Cerveau et conscience. Les dendrites, les mini-ordinateurs du cerveau. Les dendrites sont des prolongements cytoplasmiques qui entourent le corps cellulaire des neurones.
Cette étude met en évidence leur rôle primordial, jusqu’ici insoupçonné, dans le traitement des informations nerveuses. © thelunch_box, Flickr, cc by nc 2.0 Les dendrites, les mini-ordinateurs du cerveau - 2 Photos Le système nerveux est constitué de milliards de neurones qui coordonnent leurs efforts pour relayer les informations nerveuses et faire fonctionner l’organisme.
Chaque neurone possède un corps cellulaire entouré de dendrites et un axone dans lequel les influx nerveux circulent sous forme de courants électriques. Ils transmettent ensuite les messages aux autres neurones par le biais de molécules chimiques, appelées neurotransmetteurs, au niveau de terminaisons nerveuses localisées dans les dendrites. Pendant de nombreuses années, les dendrites étaient considérées comme de simples prolongements membranaires impliqués dans le relais de l’influx nerveux jusqu’à l’axone. Notes - 1.1.1 - Le Système Auditif Humain - Le blog de outilsrecherche. E système auditif est en soi une merveille de technologie acoustique et cognitif.
Nous utilisons nos oreilles pour écouter biensûr, mais elles nous permettent également un tas d'autres choses comme la maîtrise de notre équilibre(vestibule) , la compensation automatique de la pression (par les trompes d'Eustaches). Je ne vais étudier ici que les fonctions de l'audition. En effet, pour entendre ou écouter, nous fesons appel à tout un système mécanique, électrique et enfin cognitif, qui avec la plus incroyable des facilités nous permet de décomposer les différentes sources d'un paysage sonore, même bruité, et de donner intantanément un sens à tout cet environnement bruyant qui parvient jusqu'à nos tympans. 1.1.1.1 - Anatomie de l'oreille humaine L'oreille est composée de trois grandes parties : L'oreille externe composée d'un pavillon et du conduit auditif.
Pavillon : Protection et Amplification du signal acoustique Cochlée : Filtrage / Analyse du signal et convertion en flux nerveux Équilibre : Le nerf facial - Introduction. Nos oreilles on y tient ! Le cerveau. Ondes cérébrales. Tinnitus brain. Impact de l´acouphène sur le fonctionnement du cerveau. L'acouphène modifie l'interaction entre les zones cérébrales Une personne souffrant d'un acouphène a parfois des difficultés à se concentrer sur une autre tâche cognitive n'impliquant pas le cortex auditif.
De la même façon, une distraction, par exemple visuelle, peut réduire la perception de l'acouphène. Les différentes aires cérébrales entreraient donc en conflit chez un patient acouphénique, en raison d'une modification des liaisons nerveuses, un phénomène appelée plasticité neuronale. Comment l'apparition de l'acouphène modifie-t-elle les connections du réseau cérébral ? Pour le savoir, une équipe de neurobiologistes et d'ORL de l'université Washington de Saint-Louis (États-Unis), menée par le Dr Harold Burton, a comparé l'activité cérébrale de 17 patients souffrant d'acouphènes sévères à un groupe contrôle de même âge. Mécanisme acouphene. Tinnitus mechanism. Schéma Oreille.
Anatomie oreille acouphene. Des ondes cérébrales inconnues détectées dans le cerveau. Même en état de coma très profond, une activité cérébrale minimale peut subsister.
Cette activité provient de l'hippocampe (en rouge ci-dessus), qui produit des ondes cérébrales appelées "complexes Nu". Crédits : Life Science Databases(LSDB) Des ondes cérébrales inconnues jusqu’à aujourd’hui ont été détectées dans le cerveau d’un patient plongé dans un coma très profond. Une découverte qui montre que, même en coma très profond, une activité cérébrale minimale peut subsister dans le cerveau.
Même en état de coma très profond, le cerveau continue néanmoins d’être actif. Ces ondes, qui n’avaient jamais été découvertes jusqu’ici ont été baptisées « complexes Nu » par les neurologues canadiens. Mais cette découverte, effectuée sur un cas unique, peut-elle être vraiment généralisée ? Résultat ? Cette découverte a été publiée le 18 septembre 2013 dans la revue PLOS One, sous le titre « Human Brain Activity Patterns beyond the Isoelectric Line of Extreme Deep Coma ». Neurones miroirs (I) Une découverte monumentale mais ignorée. En 1996, Giacomo Rizzolatti, neurologue de l’Université de Parme, fit la surprenante découverte des neurones miroirs.
Une découverte qui, bien que très peu connue du grand public, pourrait être à l’origine d’une révolution scientifique majeure dont on ne pressent que quelques contours. 1. Découvertes des neurones miroirs. Evoquer les neurones miroirs en un seul billet risque de laisser de côté nombre d’implications scientifiques mais aussi philosophiques. Ce sujet mérite à lui seul un ouvrage, ce que fit Rizzolatti dont le livre co-écrit avec Corrado Sinigaglia, philosophe des science, a été traduit en français en 2008 chez Odile Jacob.