Surentraînement: 4 signaux que votre corps vous envoie pour vous dire qu'il est temps de faire une pause - DLTDC. 10 signes qui montrent que tu as besoin d'un jour de repos. Salut à toi !
S’entraîner, c’est bien, mais savoir écouter son corps, c’est mieux. Parfois, en voyant une progression fulgurante de nos performances, nous avons envie d’en faire toujours plus. Ou tout simplement, nous avons besoin de courir ou faire du sport pour se sentir bien. Cependant, il faut savoir prendre un jour off quand le corps le demande, sinon tu peux être contre productif, et même risquer de te blesser bêtement. Certes, il est parfois difficile de desceller le moment ou justement ce jour de repos doit intervenir dans notre routine.
C’est pour cela que j’ai rédigé cet article qui liste les 10 signes qui montrent qu’un sportif as besoin d’un jour de repos. Bonne lecture ! N’hésites pas à laisser un commentaire, si tu connais d’autres signes ! A bientôt ! Comment ne plus jamais se blesser [Major Mouvement] Approche biologique de la fatigue. Approche multifactorielle, définition simple Même si les causes sont multiples et complexes, la fatigue est définie simplement comme une diminution de la force, de la puissance ou de la vitesse requise ou espérée au cours de l’exercice (Edwards, 1983).
En d’autres termes Fatigue = Baisse des performances. Certains auteurs y ajoutent une dimension psychologique car la fatigue est associée à une augmentation de l’effort perçu (le RPE) par le sportif (St Clair Gibson & Noakes, 2004). Lors d’un mouvement, si on examine le trajet de l’information de la commande nerveuse (cerveau-moelle épinière) aux muscles effecteurs, on observe une multitude de sites dont le dysfonctionnement pourrait altérer la performance et signifier un état de fatigue. Dans ce contexte, on distingue la fatigue centrale (nerveuse) de la fatigue périphérique (musculaire). Surmenage : l’entraînement de trop, c’est quand. L’entraînement de trop, c’est celui que l’on tient habituellement.
Habituellement… Pas aujourd’hui. En tout cas pas dans les conditions de facilité usuelle. Le pire dans cette situation, ce n’est pas ce qui se passe après – digérer l’échec, avoir la sensation d’un besoin de 12h de sommeil ou (erreur !) Se dire qu’on n’est pas en forme ! Le pire, c’est quand on ne l’a pas vu venir. Gros comme une maison C’est possible. Rassuré… en tout cas une trentaine de minutes. La sortie, c’est par où svp ? L’entraînement de trop, c’est celui qui vient donc nettement déséquilibrer ma balance « charge / récupération ». Le pire, c’est quand on ne l’a pas vu venir. . … Quelles cordes puis-je ajouter à mon arc ?
Une plus grande irritabilité aide au diagnostic, certes. Mais bon, c’est vrai, il nous en faut – à tort ! Sceptique ? Surmenage : travailler moins pour gagner plus. Fatigue, surcompensation et performance : les étapes de la décadence. Si les stratégies de progression en activité d’endurance ne manquent pas, un dénominateur commun à ces réflexions reste le phénomène de dose-réponse.
Celui-ci repose sur l’idée qu’en réponse à une charge d’entraînement donnée, une transformation proportionnelle au stress initial survient, grâce à l’ensemble des adaptations développées par l’organisme en période de récupération. Empiriquement, chaque nouvel apprentissage nous amène à conforter cette observation. Ce qui tendrait à rendre la logique du rebond intuitive. Si facile ? Depuis quelques années, une batterie d’études scientifiques rondement menées s’est penchée sur le sujet, avec en ligne de mire la véracité de ce phénomène de surcompensation. Surcharge ou pas surcharge ? A l’issue de cette période de trois semaines, quand bien même une forte fatigue était reportée par l’ensemble du groupe expérimental, deux profils de réponses pouvaient être discriminés.
Un déclin bénéfique ? Rebond… Rebond… Où es-tu ? Surmenage quand tu me guettes. Surcharge. Fatigue physique. Overtraining.