Islamophobie. Négrophobie. Racisme anti-asiatique. Romaphobie. Les bleus broient du noir? 1.
La peur des étrangers En période de crise, tous les travailleurs prennent peur. Ils ont peur de perdre leur emploi, leur acquis sociaux et leur niveau de vie. Face à cette perte de statut, deux réflexes sont visibles dans la société. Le regroupement avec ceux qui comme nous voient leurs vies menacées par la crise ou au contraire celui du bouc-émissaire. Tout d’abord, il faut objectiver les choses: nous ne sommes pas envahis par les étrangers: seulement 9,7% de la population belge est d’origine étrangère, la majorité étant d’origine européenne ! En ce qui concerne la perception d’allocations de chômage il faut savoir qu’en 2000 la Belgique comptait 63 773 chômeurs n’ayant pas la nationalité belge sur un total de 368, 785 chômeurs.[2] Cela n’est donc pas énorme mais il est vrai que les étrangers représentent une partie assez conséquente des chômeurs.
Plusieurs facteurs expliquent le chômage chez les personnes issues de l’immigration[3] : 2. 3. L’origine sociale. Les mots sont importants (lmsi.net) Etat d'Exception. Mémoire Coloniale – Mémoire Coloniale. Sites de référence féministes, LGBTQI+ et antiracistes. « De façon un peu plus concrète, une femme noire va subir selon les jours et les situations parfois du racisme, parfois du sexisme.
Pour une approche dynamique des études décoloniales. Vous avez dit « race sociale » J’écris cet article pour enfoncer le clou.
Je suis blanc et communiste libertaire comme l’écrasante majorité des personnes qui ont attaqué ma camarade. Dire ceci est central pour ce qui va suivre. Je précise aussi que j’ai l’appui de ma camarade pour écrire ce texte : elle a jugé qu’il était bon de donner mon avis d’anar blanc sur le sujet, elle a relu ce texte et je le publie parce qu’il lui convient. L’anarchisme et l’extrême gauche en général ont un problème avec le concept de race. Le « privilège blanc » : une notion contre-productive pour combattre le racisme ? Lissell Quiroz est docteure en histoire et maîtresse de conférences en civilisation latino-américaine à l’Université de Rouen Normandie. Elle est spécialiste de l’histoire de la médecine et du genre du Pérou des XIXème et XXème siècles. Théorisée aux Etats-Unis à partir des années 1960, la notion de « privilège blanc » est affinée et mobilisée tant par les activistes que par les universitaires états-unien-nes à partir de la fin de la décennie 1980.
Déconstruction de la déconstruction : un point de vue antiraciste – Collectif 1+1=11. Le terme de « déconstruction », et celui de « déconstruit » qui lui est associé, s’est imposé dans le champ militant ces dernières années. Que ce soit dans l’antiracisme, le féminisme ou dans les différentes autres sphères de lutte, il est devenu un adjectif incontournable, partageant le monde entre les « déconstruits » et les autres. Religion, luttes sociales et capitalisme. Ressources anti-racistes à destination des personnes blanches (Belgique) Théo Francken doit être viré, mais l'arbre ne doit pas cacher la forêt. Carte blanche de la Gauche anticapitaliste publiée dans Le Vif du 8 janvier 2018 :
Ni Bouteldja ni Mélenchon, ou le choix cornélien de l’immigration post-coloniale – Politique. En France, deux personnes incarnent très bien, dans leur discours, la difficile combinaison entre préoccupations sociales et prises en compte des réalités des personnes racisées.
Alors que l’actualité européenne ne cesse de mettre en tension ces combats, Houria Bouteldja et Jean-Luc Mélenchon se positionnent étonnamment sur ces sujets. Les dernières élections fédérales allemandes eurent la particularité d’acter le début d’une nouvelle ère politique en Europe avec l’entrée du parti AfD au Bundestag, un tabou électoral fut brisé. Il y avait déjà Victor Orban en Hongrie, le FPÖ en Autriche et le FN au deuxième tour des présidentielles françaises, c’est désormais au tour de l’Allemagne, qui possède pourtant le système politique le mieux balisé contre une telle mésaventure électorale, de voir une formation politique d’extrême droite obtenir 94 sièges et devenir ainsi le troisième parti allemand.
La social-démocratie et la gauche radicale sont à bout de souffle. Violence et régime endocolonial. Le drame qui s’est produit à Anderlecht le week-end passé et la vitesse avec laquelle il fut traité politiquement et médiatiquement imposent un temps de réflexion.
Car le nom d’Adil vient douloureusement s’ajouter à une liste déjà bien trop longue de victimes des violences policières. En outre, certain.e.s relèvent que l’attention portée à sa mort n’aurait pas été aussi importante sans les révoltes de samedi. Il est donc essentiel de s’interroger sur cette violence, et surtout de s’armer intellectuellement face à la réécriture de l’histoire par les dominants et leurs relais médiatiques. De là, construire le rapport de force pour véritablement changer les choses. Du calme, pour laisser la justice faire son travail À la suite d’événements comme ceux de ce week-end, les appels au calme se multiplient rapidement.