Facebook to Buy WhatsApp for $16 Billion. Bernard Jullien : 'PSA - Dongfeng, un partenariat sans précédent. In buying Oculus, Facebook has become Andreessen Horowitz’s billion-dollar candy machine. How Facebook helped create Silicon Valley’s talent free-for-all. New documents released (paywall) as part of a class action antitrust lawsuit that pit 64,613 software engineers against tech companies including Google, Apple, Intel and Adobe give more detail on an alleged conspiracy to drive down wages in the tech industry.
One company that wouldn’t participate in the scheme, according to the papers, was Facebook—which made Google mighty nervous back in 2007. Facebook’s non-participation, and the flood of Google employees that left to join CEO Mark Zuckerberg, was the beginning of a sea-change in the tech labor market. Hiring power shifted away from big, post-IPO companies to rapidly growing startups. Big bonuses and great perks couldn’t compete with the risky but potentially massive benefit of pre-IPO stock from an increasing number of startups.
Google co-founder Sergey Brin saw all that coming in 2007, according to an email (pdf) he sent to colleagues that appeared in the court papers. La nouvelle vie de Bull dans le cloud. Atos a lancé une offre publique d'achat amicale sur le constructeur informatique Bull, ont annoncé les deux sociétés le 26 mai.
L'offre du premier valorise le deuxième à 620 millions d'euros. La transaction a été approuvée par les deux actionnaires principaux de Bull, Crescendo Industries et Pothar Investments, et à l'unanimité par les deux conseils d'administration. Aucun plan social n'est prévu en France. Atos a été alléché par les compétences de Bull dans la cyber-sécurité ou le traitement des données à très grande échelle, autrement appelé le "big data".
Energie. Média. Facebook. Twitter. FAI / opérateurs téléphoniques. Microsoft. Apple. Transport aérien. Automobile. Transport ferrovière. Banques. Divers étrangers. Divers France. Les 50 entreprises les plus puissantes du monde - Journal du Net Economie. Une poigné de firmes multinationales s'accaparent la majeure partie des richesses produites par les entreprises.
Une poignée de multinationales domine le monde. Ce constat n'est pas le fruit d'un groupe d'extrême gauche adepte de la théorie du complot mais d'une étude très avancée de trois chercheurs de l'Ecole polytechnique fédérale de Zürich. Ces derniers ont établi les liens capitalistiques entre les acteurs économiques mondiaux, à partir d'une base de 43 000 entreprises actives en 2007 sur les cinq continents. Ils en ont déduit la part du chiffre d'affaires global directement ou indirectement contrôlé par chaque entreprise. Leur verdict est sans appel : un "noyau" de 147 multinationales contrôle 40% du chiffre d'affaires engendré par les entreprises au niveau mondial.
"La concentration du pouvoir n'est pas forcément un problème en soi", expliquent les auteurs, qui écartent toute idée "d'entente" ou de "conspiration". Méthodologie. Le palmarès des 50 entreprises françaises à la plus forte croissance. Comme chaque année depuis 2001, le cabinet d'audit et de conseil Deloitte a publié son palmarès 2013 des 50 entreprises françaises ayant connu la plus forte croissance ces cinq dernières années.
Le lauréat est cette année la société Ymagis, spécialisée dans les services liés à la numérisation de l'industrie du cinéma. Créée en 2007, elle a atteint l'an dernier un chiffre d'affaires de près de 40 millions d'euros, pour un effectif de 90 personnes. Ce qui correspond à une croissance de 59.096% en cinq ans, selon les calculs de Deloitte. Le podium est complété par le fabricant de logiciels TalentSoft (10 millions de chiffre d'affaires, +9.457%) et Synox Group, qui intervient dans l'univers de l'internet des objets (4 millions de CA, +6.873%).
Il faut quatre conditions pour figurer dans ce classement, ainsi définies par le cabinet auteur de l'étude: 2 - "avoir son siège social en France et ne pas être contrôlée à plus de 50% par un autre groupe" Voici la liste des entreprises du "Fast 50" 2013. The capitalist network that runs the world - physics-math - 19 October 2011.
AS PROTESTS against financial power sweep the world this week, science may have confirmed the protesters' worst fears.
An analysis of the relationships between 43,000 transnational corporations has identified a relatively small group of companies, mainly banks, with disproportionate power over the global economy. The study's assumptions have attracted some criticism, but complex systems analysts contacted by New Scientist say it is a unique effort to untangle control in the global economy. Pushing the analysis further, they say, could help to identify ways of making global capitalism more stable. The idea that a few bankers control a large chunk of the global economy might not seem like news to New York's Occupy Wall Street movement and protesters elsewhere (see photo). But the study, by a trio of complex systems theorists at the Swiss Federal Institute of Technology in Zurich, is the first to go beyond ideology to empirically identify such a network of power.
The Zurich team can. 1.
Google. Téléphonie mobile.