L’association Boîte sans Projet ‹ Boîte sans projet. Une association ne doit pas faire de politique, c’est souvent ce que l’on peut entendre.
Mais faire de la politique ne veut pas dire prendre partie pour tel ou tel candidat, faire de la politique c’est pour nous susciter le débat, la réflexion, permettre à tout à chacun de s’exprimer, de défendre ses idées. Alors oui, nous faisons de la politique.De plus dans une association, les membres du C.A sont des élus qui définissent l’action politique de l’association pour lesquels ils se sont engagés. Notre fonctionnement, bien que représenté par un conseil d’administration, réfléchit et agit avec différentes personnes extérieures engagées quel que soit leur statut. Boîte sans projet : un collectif La Boite sans projet, c’est aussi un collectif d’intervenants, de formateurs, d’animateurs, avec des profils, des statuts et des expériences riches et très diversifiées.
Edition électronique. Base documentaire. Pierre Rabhi « Toute démarche qui construit de l’autonomie est insurrectionnelle » Association RELOVUTION - Toulon. RELOVUTION s’inscrit dans la tradition de la Révolution française et du mouvement des non-alignés.
Fiches pratiques. AgoraVox le média citoyen. On a visité le « supermarché socialiste » de New York. Pas cher, bio et malin : un supermarché new‑yorkais géré par ses clients prospère depuis quarante ans.
Le concept doit être décliné à Paris. Visite guidée d’un lieu sans pareil. A la Foodcoop de Brooklyn, au rayon légumes (Sophie Caillat/Rue89) (De New York) Quarante ans après sa création, la Food Coop de Park Slope (PSFC), à New York, va faire un petit à Paris. La Louve ne compte ouvrir dans le XVIIIe arrondissement qu’en 2015, mais il a déjà dépassé ses objectifs de levée de fonds sur Kiss Kiss Bank Bank, avec plus de 40 000 euros collectés. A la Coop [PDF] de Brooklyn, les 16 200 membres travaillent gratuitement 2h45 toutes les quatre semaines pour faire tourner la boutique – 75% de la main-d’œuvre est donc bénévole. Rue89 a visité ce lieu sans pareil avec Joe Holtz, premier des 60 salariés et désormais directeur général.
Espace livraison : un « valet » pour remplir le coffre Au sous-sol, on découpe le fromage et on prépare les épices. On a visité le « supermarché socialiste » de New York. Les 8 approches de financement d'un revenu universel de base. A partir des diverses options proposées par les philosophes, divers économistes ont proposé des schémas de financement.
Vous trouverez ci-dessous les principales propositions que l’on peut énumérer. Nota : Le Mouvement Français ne se positionne pas quant à ce que serait la meilleure proposition de financement parmi celles existantes. Salaire à vie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour Bernard Friot il s'agit de généraliser le « déjà là » obtenu par les conquêtes sociales du 20e siècle, pour passer de la « convention capitaliste » à la « convention salariale » : il propose l'extension des institutions révolutionnaires que sont la cotisation sociale et le salaire à la qualification personnelle, pour libérer le travail des employeurs, des actionnaires et des prêteurs[1].
Principes[modifier | modifier le code] Un salaire versé à un individu est la reconnaissance que celui-ci est producteur de valeur économique. La valeur économique est une convention sociale. Elle ne mesure pas l'utilité sociale d'une activité, contrairement à la valeur d'usage avec laquelle il ne faut pas la confondre. Le salaire à vie consiste à reconnaître le statut de producteur de valeur économique à tout citoyen ayant atteint 18 ans, en lui versant un salaire sans autre condition.
Le revenu d’existence européen cherche encore 860 000 signatures. Vous voulez faire adopter une loi en France ?
Accrochez-vous. Si en 2008, sous Nicolas Sarkozy, le principe d’un référendum d’initiative partagée a été glissé dans la constitution, aucune loi organique ne l’encadre encore. Bernard Friot "Le salariat, c’est la classe révolutionnaire en train de se construire" De Boutin à Villepin, tous les avatars du « revenu citoyen » Dans le programme de Dominique de Villepin pour 2012, c’est la proposition qui fait parler : un « revenu citoyen » versé de telle sorte que tout citoyen français de plus de 18 ans puisse compter sur un minimum de 850 euros par mois pour vivre « dans la dignité ».
A entendre les réactions de certains de ses anciens amis de l’UMP, l’ex-Premier ministre serait devenu un dangereux gauchiste. C’est évidemment plus compliqué. Quelles sont les racines de cette idée ? « Si l’on remonte l’arbre généalogique de cette idée, on trouve deux branches : une marxiste et une libérale », schématise l’économiste (et député européen socialiste) Liêm Hoang-Ngoc. La branche libérale considère qu’il convient d’accorder une certaine somme d’argent aux citoyens (qui sont d’abord, dans cette optique, des « agents économiques »), mi-filet de sécurité, mi-capital de départ pour qu’ils puissent consommer et participer à la vie de la société. Une gouvernance novatrice.
En 7 ans, Colibris est devenu un mouvement citoyen influent, fédérateur, inspirant pour des centaines de milliers de personnes aspirant à un autre projet de société.
Axe stratégique pour les prochaines années, Colibris a décidé d’expérimenter une nouvelle gouvernance, pionnière et écologique. En juin 2012, nous avons validé une véritable transformation de nos statuts, afin d’expérimenter un modèle permettant à toutes les parties prenantes du mouvement de participer aux orientations stratégiques, dans un vaste processus d’intelligence collective. L’idée est que chaque personne qui sera impactée par une décision du mouvement, puisse participer à l’élaborer ou à la ratifier. Très inspirés des principes de la sociocratie et de l’holacratie, cette nouvelle gouvernance s’appuie sur 4 éléments : le fonctionnement en cercles la prise de décision par consentement la mise en place de doubles liens entre les cercles les élections sans candidats Vous voulez devenir colibri cotisant ?