Enseigner les habiletés sociales. Hein quoi ???
KESAKO ???? Les habiletés sociales c'est ce qui permet à l'enfant d'entrer en contact avec les autres, de bien s'entendre avec eux, de se faire des copains, de travailler avec d'autres, de prendre sa place au sein de la société, de l'école ... Il y a 5 catégories: - Les habiletés prosociales : c’est ce qui permet d’entrer en contact et d’être agréable avec les autres, par exemple, sourire, saluer, partager, aider, complimenter et coopérer. The 'Brain' in Growth Mindset: Does Teaching Students Neuroscience Help? - Inside School Research. Teaching students the science of how their brains change over time can help them see intelligence as something they can develop, rather than innate and unchangeable, finds a new analysis of 10 separate studies online in the journal Trends in Neuroscience and Education.
Les neurosciences peuvent-elles éclairer l'éducation ? TRACeS n°235 - Neurosciences - mars-avril 2018. Céline Alvarez’s Videos on Vimeo. Doolittle1. Pour une refondation de l'école guidée par les enfants: Céline Alvarez at TEDxIsèreRiver. Motiver les élèves : Est-ce aussi important qu'on le dit pour les faire réussir ? Si motiver les élèves ne peut jamais faire de mal, est-ce une variable importante pour la réussite des élèves ?
A entendre ce qui se dit en ce moment à Educatice, où on attend beaucoup sur ce point des outils numériques, ou ce qu'on lit dans les nouveaux programmes, l'affaire est entendue. Et , à vrai dire, au Café pédagogique on aimerait aussi croire que la motivation est un levier puissant. Le numérique doit motiver les élèves et la motivation amener la réussite. Ces évidences, dont on attend tant, méritent pourtant d'être étudiées de plus près. Patrick Rayou : " Essayer de comprendre pourquoi les enfants ne comprennent pas"
Comment aider les élèves ?
C'est la question, entre autres, de la réforme du collège. C'est aussi le sujet de l'important rapport "Qu'est ce qui soutient les élèves ? ", que le Café pédagogique a présenté le 12 février, Patrick Rayou, co-auteur de ce rapport, en éclaire certains points. Education et sciences cognitives: le coup de gueule - Mon Cerveau à l'école. Selon lui, beaucoup trop d’enseignants continuent d’ignorer les résultats des sciences cognitives, bien que ceux-ci soient directement pertinents pour l’enseignement, notamment mais pas seulement dans le domaine de la lecture.
Il appelle de ses voeux une éducation fondée sur la preuve: l’évaluation systématique des manuels et des pratiques éducatives, comme on le fait en médecine afin de vérifier si un médicament est efficace. Voici le texte complet de l’article (dans une version légèrement différente — Le journal Le Monde a la fâcheuse habitude de déformer les textes qu’il reçoit, notamment en leur imposant des titres et sous-titres. Un centre dédié aux sciences de l'apprentissage est créé à la Faculté des sciences de l'éducation.
Un centre dédié aux sciences de l'apprentissage est créé à la Faculté des sciences de l'éducation.
Les sciences de l'apprentissage abordent l'apprentissage à travers le concept d'architecture cognitive.Photo: Istock L'antenne uqamienne du Centre for the Study of Learning and Performance (CSLP), fondé en 1988 à l'Université Concordia, a été officiellement reconnue par le Conseil d'administration de l'UQAM, qui lui a accordé le statut de centre institutionnel de recherche et de création le 1er juin dernier. Financé par le Fonds de recherche Société et culture du Québec (FRQSC) pour une durée minimale de trois ans, le nouveau Centre pour les sciences de l'apprentissage (CSLP UQAM) regroupe une douzaine de chercheurs provenant des quatre départements de la Faculté des sciences de l'éducation – didactique, didactique des langues, éducation et formation spécialisées, éducation et pédagogie.
S0896-6273(14)00804-6?_returnURL= Éloge de la curiosité. Naturelle chez les enfants, peu encouragée dans l’enseignement, mal vue dans la plupart des institutions (privées et publiques), la curiosité a traditionnellement mauvaise cote.
En français, on dit volontiers qu’elle est un « vilain défaut ». Plus métaphorique, l’anglais dit qu’elle « a tué le chat ». Et, signe patent de notre culture à dominante machiste, c’est toujours la faute des femmes. L’envie de goûter la pomme fait d’Eve la responsable de notre expulsion du jardin d’Eden. La curiosité de Pandore a lâché sur nous tous les maux de l’humanité. Voilà qui nous prépare mal à survivre et prospérer par ces temps qui courent si vite. Faire face à l’incertitude. Aborder les conflits avec un état d’esprit qui nous rend « plus créatif dans la recherche de solutions ». De se lancer dans l’expérimentation avec l’espoir de trouver de nouvelles réponses concrètes permettant de changer la façon d’opérer dans le monde.
La curiosité commence à être reconnue comme un atout. Curiosity Is as Important as Intelligence. There seems to be wide support for the idea that we are living in an “age of complexity”, which implies that the world has never been more intricate.
This idea is based on the rapid pace of technological changes, and the vast amount of information that we are generating (the two are related). Yet consider that philosophers like Leibniz (17th century) and Diderot (18th century) were already complaining about information overload. The “horrible mass of books” they referred to may have represented only a tiny portion of what we know today, but much of what we know today will be equally insignificant to future generations.
In any event, the relative complexity of different eras is of little matter to the person who is simply struggling to cope with it in everyday life.