2002, Random House et Harper Collins commenceront à commercialiser des livres numériques. La révolution numérique est-elle l’ennemi du livre ? Enquête sur les pratiques de lecture numérique. En matière d’évolution des pratiques de lecture, la société française est confrontée à des tendances de nature différentes.
Le recul déjà ancien de la lecture de livres-papier, voire des imprimés en général, se conjugue en effet avec le développement de certaines modalités de lecture de textes numériques, sans que l’on puisse dire pour autant, faute de mesures précises, que ces dernières tendent à s’imposer. La dissémination des pratiques de lecture numériques est cependant avérée au point qu’il devient difficile aujourd’hui de recenser toutes les modalités qu’elles sont susceptibles de prendre.
Introduction à la lecture sur écran : dossier de ressources (réseau Ratice Loire) Le réseau Ratice Loire (42), qui rassemble des animateurs multimédia d‘espaces publics numériques (EPN) et structures réfléchissant sur leurs pratiques dans une démarche de qualité, est l’auteur d’un document ressource collaboratif concernant la lecture sur écran. Ce dossier intitulé Introduction à la lecture sur écran (librement consultable en ligne) est amené à évoluer en fonction des contributions des acteurs de ce réseau, notamment les personnes testant actuellement des dispositifs de lecture numérique : liseuses, tablettes et smartphones. 27 professionnels de la la documentation ont élaboré la première mouture de ce dossier dans le cadre de la Journée professionnelle des documentalistes de CDI de l’Académie de Lyon (17 mai 2011).
Pratiques de lecture numérique des enfants et de leurs parents. La lecture numérique pour combattre la dyslexie. La dyslexie est un trouble de l'apprentissage, provoqué par un désordre neurologique, qui affecte souvent les aptitudes à la lecture.
Elle est caractérisée par des difficultés à reconnaître les lettres, les syllabes, ou les mots, et touche près d'un enfant scolarisé sur vingt.