Les discriminations à l’embauche minent la cohésion sociale – Libération. "Les épreuves de la vie" de Pierre Rosanvallon. L’ouvrage de Pierre Rosanvallon, Les épreuves de la vie, comprendre autrement les Français tente de déchiffrer les transformations des mouvements sociaux en se basant sur une théorie des épreuves.
J’ai été tout d’abord étonné (voire agacé) par le package marketing de l’œuvre : on ne nous annonce rien de moins que la révélation de « la vraie vie des Français » (p. 9) en nous expliquant que les sciences sociales ont échoué jusque-là dans cette tâche. Finalement, le contenu du livre apporte effectivement quelques éléments de compréhension intéressants, mais en se basant fortement sur les connaissances développées par la littérature de sciences sociales, qui n’était finalement pas si à côté de la plaque. Baptiste Coulmont » Structure sociale et prénoms à la mode. Billet publié le 19/06/2009 Dans “Les enfants de Michel et Martine Dupont s’appellent Nicolas et Céline”, de Guy Desplanques, (Economie et statistique, 1986, n°184, pp. 63-83) on trouve un fort beau graphique.
En s’appuyant sur l’Enquête Emploi de l’INSEE, Desplanques essaie de comprendre comment les prénoms à la mode circulent dans l’espace social. Le graphique est reproduit ci-dessous (car une partie de mon travail, c’est aussi de la science froide, la reproduction de résultats déjà solides). Prenons les 10 prénoms féminins les plus donnés entre 1965 et 1969 et regardons comment les différentes catégories socio-professionnelles les ont utilisés. La couturière du XIXe siècle, télétravailleuse avant l’heure ? – Libération.
Twitter. Twitter. Culture de masse et société de classes - Philippe Coulangeon. Rapport discrimination dans le recrutement des grandes entreprises 2. A 46 ans, Laeticia Hallyday prend le métro pour la première fois. Si certains rêvent de nager avec les dauphins ou de faire le tour du monde, d’autres comme Laeticia Hallyday rêvent de prendre le métro.
A 46 ans, la veuve de Johnny Hallyday a enfin pu réaliser le sien. Ce mardi 14 septembre s’est tenue à Paris une journée en hommage au Taulier. L’Islande se pose en modèle de l’égalité salariale. Et si, désormais, ce n’était plus aux femmes de prouver qu’elles gagnent moins d’argent en raison de leur sexe, mais aux entreprises de justifier en amont que les écarts de salaire dans leurs effectifs ne sont pas liés au genre ?
Depuis 2018, l’Islande applique cette « inversion de la charge de la preuve », et c’est une petite révolution. Le pays nordique détaillera comment celle-ci fonctionne – entre autres sujets –, lors de la deuxième édition de la Journée internationale de l’égalité de rémunération, organisée le 17 septembre. Encore peu connu, cet événement a été créé à l’initiative de Reykjavik en 2019, sous l’égide de la Coalition internationale pour l’égalité salariale. Née en 2018, celle-ci rassemble l’Organisation internationale du travail, l’Organisation des Nations unies, l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et une quarantaine d’autres membres, dont plusieurs pays, syndicats et entreprises.
Du jogging de cité au bleu d’ouvrier, avoir la classe est une affaire de classe. Il vous est déjà peut-être arrivé, au cours de votre été, de croiser de jeunes cadres dynamiques à la barbe bien taillée porter des bleus de travail d’ouvriers BTP, version chics et raffinés.
Le “bleu”, ce vêtement de travail d’une seule pièce, composé d’une veste et d’un pantalon réunis et qui peut être de différentes couleurs, que l’on identifie visuellement le plus souvent en bleu, comme son nom l’indique. On en trouve le plus souvent dans certains quartiers gentrifiés (processus par lequel la population d’un quartier populaire fait place à une classe plus aisée en important aussi son mode de vie et de consommation) de grandes villes à boire des spritz en terrasse telles que Paris, Lyon ou encore Bordeaux.
Moi-même je me suis surpris à penser intérieurement, un demi quart de seconde (à peine) : “han, pas mal du tout, ces bleus !”. De l’ouvrier BTP au fashionista, il n’y a qu’un pas Et ils ne sont évidemment pas les seuls sur ce marché florissant. American CEOs make 351 times more than workers. In 1965 it was 15 to one. Le capital culturel structure-t‑il (toujours) les goûts ? L’exemple des préférences cinématographiques des 18-20 ans. Pierre Rosanvallon : «L’individu peut ressentir beaucoup plus violemment les petites injustices que les grandes inégalités» – Libération. Donati et Milagrès visions de la classe ouvrière. Les confinements auraient nettement réduit les capacités physiques et intellectuelles des enfants. Une baisse sensible des capacités physiques, mais aussi intellectuelles, des enfants… Les effets des confinements successifs liés à la pandémie de Covid-19 sont préoccupants, selon une étude menée auprès de 90 élèves de CE1 et CE2 d’écoles de Vichy, dans l’Allier, et de Riom, dans le Puy-de-Dôme, en septembre 2019 et en septembre 2020.
66 % des jeunes de 11 à 17 ans « présentent un risque sanitaire préoccupant », caractérisé par le dépassement simultané de deux seuils : plus de deux heures de temps d’écran et moins de soixante minutes d’activité physique par jour. – johababou
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Diabète, hypertension : la pandémie de Covid-19 pourrait entraîner une flambée des maladies chroniques « Les chiffres sont catastrophiques », résume Martine Duclos, chef du service de médecine du sport au CHU Clermont-Ferrand, qui dirige l’Observatoire national de l’activité physique et de la sédentarité (Onaps), et coordonne ce travail dont les résultats, préliminaires, ont été soumis à publication.
En un an, l’indice de masse corporelle (IMC, poids divisé par la taille au carré), reflet de la corpulence, a augmenté de 2 à 3 points en moyenne. « Nous n’avons jamais vu ça, s’alarme la spécialiste.