Google. Semi-conducteurs. Smartph tablets. Réseaux soc etc... Ecomm. Canal+, les abonnements stagnent, la chaine cryptée cherche un deuxième souffle. Faut-il craindre l’externalisation des activités de services ? Le cas de Capgemini. Repères Caractéristiques d’une SSII Les SSII (société de service en ingénierie informatique) sont rattachées au secteur tertiaire.
Dans le monde, les principales SSII classées par le chiffre d’affaires en milliards de dollars (données 2007) sont IBM Global Services (54 milliards), EDS (22 milliards), Accenture (20 milliards), Fujitsu (18 milliards), HP (17 milliards) et CSC (16 milliards). Capgemini est la première SSII européenne avec un chiffre d’affaires de 8 milliards d’euros en 2009 et un effectif global de 90 500 salariés. Relocalisation en France réussie pour les skis Rossignol - Articles de sport. Salon des entrepreneurs : vidéo "Table ronde - L'entreprise sociale et solidaire" Zara, leader incontesté de la "fast fashion" Danone veut tout alléger (première partie) Crédits photo : REA Comme ses yaourts, le groupe Danone entame une cure " light".
En quelques années, le profil du groupe Danone s’est singulièrement modifié : la première marque d’eau minérale distribuée actuellement par l’entreprise ? Ce n’est ni Évian ni Volvic, mais… Aqua, une eau de source livrée exclusivement sur l’immense marché indonésien. Son plus gros succès commercial l’an dernier ? Le boom du yaourt grec aux États-Unis (Oikos), dont les ventes ont plus que doublé en un an. Une publicité pour le yaourt Oikos aux États-Unis Mais à côté de ces succès, plusieurs clignotants se sont allumés, indiquant un début de freinage. Surmonter la mauvaise conjoncture en Europe L'avis de l'expert Philippe Jaegy, vice-président de Solving Efeso : Danone reste un bon modèle qui crée de la valeur autour de la marque. Danone paie chèrement son exposition aux marchés d’Europe du Sud. Plastic Omnium, des poubelles de ville au pare-chocs des BMW. Apparemment, les boursiers estiment qu'il n'y a rien à jeter dans le leader mondial du « conteneur à déchets » - autrement dit, la bonne vieille poubelle, affectée du glissement sémantique qui fait du concierge un « agent de loge » et du balayeur un « technicien de surface ».
L'action Plastic Omnium, qui valait moins de 4 euros il y a dix ans, s'échange à 35 euros aujourd'hui. Cet engouement semble aussi inaltérable que le plastique dont la maison a fait son emblème. Depuis le début de l'année, son titre a progressé de 58 %. Pernod Ricard, plus innovant qu’Apple ou Google, selon Forbes - Agroalimentaire. Le groupe français des vins et spiritueux se classe à la quinzième place du palmarès annuel des 100 entreprises les plus innovantes, du magazine américain.
Voilà de quoi faire grincer les dents des géants américains du numérique ! Le magazine américain Forbes, qui publie pour la deuxième année le palmarès mondial des 100 entreprises les plus innovantes de l’année, a classé le groupe français Pernod Ricard à la 15ème place (soit une place de mieux que l’an passé), devant Google et Apple, respectivement 24ème et 26ème.
Première entreprise tricolore du classement, le géant des vins et spiritueux est également la deuxième européenne, derrière le britannique ARM Holdings dans les semi-conducteurs. Une satisfaction pour le directeur général adjoint en charge des marques de Pernod Ricard. Numérique - Article - YAHOO!, à la recherche d'une vision. Au-delà de l’audience, massive, et de ses résultats financiers, qui déçoivent les investisseurs mais se maintiennent à un niveau acceptable, Yahoo!
Apparaît, face à Google ou Facebook, comme un « empire sur le déclin ». Une entreprise sans vision, mal pilotée, et qui n’a pas de véritable stratégie. Michael Arrington, bloggeur star de la Silicon Valley, écrivait en décembre dernier sur le blog TechCrunch que Yahoo! La presse à l'ère numérique : comment ajouter de la valeur à l'information ? (Note d'analyse 253 - Novembre 2011. La presse à l'ère numérique : comment ajouter de la valeur à l'information ?
La proportion de Français déclarant lire tous les jours un quotidien payant diminue ainsi régulièrement : de 43 % en 1989 à 36 % en 1997 puis à 29 % en 2008. Les raisons de cette crise sont bien connues, mais on peine à dégager les moyens d’y remédier. Le formidable essor d’Internet a en effet créé une très grande facilité de diffusion de l’information que les internautes ont pris l’habitude de consommer de façon gratuite.
Bien qu’en augmentation constante, les recettes publicitaires en ligne sont encore loin de compenser la perte de revenus provoquée par la baisse des ventes de journaux imprimés. De nombreuses formules ont été expérimentées en vue de créer un modèle économique. Tournant le dos au modèle du “tout gratuit” envisagé à l’origine, les sites des journaux font désormais payer une partie croissante de leur contenu. Post-Industrial Journalism. Les as du data journalisme. Presse - Article - Diversifier ses revenus, voie de salut pour la presse en ligne ? Les dix commandements de Douglas Rushkoff à l'ère du numérique (1/3) A première vue, l’auteur de Programm or be programmed est un grand prétentieux.
Son ouvrage, sous-titré « Ten commands for a digital age » - phrase reprise pour le titre version français du livre sortie en février 2012, Les dix commandements de l’ère numérique, fait écho au prêche d’un autre prophète avant lui. Mais Douglas Rushkoff ne prétend pas nous révéler une vérité infaillible. Essayiste affilié au mouvement cyberpunk et théoricien de l’interaction entre culture, technologie et médias, lui qui écrit souvent dans les colonnes du New-York Times nous propose, en fait, « dix principes simples qui pourraient nous aider à tracer notre chemin à travers le monde numérique. » > Ne pas laisser la technologie aux mains des experts « Démocratiser la compréhension des enjeux du numérique » pourrait ainsi résumer l’esprit de son manifeste.
Or, les conséquences d’un tel écart dans la maîtrise des champs médiatiques pourraient cette-fois être bien pire selon Rushkoff. Playmobil, star de Noël inamovible.