Facilitation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La facilitation peut être vue comme un ensemble de fonctions dynamiques qui sont exécutées avant, pendant et après une rencontre pour aider un groupe à atteindre ses objectifs[1]. Rôle du facilitateur[modifier | modifier le code] Responsabilités[modifier | modifier le code] Le facilitateur doit assumer plusieurs responsabilités: Au niveau relationnel: Au niveau technologique: Sélectionner et préparer les supports technologiques,Comprendre la technologie et ses capacités,Créer un confort avec la technologie et en assurer la promotion[2]. Au niveau organisationnel: la facilitation s'appuie sur la reconnaissance irreductible de la complexité des systèmes organisés et sur une grande modestie dans le pilotage des évolutions. Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Bostrom, R.P., R. Voir aussi[modifier | modifier le code] Portail de la sociologie. Atelier de créativité, de partage ou de co-construction : Téléchargez nos règles du jeu !
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Comme nous l’avons vu dans notre précédent article : « La panne d’idées en atelier de créativité : 3 techniques ludiques pour l’éviter« , nous vous avons donné quelques clés pour réussir votre atelier, mais nous aurions pu également évoquer la nécessité de faire un rappel systématique des règles de jeu en début de séance. En effet, une des causes possibles de la panne d’idées ou plus généralement d’un atelier raté peut également venir d’un ou plusieurs participants dit « castrateurs d’idées», « Mr je sais tout » ou bien encore « Mr moi avant les autres ». Ces fameux personnages, vous comme moi nous les avons tous rencontré au moins une fois en réunion, c’est pénible non ? On est tous d’accord, avoir une ou plusieurs personnes répondant à ces traits de caractère peut rendre un groupe complètement stérile.
Dites non à ces comportements ! Divergence - Convergence : les deux temps d'une bonne Facilitation. Dans les organisations, l’heure est aujourd’hui à la collaboration et à la participation.
Process et outils se multiplient pour servir au mieux ces deux valeurs fondamentales de l’Entreprise 2.0, mais l’enjeu reste essentiellement HUMAIN. Ce sont bien les personnes motivées, engagées qui collaborent, qui participent, qui dynamisent l’entreprise… qui permettent que des communautés se créent, des groupes de travail se réunissent, des événements participatifs (type open space) se montent, des équipes projets se forment, le plus souvent dans la transversalité, en cassant les frontières dans et autour des organisations. Personnage clé de ce dispositif : le FACILITATEUR, dont le rôle est d’aider un groupe, une ou des personnes à apprendre, explorer, trouver des solutions, atteindre un consensus … La facilitation a de multiples tenants, se prépare et se travaille toujours en contexte.
Liberating Structure : 1-2-4-ALL. Le secret d’une bonne facilitation de workshop tient pour pour beaucoup dans la préparation et dans la capacité qu’aura le facilitateur d’envisager les séquences adéquates pour amener un groupe à donner le meilleur de lui même.
A cet égard, encourager une totale participation du groupe est l’un de ses premiers enjeux. Les liberating structures, ces 33 micro-structures d’échanges créées par Henri Lipmanowicz et Keith Mc Candless, peuvent y aider considérablement. Evidemment certaines vous rappellerons des choses vues et pratiquées ailleurs mais un nouvel habillage, une adaptation et une nouvelle mise en contexte rendent leur format rafraichissant et trés efficace quant à cet enjeu de « participation totale ». Je vous ai déjà parlé du 2-4-2 avec 4 personnes qui sur une activité donnée fonctionnent en 3 tours timeboxés (D’abord 2 paires de 2, puis à 4 puis 2 nouvelles paires), le 1-2-4-ALL introduit lui aussi une séquence et une progression.
A vous de jouer ! Jc-Qualitystreet. Réunion. Pensée divergente. Prise de décision collective. Dispositifs coopératifs. Facilitation graphique.
Matériauthèque. Facilitateur. Facilitation. La discussion. Intelligence collective. Agilité. TICE. Comment gérer un projet en formation ? [Interview] Pour vous aider, il existe bien entendu des formations.
Cependant, ces dernières sont souvent très théoriques et ne sont pas forcément adaptées aux pratiques de l’entreprise. En effet, la fonction de « Chef de projet » se retrouve dans de nombreuses structures. Mais en réalité, la gestion de projet en elle-même, c’est un métier ! Cette fonction vous confère des responsabilités quant à la mise en œuvre ou non du projet. Votre objectif premier est l’organisation du travail afin de planifier les tâches, mobiliser les ressources, limiter les imprévus et tout cela, dans un temps imparti et raisonnable et à moindre coût. A cet effet, nous avons rencontré Florence LENFANT, Consultante, Coach et fondatrice de la société PILIECOM. 1- Florence, pouvez-vous s’il vous plait nous parler de votre parcours professionnel et surtout faire le lien avec la fonction de gestion de projet en formation? J’ai toujours été centrée sur le résultat tout en plaçant l’ « humain » au cœur de ma démarche.
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