« Flygskam » : les Suédois et l’avion. Connaissez-vous le « flygskam » ?
Non, il ne s’agit pas d’un nouveau meuble Ikea ou de la dernière tendance bien-être suédoise ! Littéralement, le « flygskam » signifie « la honte de l’avion » et le phénomène prend de l’ampleur en Suède. En janvier dernier, l’adolescente suédoise Greta Thunberg avait montré l’exemple. Pour se rendre au Forum de Davos, en Suisse, la militante pour le climat de 16 ans avait préféré faire 32h de train plutôt que de prendre l’avion. « J’ai arrêté de prendre l’avion par conviction, parce que je ne veux pas dire une chose et agir autrement. Economie de fonctionnalité: vendre la valeur d'usage. L’économie de fonctionnalité, ayant pour objectif de vendre un service plutôt qu’un produit à ses clients, permet de proposer plus de valeur à ces derniers en faisant en sorte que le fournisseur reste le propriétaire de ses produits.
Proposez plus de services à vos clients et fidélisez-les grâce à cette démarche : B&L évolution vous accompagne tout le long du processus. Pourquoi mettre en place un modèle d’économie de fonctionnalité dans son entreprise ? L’économie de fonctionnalité consiste en la substitution de la vente d’un produit par la vente de l’usage. La valeur d’un produit pour le consommateur réside ici dans la fonction, autrement dit les bénéfices qu’il retire de son utilisation en réponse à son besoin, et non dans la possession du produit en question.
Voici les principaux avantages d’un modèle d’économie de fonctionnalité basé sur la valeur d’usage : Privilégier l'usage plutôt que la propriété. Vendre des mètres cubes d'air plutôt que des compresseurs à air, comme le fait l'entreprise familiale André Cros, à Echirolles (Isère)?
Facturer des cycles de lavage plutôt que commercialiser une machine de nettoyage à sec auprès des pressings, à l'instar d'Innovaclean, à Aubagne (Bouches-du-Rhône)? C'est tout le pari de l'économie de la fonctionnalité, qui consiste à vendre l'usage d'un bien plutôt que le bien lui-même. Et c'est le challenge relevé par ces deux PME, d'autant plus méritantes qu'elles contribuent à la lutte contre le changement climatique. Les "Ginks", renoncer à la maternité pour sauver l'environnement.
« Si tu aimes tes enfants, ne les mets pas au monde, c’est une poubelle. » Le slogan des Ginks (Green inclination, No Kids) est plutôt explicite.
Convaincues que donner naissance à des enfants ne fera qu’aggraver le réchauffement climatique, ces féministes et ferventes défenseuses de l’environnement ne sont pas nombreuses mais se font chaque jour entendre davantage. Lisa Hymas, éditorialiste américaine et co-fondatrice du blog grist.com, axé sur la problématique écologique depuis 1999, est l’instigatrice de ce mouvement. Interrogée par Tv5monde, elle assure que « la maternité devrait être plus réfléchie. Il s’agit d’un choix qui va au-delà d’un besoin personnel égoïste, mais qui doit aussi prendre en compte l’intérêt de tous. » Sur Facebook, la communauté Gink a sa propre page ouverte au public et de nombreux sites Internet sont désormais dédiés aux « Not-Moms », celles qui ne sont pas mères et qui le revendiquent. À lire aussi: L'hypothèse Gaïa. Article de Sean Chamberlin traduit par Hélios et Ey@el Available in English.
1963 : la théorie du chaos et l'effet papillon. Par le passé, le chaos représentait l'inconnu, le monde des esprits -- visions menaçantes et cauchemardesques qui reflétaient la crainte de l'Homme face à l'incontrôlable et son besoin de donner forme et structure à ses appréhensions.
Aujourd'hui, la théorie du chaos représente un domaine passionnant, en pleine expansion, qui implique l'étude des phénomènes les plus divers manifestant une dépendance par rapport aux conditions initiales. Nouveau monde: La géoingénierie. La géoingénierie, plan B controversé pour sauver le climat-AFP/Simon MALFATTO Scientifiques et stratèges du climat sont réunis cette semaine à Berlin pour débattre de la façon dont les technologies de manipulation du climat (ou géo-ingénierie) pourraient en partie compenser notre incapacité à réduire suffisamment les gaz à effet de serre responsables du réchauffement.
Fin 2015, 195 pays se sont engagés à contenir la hausse de la température mondiale « bien en deçà de 2°C » voire 1,5°C par rapport au niveau d’avant la Révolution industrielle. Mais l’accord de Paris ne précise pas comment et quand ces objectifs doivent être atteints. Cradle to cradle, du berceau au berceau. Cette question aurait pu être le titre de mon article.
En effet, en lisant différentes informations autour du du label Cradle to Cradle™, je m’aperçois, que cette terminologie est riche de sens et d’enseignement pour notre futur /présent, explication. L’architecte William McDonough et le chimiste Michael Braungart signent en 2002 « Cradle to Cradle« , partageant leur vision pour permettre de réduire la consommation en stimulant une nouvelle révolution industrielle. Cette nouvelle façon d’industrialiser a pour principe d’imaginer des processus permettant de produire des biens dans lesquels chaque matière, chaque élément utilisé sont réutilisables, je les cite :