Yad Vashem : Soirées thématiques en ligne. Les mardis, chez vous : soirée thématique avec Yad Vashem, à 19h (heure française) Un mardi sur deux, Yad Vashem vous propose une rencontre à distance, via la plateforme numérique Zoom, en français.
Chaque conférence sera organisée autour de thèmes liés à la Shoah, avec pour intervenants des experts francophones de Yad Vashem, mais aussi des rescapés de la Shoah ou des intervenants extérieurs. Canopé : Les deux albums d'Auschwitz. Fondation de la Shoah. CNRD 2021-2022 : "La fin de la guerre. Les opérations, les répressions, les déportations et la fin du IIIe Reich (1944-1945)"
MEN. Compte tenu du contexte sanitaire, le calendrier du concours est assoupli.
Le thème de la session 2019-2020 du concours est prolongé en 2020-2021. En conséquence : L'épreuve écrite du concours se tient en mars 2021. Les travaux collectifs réalisés pendant l'année scolaire 2019-2020 ont été transmis par les établissements aux services déconcentrés en juin 2020. Les travaux collectifs qui réalisés pendant l'année scolaire 2020-2021 seront transmis par les établissements aux services déconcentrés avant le 2 avril 2021. EDUSCOL. Thème du concours 2020-2021 Compte tenu de l'épidémie de COVID-19, l'organisation du concours a été adaptée.
Les travaux collectifs remis à l'été 2020 seront corrigés en 2020-2021 et le palmarès national pour l'ensemble des deux années sera publié à la fin du mois de septembre 2021. Pour plus d'information, consulter le règlement du concours. Fondation de la Résistance. Concours National de la Résistance et de la Déportation 2020-2021 Afin de tenir compte des difficultés engendrées par l'épidémie de COVID-19, le ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse a décidé que le thème de la session 2019-2020 du Concours national de la Résistance et de la Déportation sera prolongé en 2020-2021.
La brochure pédagogique du CNRD 2019-2020, coordonnée par la Fondation de la Résistance, reste donc toujours d'actualité pour la session 2020-2021 (sauf la page 2 qui a été actualisée). Conçue par un comité de rédaction, dirigé par M.l'Inspecteur général Tristan Lecoq, qui rassemble de nombreux partenaires, la brochure du CNRD se décline en deux versions : une brochure imprimée qui a été envoyée en 3 exemplaires à tous les établissements participants en septembre 2019, et la brochure numérique au contenu augmenté consultable en ligne sur le site de la Fondation de la Résistance. Fondation pour la mémoire de la déportation. Lyon (69) : CHRD Centre d'Histoire de la Résistance et de la Déportation. CRDP Champagne- Ardennes : La résistance en France de 1940 à 1944-45. 60 ans après la fin de la 2e guerre mondiale, l'histoire de la résistance en France suscite encore des débats et alimente des controverses.
Qui et combien étaient les résistants ? Quelles étaient leurs motivations ? Quand et pourquoi se sont-ils engagés ? Comment la résistance intérieure s'est-elle organisée ? Quels étaient ses rapports avec la résistance extérieure et le général de Gaulle, avec les Alliés ? Yad Vashem - Institut international pour la mémoire de la Shoah. Yad Vashem : Les orchestres juifs dans les camps nazis de la Shoah: « On peut parler de sadisme musical » La musique fait partie de la vie de toutes les sociétés humaines, des plus primitives aux plus développées.
Dans l’Allemagne d’avant-guerre, cet art qui contribue, dit-on, à l’élévation de l’âme, est roi. Pourtant, les nazis, issus de ce peuple allemand décrit comme instruit et musical, vont faire dévier la musique de sa fonction première, pour l’associer à la torture et à la mort. Dans les camps, les velléités génocidaires sont accompagnées d’orchestres, bien souvent juifs, à la fois pour distraire les SS, mais aussi pour cacher l’horreur derrière les sons des violons. Yad Vashem : Meutres de masse. Les familles London et Ashkenazi - Kiev, Ukraine. Mais Gregory est victime d'une crise cardiaque et décède.
Anna retrouve seule Rosalia et Feliks au Kazakhstan. Rosalia garde le contact avec les membres de sa famille restés à Kiev : elle leur envoie régulièrement des lettres. Hérodote : 3 octobre 1940 - Premier statut des Juifs. Aux premiers mois de l'Occupation, le gouvernement de Vichy édicte un statut des Juifs.
La loi est publiée au Journal officiel le 18 octobre 1940 mais est datée du 3 octobre. Elle vise à dissuader les Allemands d'intervenir dans les affaires intérieures de la France, quelques jours après qu'ils aient publié une ordonnance pour le recensement des juifs en zone occupée. Ce premier statut des Juifs exclut les Français identifiés comme juifs de la plupart des fonctions publiques et de nombreuses autres professions. L'histoire par l'image : trouver des images par période, thème... Padlet C. Guimonnet : ressources numériques sur la Shoah.
S. Trouillard / Mémorial : conférence Parole des témoins. La rafle du billet vert. Première arrestation massive de juifs en France. Le 14 mai 1941, les autorités françaises procèdent à la rafle dite "du billet vert" à Paris et dans sa proche banlieue.
