24% des Français utilisent AdBlock. Social Clicks: What and Who Gets Read on Twitter? Abstract : Online news domains increasingly rely on social media to drive traffic to their websites.
Yet we know surprisingly little about how a social media conversation mentioning an online article actually generates clicks. Sharing behaviors, in contrast, have been fully or partially available and scrutinized over the years. While this has led to multiple assumptions on the diffusion of information, each assumption was designed or validated while ignoring actual clicks. We present a large scale, unbiased study of social clicks - that is also the first data of its kind - gathering a month of web visits to online resources that are located in 5 leading news domains and that are mentioned in the third largest social media by web referral (Twitter). Our dataset amounts to 2.8 million shares, together responsible for 75 billion potential views on this social media, and 9.6 million actual clicks to 59,088 unique resources. 24% des Français utilisent AdBlock. 6 in 10 of you will share this link without reading it, a new, depressing study says. (iStock) On June 4, the satirical news site the Science Post published a block of “lorem ipsum” text under a frightening headline: “Study: 70% of Facebook users only read the headline of science stories before commenting.”
Médor. Après «XXI» et «6 Mois», Rollin lancera un hebdo en 2018. C’est le 12 janvier 2018 que les éditeurs des revues de grand reportage XXI et 6 Mois sortiront une nouvelle publication journalistique, hebdomadaire, payante, sans publicité et... en papier.
«Le support papier reste fort en termes de compréhension et de mémorisation, cinq à six fois plus que le numérique. Les études de neurosciences le montrent», justifie Laurent Beccaria, l’éditeur des Arènes et le président de Rollin Publications, la société éditrice de ces revues. Or l’enjeu d’accessibilité «au plus grand nombre» est au cœur des ambitions. À lire aussiUne autre presse est possible. Haïr la presse, c'est haïr la démocratie. Les radios campus étaient présentes aux Assises du journalisme, parmi les nombreux journalistes et spécialistes des médias présents : Laurent Mauduit, Anne-Claire Coudray, David Thomson.
Entretiens sur un métier de plus en plus décrié, et dont l'indice de confiance s'étiole. Prix du journalisme 2017 aux Assises du journalisme pour son livre "Main basse sur l'information", Laurent Mauduit est co-fondateur de Mediapart. Il analyse les médias à l'aube de l'élection présidentielle. David Thomson, expert du milieu jihadiste et reporter à RFI et Radio France, a remporté le grand prix de la presse internationale 2016 pour son livre "Les Revenants" publié aux éditions du Seuil et Les Jours. Sa méthode de travail, son ressenti sur ses cinq années d’infiltration dans les sphères jihadistes et la dé-radicalisation, il raconte.
Bruxelles : quelles failles ? C à vous - 23/03/2016. Le jihadisme, un péril décennal. Ce n'est pas un simple recueil de témoignages de jihadistes français par un grand reporter, David Thomson.
C'est beaucoup plus. Les Revenants (Seuil/les Jours) sont une véritable encyclopédie du jihadisme français, dont le complément est sa première enquête Les Français jihadistes (Les Arènes). Non seulement le nombre des jihadistes interviewés est considérable, une centaine, mais des notes en bas de page et des précisions données dans le corps du texte, éclairent les aspects historiques, géographiques, sociologiques, théologiques. Un précurseur David Thomson a été un précurseur. Un retard a subsisté pour les jihadistes de sexe féminin. Terrorisme et journalisme : la parole qui guérit et qui tue. Opinion.
L'avenir du journalisme. Fake news : Facebook propose désormais de devenir "journaliste certifié" Via une série de "cours" techniques sur l'utilisation de ses outils, Facebook propose désormais une "certification" de journaliste en PDF.
Du vent. La crise de l'après continue de faire rage chez Facebook. Le réseau social a beau marteler qu'il n'est et ne sera jamais une entreprise médiatique (une distinction bien confortable qui lui permet d'échapper aux poursuites, notamment en Allemagne), il doit quand même bien répondre à la pression populaire en prétendant agir contre la diffusion de fake news.
Engager des journalistes pour faire le boulot étant hors de question, Facebook s'échine donc à esquiver le problème en dévoilant des "mesures" qui, en filigrane, montrent clairement son intention de laisser les autres (vous, moi, les entreprises de presse et les consortium de journalistes) s'occuper du sale boulot. Slow journalism : quand les médias changent de rythme. Le slow journalism peut se définir par un nouveau contrat passé avec le lecteur. « C’est plus que de la lecture, c’est de l’immersion », s’enthousiasme Amélie Mougey, journaliste au Quatre Heures, mensuel en ligne à l’aspect attrayant.
Le slow journalism entre en rupture avec le rythme de production et de diffusion de l’information classique. « On essaie toujours d’aller en profondeur [dans l’anayse] des sujets de façon à être à l’opposé d’un média de réaction », revendique Claire Berthelemy de l’Imprévu, magazine en ligne qui s’est fait une spécialité de traiter les sujets survolés par les autres médias.