Outils égalité filles-garçons. Puteaux : un jardin d'enfants rose pour les filles et bleu pour les garçons. Du rose pour les princesses et du bleu pour les chevaliers.
La mairie de Puteaux, en Île-de-France, a installé une aire de jeux pour enfants qui alimentent les stéréotypes sexistes. Deux espaces sont distincts : d'un côté, une zone avec des jeux de chevaliers et de l'autre, un toboggan rose, un carrosse rose et des dessins de fée. C'est le journaliste et l'élu d'opposition Christophe Grébert qui a dénoncé ce jardin public genré. Sur son blog, il publie plusieurs photos du parc. S'indignant de cette initiative, il rassure tout de même : "Heureusement, les enfants sont plus intelligents que les aménageurs de ce jardin sexiste : ils vont jouer indifféremment dans les 2 espaces", écrit-il. Aucun panneau n'indique que la zone rose est réservée aux filles et la bleue aux garçons, mais Christophe Grébert s'inquiète du message que cela renvoie.
Ce n'est pas la première fois qu'une initiative de la ville de Puteaux fait polémique. Lire la suite. Claudie Haigneré. Pour les articles homonymes, voir Haigneré.
Claudie André-Deshays, épouse Haigneré, née le au Creusot (Saône-et-Loire), est une scientifique, spationaute et femme politique française, présidente d'Universcience[1] à Paris entre 2010 et 2015, actuellement ambassadrice et conseillère auprès du directeur général de l'ESA. Elle a été la première femme française dans l'espace. Ada Lovelace. Plaque commémorative Ada Lovelace, de son nom complet Augusta Ada King, comtesse de Lovelace, née Ada Byron le 10 décembre 1815 à Londres et morte le 27 novembre 1852 à Marylebone dans la même ville, est une pionnière de la science informatique.
Elle est principalement connue pour avoir réalisé le premier véritable programme informatique, lors de son travail sur un ancêtre de l'ordinateur : la machine analytique de Charles Babbage. Dans ses notes, on trouve en effet le premier programme publié[Woolley 1], destiné à être exécuté par une machine, ce qui fait considérer Ada Lovelace comme « le premier programmeur [sic] du monde[1] ». Elle a également entrevu et décrit certaines possibilités offertes par les calculateurs universels, allant bien au-delà du calcul numérique et de ce qu'imaginaient Babbage et ses contemporains[Woolley 2],[Swade 1].
Margaret Hamilton (scientifique) Margaret Hamilton en 1995 Margaret Heafield Hamilton, née Margaret Heafield le 17 août 1936[1], est une informaticienne, ingénieure système et cheffe d'entreprise américaine.
Elle était directrice du département génie logiciel (« software engineering », terme de son invention[2]) au sein du MIT Instrumentation Laboratory qui conçut le système embarqué du programme spatial Apollo[3]. En 1986, elle fonde la société Hamilton Technologies, Inc. à partir de ses travaux entrepris au MIT. Elle déménage dans l'État du Massachusetts avec l'intention de poursuivre des études de Mathématiques pures à l'Université Brandeis mais finalement choisit d'intégrer le MIT en 1960 pour développer des programmes informatiques de prévision météorologique[9]sur des ordinateurs LGP-30 (en) et PDP-1[10],[1] pour le professeur Edward Lorenz. Grace Hopper. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Grace Brewster Murray est née le 9 décembre 1906 à New York.
Elle étudie les mathématiques, la physique et l'économie au Vassar College, et en sort diplômée en 1928. En 1934, elle obtient un doctorat en mathématiques de l'université Yale[1],[2]. La jeune femme enseigne les mathématiques au Vassar College entre 1931 et 1944. Carrière[modifier | modifier le code] En 1943, Grace Hopper s'engage dans la marine américaine. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, elle quitte le service actif de la marine, mais continue à travailler au développement des ordinateurs Harvard Mark II puis Harvard Mark III pour le compte du Computation Laboratory d'Harvard[1]. En 1949, Grace Hopper est employée par Eckert-Mauchly Computer Corporation (en) (EMCC) et rejoint l'équipe développant UNIVAC I à Philadelphie. Grace Hopper au clavier de l'UNIVAC, vers 1960.