Elle implique des signes et symptômes, parfois somatiques, variés dont le stress, la peur (dont la peur de l'échec) et la détresse. L'anxiété de performance peut-être un frein significatif à l'apprentissage et à la performance et serait une cause d'abandon scolaire.
Quand il prend de l’intensité, le trac peut devenir un handicap, on parle alors d’anxiété de performance.
Le trac est un sentiment d'appréhension irraisonnée avant d'affronter le public, d'entrer en scène. Pour certains comédiens, c'est un stimulant utile qui les aide à jouer sur scène.
Anxiété de performance. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L'anxiété de performance (test anxiety) est une anxiété liée aux situations d'évaluation. Elle implique des signes et symptômes, parfois somatiques, variés dont le stress, la peur (dont la peur de l'échec) et la détresse[1]. L'anxiété de performance peut-être un frein significatif à l'apprentissage et à la performance et serait une cause d'abandon scolaire[2],[3],[4]. Elle peut également avoir des conséquences plus larges en affectant le développement social, émotionnel et comportemental du sujet, ainsi que son estime de soi[5]. L'anxiété de performance peut parfois mener au suicide[6],[7],[8]. L'anxiété de performance affecterait de 25 à 40 % des étudiants[9].
Quand notre cœur fait boum. Parfois, je repense à tous ces traqueuses et traqueurs excessifs, que nous avons soigné dans le service à Sainte-Anne, pendant des années… Quand il prend de l’intensité, le trac peut devenir un handicap, on parle alors d’anxiété de performance.
Ça ne concerne plus seulement le fait de monter sur une scène, mais ça va empêcher de prendre la parole lors d’une réunion de parents d’élèves, d’une fête familiale, d’un tour de table au travail… Ah, le tour de table ! C’est le cauchemar pour les traqueurs : on attend son tour, et pendant ce temps, le malaise monte, monte, le cœur cogne, cogne, de plus en plus fort, on se décompose, on panique, c’est le cauchemar ! Car pour le trac, le pire moment c’est avant, c’est l’attente du grand saut dans le vide… Comme beaucoup de monde, j’ai longtemps eu le trac : à l’école je n’aimais pas du tout passer au tableau, mais mon pire souvenir a été le premier congrès médical où j’ai dû prendre la parole. D’abord, le fait qu’on n’est pas tout seul. En finir avec l'anxiété de performance.
«Je ne suis pas à la hauteur, je ne vais pas y arriver, il faut que je mette la gomme».
A priori, ce discours intérieur stimulant, nous le connaissons tous de manière ponctuelle, lors d'oraux d'examens, épreuves sportives, ou même entretiens de recrutement. Lorsque cette intense mais éphémère pression, nécessaire à l'engagement dans l'épreuve, s'installe de manière durable et devient mode de vie, elle risque d'entraîner la personne dans des comportements destructeurs. Aujourd'hui, comme l'affirmait récemment le Dr Laurent Chneiwess dans nos colonnes, cette anxiété de performance est en nette augmentation, notamment dans le monde du travail. Le contexte y est évidemment pour beaucoup. Résultat, la dimension personnelle de la personne, sa spécificité, son savoir-faire s'effacent, pour laisser place au seul stress d'obtenir des résultats rapides et visibles. Le stress de performance distillé ainsi à outrance épuise le plaisir et la satisfaction du travail juste bien fait. Anxiété de performance: une stratégie plus efficace que de tenter de se calmer.
L'anxiété de performance, devant une tâche telle que de parler en public par exemple, est incroyablement envahissante et essayer de se calmer est très difficile et inefficace, souligne Alison Wood Brooks de l'Université Harvard, coauteure d'une étude publiée dans le Journal of Experimental Psychology qui montre que de viser à transformer l'anxiété en excitation est plus efficace.
"Quand les gens se sentent anxieux et essaient de se calmer, ils pensent à toutes les choses qui pourraient aller mal", dit-elle. "Quand ils sont excités, ils pensent à comment les choses pourraient bien se passer". Avec ses collègues, elle a mené plusieurs expériences qui ont montré que de simples déclarations favorisant l'excitation pouvaient améliorer les performances lors d'activités qui déclenchent de l'anxiété. Dans une de ces expérience, 140 participants devaient préparer un discours public expliquant pourquoi ils seraient de bons partenaires de travail. Voyez également: Un abord PNL de l’anxiété. Par Dr Richard Bolstad et Margot Hamblett.
Cet article explore le potentiel d’efficacité des processus de la programmation neuro-linguistique (PNL) dans la modification des stratégies mentales qui conduisent à l'anxiété. L'anxiété est un état. Et les modèles les plus fondamentaux de la PNL proposent une multitude d’options pour modifier un état en changeant la physiologie ou les représentations mentales internes.
En nous appuyant sur les recherches actuelles concernant les possibilités d’agir sur l'anxiété, nous allons décrire les modalités sensorielles, les méta-programmes spécifiques et les stratégies associés à l'anxiété. Nous allons ensuite proposer des processus basés sur la PNL qui modifient ces stratégies, et montrer comment un professionnel de l’accompagnement formé à la PNL peut accompagner une personne anxieuse dans la création d’un style de vie plus opérationnel et plus satisfaisant. Qu’est-ce que l’anxiété ? La frénésie d’anxiété. Évaluation performative. Excellence.
Facteurs de stress. Parler en public. Pression. Anxiété. Test Anxiety. Confiance créative. L'ambition. Solitude. Préparation mentale. Mental du sportif. Livres.