Harkis, les oubliés de la guerre d’Algérie – Histoire et témoignages. Harkis… Les oubliés Harkis… Les oubliés Les harkis sont les Algériens qui ont choisi de combattre aux côtés de l’armée française durant la guerre d’Algérie (1954-1962).
Craignant les représailles du Front de libération nationale (FLN) après la signature des accords d’Évian, en mars 1962, environ 100 000 d’entre eux ont quitté l’Algérie pour s’installer dans le sud de la France. Certains ont été aidés par des soldats de l’armée française, d’autres par des « pieds-noirs ». FRANCE 24 leur consacre un album souvenir. © Crédits : FRANCE 24 - Textes : Tahar Hani - Réalisation Multimédia : Hussein Emara - Traduction : Moïna Fauchier Delavigne - Edition : Céline Curiol - Secrétariat de rédaction : Jean Baptiste Marot - Conception graphique : Emmanuelle Nicolas et Marine Tanguy - Développement : Mary Lou for codrops - Terry Prudent.
Qui sont les harkis ? Le Bachagha Boualem, un symbole des harkis Après la signature des accords d’Évian, il se voit contraint à être rapatrié par l’armée française. Médine - Alger Pleure (Clip Officiel) Frise de la guerre d'Algérie. Webdocumentaire - Neuf regards sur l'indépendance. Guerre d'Algérie : les commémorations du 19 mars, une date qui divise. Pourquoi commémorer la guerre d'Algérie le 19 mars suscite une controverse. FIGAROVOX/DECRYPTAGE- La date retenue pour commémorer la guerre d'Algérie revêt une portée symbolique et politique, explique Guillaume Perrault, grand reporter au Figaro.
Quand l'Algérie était-elle française? L'Algérie a été conquise par la France à partir de 1830 et est restée française jusqu'en 1962. A la veille de la guerre d'Algérie, deux communautés principales vivent sur ce territoire: les Maghrébins (plus de 8 millions) et les Européens (un peu plus d'un million). Venus de l'hexagone, d'Italie et d'Espagne, installés par vagues depuis 1830, les Européens d'Algérie sont citoyens français et ont été mobilisés lors des deux guerres mondiales. Allocution Hollande mars 2016. Retrouvez ici l'intégralité de notre live #ALGERIE 18h12 : Revenons sur les principaux points de l'actualité à 18h : Salah Abdeslam a été inculpé pour "meurtres terroristes et participation aux activités d'un groupe terroriste".
En garde-à-vue, il collabore avec les enquêteurs, explique son avocat, qui a indiqué qu'il refuserait son extradition, ce qui devrait retarder sa remise à la France. Suivez notre direct. François Hollande a prononcé son discours en mémoire des victimes de la guerre d'Algérie, et est revenu sur la date contestée de cet hommage : "Le 19 mars 1962, ce n'était pas encore la paix, c'était le début de la sortie de la guerre". Une attaque suicide a fait au moins quatre morts et 36 blessés en plein centre d'Istanbul. . • Un Boeing de la compagnie FlyDubai, en provenance de Dubaï s'est écrasé ce matin en tentant d'atterrir à l'aéroport de Rostov-sur-le-Don, dans le sud de la Russie. 17h40 : "Alimenter la guerre des mémoires, c'est rester prisonnier de son passé.
" Benjamin Stora : "La guerre d'Algérie continue dans les têtes, les cœurs, les mémoires" De toutes les commémorations historiques en France, la fin de la guerre d'Algérie est l'une des plus problématiques.
Alors que François Hollande rendra hommage aux victimes du conflit samedi 19 mars, le choix de cette date, qui correspond à l'entrée en vigueur du cessez-le-feu après les accords d'Evian du 19 mars 1962, provoque de houleux débats. Mettre fin à la "guerre des mémoires". Benjamin Stora, professeur d'histoire à l'université Paris XIII, note en effet que "des groupes de mémoire extrêmement nombreux et puissants" se sont formés après la guerre d'indépendance. Harkis, anciens soldats appelés, immigrés algériens en France...
"54 ans plus tard, chacun de ces groupes s'enferme dans son propre rapport au passé", note l'historien. "Le risque de la division, de la séparation, de la communautarisation des mémoires est réel. " Polémique autour de la date. Le 19 mars, important pour les appelés. Les "lois mémorielles" - Loi et mémoire.
Que sont les "lois mémorielles" ?
La loi Gayssot du 13 juillet 1990 est la première «loi mémorielle». Agrandir l'image Cette expression est apparue au cours des débats sur l’article 4 de la loi du 23 février 2005 et désigne quatre lois : la loi du 13 juillet 1990 "tendant à réprimer tout acte raciste, antisémite ou xénophobe" (dite "loi Gayssot"), qui crée le délit de négationnisme du génocide des Juifs ; la loi du 29 janvier 2001 "relative à la reconnaissance du génocide arménien de 1915" ; Extrait : « Article unique. – La France reconnaît publiquement le génocide arménien de 1915 ». la loi du 21 mai 2001 "tendant à la reconnaissance de la traite et de l’esclavage en tant que crime contre l’humanité" (dite "loi Taubira") ; la loi du 23 février 2005 « portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés ».
Exploitation de bois au Congo dans les années 1940. La nuit oubliée.