Mystérieuse modification d’une fiche de poste de l’université Paris-Est Créteil. Qui a caviardé la fiche de poste de maître de conférences à l’Institut national supérieur du professorat et de l’éducation (Inspe) de Créteil ?
En pleine polémique sur « l’islamo-gauchisme » qui « gangrène » les universités, d’après la ministre de l’enseignement supérieure Frédérique Vidal, l’affaire fait grand bruit à l’université Paris-Est Créteil (UPEC), dont dépend l’institut de formation des enseignants. Dans le cadre de la campagne d’emploi 2021, cette fiche de poste a été en partie vidée de sa substance et republiée, vendredi 26 février, alors qu’elle était en ligne depuis le 22 février sur le site du ministère de l’enseignement supérieur.
Des mots ont été retirés, ceux-là mêmes qui alimentent le débat lancé le 14 février par la ministre autour de recherches qui relèveraient « du militantisme et de l’opinion » et non de la rigueur académique. "Islamo-gauchisme" à l'université : Vidal demande une enquête au CNRS. We and our partners store and/or access information on a device, select basic ads, select personalised ads, measure ad performance, develop and improve products, create a personalised ads profile, create a personalised content profile, select personalised content, measure content performance, apply market research to generate audience insights, select basic ads, create a personalised ads profile, select personalised ads, create a personalised content profile, select personalised content, measure ad performance, measure content performance, apply market research to generate audience insights, develop and improve products.
These technologies may process personal data such as IP address and browsing data for ensure security, prevent fraud, and debug, technically deliver ads or content. They may match and combine offline data sources, link different devices, receive and use automatically-sent device characteristics for identification. Contrôlez vos données. L'Unef dresse la liste des universités qui agissent le plus contre les discriminations. Lyon : des étudiants noirs ajoutés sur la photo d'une école de dessin pour faire sa promotion aux Etats-Unis. L'école Emile-Cohl assure que ces retouches "grossières" ont été réalisées par une agence de communication, dont elle a rompu le contrat.
Cela peut s'appeler du "blackwashing" : mettre en avant la diversité d'un établissement, quitte à tricher, à des fins de publicité. Sur une photo de classe de la prestigieuse école de dessin lyonnaise Emile-Cohl, des étudiants noirs ont été ajoutés parmi les élèves, grâce à un montage, révélé lundi 10 septembre par le site Rue89Lyon. L'établissement, qui reconnaît que la photo a été retouchée, met en cause l'agence de communication chargée de réaliser le site internet de promotion de l'école aux États-Unis. Interrogé par l'AFP, un porte-parole de l'école, dément "toute intention de manipuler la réalité" sur cette photographie, où la peau de certains élèves a été foncée, tandis que des étudiants noirs ont carrément été ajoutés.
«Team beurettes», la polémique qui secoue l’université de Clermont-Ferrand - Le Figaro Etudiant. L’université Lyon 2 annule son colloque sur l’islamophobie. Ce n’est pas le premier colloque sur l’islamophobie qui devait se tenir à l’université Lyon 2.
Une première journée d’étude avait été organisée en partenariat avec l’Institut supérieur d’Etude des religions et de la laïcité (ISERL) le 5 mars 2016. Le thème était « Islamophobie, le poids des mots, la réalité des maux ». À l’époque, nulle polémique. Un an et demi plus tard, la chaire « Égalité, Inégalité, Discriminations » de l’Institut d’Etude du Travail (IETL) devait organiser la suite de ce premier colloque le 14 octobre prochain, sous le thème « Lutter contre l’islamophobie, un enjeu d’égalité? ». Voici comment était présenté cette journée d’étude : Un colloque jugé « laïcophobe » Des personnes issues du « Printemps Républicain » ont ensuite embrayé.
Laurent Bouvet pointait notamment la « présence » du président de l’Observatoire de la laïcité, Jean-Louis Bianco dont une communication devait être lue. Louis Georges-Tin devient chargé de mission "égalité diversité" - Orléans (45000) - La République du Centre. Communiqué : Principe de laïcité des enseignant.e.s : l’université de Lille 1 pointe du doigt les musulman.e.s – EFiGiES. Version PDF du communiqué : CP ater Lille_signe.
Comment un colloque sur "l'intersectionnalité" a failli être censuré. Les jeudi 18 et vendredi 19 mai s’est tenu à Bonneuil-sur-Marne un colloque sur le thème: «Penser l’intersectionnalité dans les recherches en éducation».
Malgré son intitulé austère, la rencontre a été l’objet d’une incroyable bataille en coulisses. Pour ses adversaires, venus de la droite identitaire, mais aussi de la gauche dite «républicaine», le seul fait de parler d’«intersectionnalité» dans les locaux de l’ESPE (ex-IUFM, où l’Education nationale forment ses enseignants) de l’académie de Créteil était insupportable. "Je choisis librement de me voiler" : les limites du "féminisme religieux" Importée de la science politique américaine, la notion d’intersectionnalité analyse les liens entre les différentes discriminations de classe, de race et de sexe. Elle est en particulier utilisée par la sociologie contemporaine à propos du voile islamique. Quand le rectorat de Créteil tue la pensée critique ! A Créteil, d’inquiétantes menaces d’annulation d’une formation sur l’intersectionnalité à destination des enseignant-es - SUD Education 93. Communiqué intersyndical SUD Education 93 - CGT Educ’action Créteil - CNT 93 Quand le rectorat de Créteil tue la pensée critique !
Académie de Créteil : polémique autour du séminaire sur les discriminations « de race » à l’école - Le Parisien. Les professeurs peuvent-ils réfléchir entre eux sur les discriminations liées aux genre et à la race ?
Pour le MRC 94 (Mouvement républicains et citoyens), qui a vivement dénoncé sur Twitter le programme d’un séminaire organisé à l’école du professorat de Créteil (Espe), la réponse est non. Les 18 et 19 mai prochain, des universitaires de Créteil (Upec) organisent des journées de réflexion interdisciplinaire pour « penser l’intersectionnalité dans l’Education ». Un intitulé abscond pour les profanes mais qui renvoie aux recherches sociologiques nées aux Etats-Unis dans les années 1980 pour déconstruire les effets des discriminations croisées, notamment à l’école. Quand Sciences Po associe les cheveux naturels... à un mouton. C’est une association d’idées qui en a fait sourire certains, mais surtout bondir d’autres.
L’école de Sciences po a été accusée ce vendredi de racisme ordinaire après avoir associé dans un tweet l’association SciencesCurls, qui fait la promotion du « cheveu (afro) libre » et un émoticône représentant… un mouton (le côté bouclé, vous l’avez ?). Le tweet a été supprimé depuis pour être remplacé par un autre au texte plus lisse. Mais le fond, lui, reste le même. L’école a partagé un reportage de TV5Monde qui présente l’association étudiante « dédiée à la mise en valeur de beautés souvent invisibilisées et discriminées, à travers le prisme du cheveu texturé ». « Être ridiculement comparés à des animaux » Trop tard, le mal est fait.
NMXR - Nous, collectif Non Mixte Racisé.e de l'Université...