La veille, plusieurs milliers de juifs étrangers ont reçu une convocation signée du commissaire de police, les invitant à se présenter pour "examen de leur situation". En quelques heures, 3 700 hommes, principalement de nationalités polonaise et tchèque, ou des apatrides, sont arrêtés. FNDIRP. ANACR Association Nationale des Anciens Combattants.
Le Mont-Valérien (92) Champigny-sur-Marne (94) : Musée de la Résistance nationale. Musée de l'Ordre de la Libération (75) Mémorial de Compiègne (60) - Camp de Royallieu. De l'ancien camp sont conservés trois bâtiments qui deviennent eux-même objets d'exposition.
Toutes les matières, couleurs et décors qui ont été utilisés depuis sa construction en 1913 ont été dévoilés par des procédés ingénieux. Pour mettre en scène le site, une frise retrace son histoire dans la Seconde Guerre mondiale. Elle est accompagnée d' écrans, de vidéoprojecteurs et de haut-parleurs. Documents originaux et témoignages viennent se compléter pour une meilleure compréhension. Maitrîse d'ouvrage : Ville de Compiègne. Musée de la Résistance en Argoat (22) //////// Le musée de la Résistance en Argoat Le musée de la Résistance en Argoat s'inscrit dans un lieu porteur de mémoire. C'est au cœur de la forêt de Coatmallouen que se met en place, en juin 1944, le maquis de Plésidy à Saint-Connan.
Port-Louis (56) Citadelle-Mémorial des fusillés. Le 27 avril 1944, dans le cadre de la « lutte contre les terroristes », le général Fahrmbacher qui commandait le XXVe Corps d’Armée en Bretagne, donna l’ordre d’« installer des centres de rassemblement » dans la citadelle de Brest dans le Finistère, dans la citadelle de Port-Louis et au Fort Penthièvre dans le Morbihan, « où devront être logés les terroristes arrêtés au cours des interventions de la troupe, en accord avec le SD, jusqu’à leur jugement ou leur évacuation ». La garde de ces lieux de détention, où siégèrent des tribunaux militaires allemands spéciaux, fut confiée à un régiment de forteresse. De mai 1944 à mai 1945, de nombreux résistants détenus dans des prisons du Morbihan et de Quimperlé dans le Finistère ont été transférés dans la citadelle de Port-Louis, qui servait alors de prison allemande où étaient détenus les soldats de la Wehrmacht frappés de sanctions disciplinaires.
Selon l’historien Jean-Claude Catherine, « les exécutions se passaient vers 5 heures du matin. Châteaubriant (44) : La Sablière, carrière des fusillés. Les 27 fusillés à la Sablière, 22 octobre 1941 22 octobre 1941. Un mercredi. C’est jour de marché à Châteaubriant La guerre dure depuis déjà deux ans mais la foule se presse autour des étals, autant pour se retrouver que pour acheter . Grenoble (38) : Musée de la Résistance et de la Déportation de l'Isère. Musée de la Résistance de Bondues (59) « 1940 entrer en résistance : comprendre, refuser, résister », thème du Concours National de la Résistance et de la Déportation pour l’année 2020, est une exposition organisée par l’association « Souvenir de la Résistance et des Fusillés du Fort de Bondues » et le Musée.
Le 3 septembre 1939, 20 ans après la signature des traités de paix qui mettaient fin à la guerre de 1914-18, la France et la Grande Bretagne déclarent la guerre au IIIème Reich qui vient d’agresser leur alliée, la Pologne. La victoire foudroyante de l’offensive allemande lancée le 10 mai 1940 plonge le pays dans le désarroi et la sidération.Pourquoi cette défaite ? Le gouvernement doit choisir : capitulation ou armistice ? Hérodote : 22 octobre 1941 - Exécution de 27 otages dont Guy Môquet.
Le mercredi 22 octobre 1941, à Châteaubriant, en Bretagne, les Allemands fusillent 27 détenus (dont Guy Môquet) en riposte à l'assassinat du commandant allemand de Nantes, le Feldkommandant Karl Hotz. Celui-ci a été abattu deux jours plus tôt, le 20 octobre, en plein centre de Nantes, par un militant communiste, Gilbert Brustlein, qui a aussi participé les jours précédents au déraillement d'un train de permissionnaires allemands. Le 21 octobre, à Bordeaux, c'était au tour d'un conseiller militaire allemand, Hans Reimers, d'être abattu par un autre résistant communiste, Pierre Rebière.
Compromission de Vichy Les auteurs de ces attentats ont agi sur ordre du parti communiste clandestin, entré en résistance après l'invasion de l'URSS par la Wehrmacht le 22 juin 1941. Résistants espagnols. Mémorial de la Shoah (75) Maison d'Izieu (01) - Mémorial des enfants juifs exterminés. Cercil Musée-Mémorial des enfants du Vel d'Hiv. Marguerite Caudan raconte son entrée en Résistante. Témoignage de Ginette Kolinka. Témoignage de Francine Christophe : ma libération. Témoignage de Francine Christophe. Témoignage d'Henri Borlant. Le sourire d'Auschwitz. Si je reviens un jour : les lettres retrouvées de Louise Pikovsky.
Documentaire "Colette". Lili Leignel, ancienne déportée : Je suis devenue un passeur de mémoire. Documentaire : "Une vie nous sépare" Arte-Youtube : Les enfants du 209 rue Saint-Maur Paris Xe.