Dépistage et prévention du VIH : le Covid-19 a ruiné les progrès réalisés ces dernières années. Les chiffres ne sont pas bons et ils font craindre le pire aux associations de lutte contre le sida.
La pandémie de Covid-19 a causé une importante chute du dépistage du virus de l’immunodéficience humaine (VIH). Avec 5,2 millions de sérologies VIH réalisées en laboratoires, l’activité de dépistage, qui avait augmenté entre 2013 et 2019, a reculé de 14 % entre 2019 et 2020, révèle Santé publique France (SPF) dans un communiqué, mardi 29 novembre. Entre mars 2020 et avril 2021, le nombre de tests sanguins a diminué de 16 % par rapport à ce qui était attendu, s’alarmait déjà l’Agence nationale de recherche sur le sida et les hépatites virales (ANRS) dans un rapport publié en septembre. Ce déficit n’a pas été compensé par les ventes d’autotests, qui ont diminué de 22 % sur la même période. Le Covid-19 a fait augmenter fortement les cas de dépression et d’anxiété dans le monde. Le résultat en soi est loin d’être une surprise, mais il permet de définir et de détailler l’ampleur de l’impact du Covid-19 sur le moral de la population mondiale.
Selon une étude parue samedi 9 octobre, dans The Lancet, les cas de dépression et d’anxiété ont augmenté de plus d’un quart dans le monde en 2020 en raison de la pandémie due au coronavirus. L’étude est la première à évaluer les impacts mondiaux de la pandémie sur les troubles dépressifs majeurs et les troubles anxieux, en les détaillant par âge, sexe et localisation dans 204 pays et territoires durant l’année écoulée.
Les résultats montrent qu’en 2020 les cas de troubles dépressifs majeurs et troubles anxieux ont augmenté respectivement de 28 % et 26 %. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Des troubles psychiatriques liés au Covid-19 à ne pas négliger. (13) Origines du Covid : on a découvert des coronavirus proches chez des chauves-souris. Covid-19 : le variant Delta provoquerait bien une maladie plus sévère. Les études montrant une dangerosité accrue du variant Delta se multiplient.
Selon la dernière en date, publiée vendredi 27 août dans la revue The Lancet Infectious Diseases, le taux d’hospitalisation des personnes infectées par le variant Delta serait doublé par rapport à une infection par la souche Alpha. Le variant Delta est une forme mutée du SARS-CoV-2, détectée pour la première fois en Inde en octobre 2020. Bien plus contagieux que son prédécesseur, il est devenu la forme dominante du virus dans le monde. En France, il représentait au 3 août 98,1 % des cas de Covid-19, selon Santé publique France. Si la contagiosité accrue du variant Delta ne fait aucun doute, son degré de virulence – sa nocivité – fait en revanche toujours débat. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Le variant Delta provoque des craintes pour la rentrée scolaire. Covid-19 : les personnes infectées développent une immunité robuste et durable. L’immunité face au SARS-CoV-2 de la plupart des personnes infectées dure au moins un an et pourrait persister plusieurs années.
Mieux encore : après une seule injection de vaccin, ces personnes semblent développer une immunité extrêmement robuste, capable de résister aux nouveaux variants. C’est ce que démontrent des publications consacrées à la réponse immunitaire face à une infection naturelle au Covid-19, parues en mai dans des revues ou en prépublication (avant relecture par les pairs). Des résultats très encourageants, alors que beaucoup de pays profitent de l’accalmie de l’été pour accélérer la vaccination de leur population et tenter de reprendre le contrôle de l’épidémie. Tout d’abord, plusieurs études démontrent que la présence d’anticorps persiste dans l’organisme, alors que de premiers résultats soulignaient une forte décroissance au bout de quelques mois.
Le choix gagnant des pays ayant opté pour la stratégie du zéro Covid. Elimination ou atténuation ?
Tout faire pour se débarrasser au plus tôt du virus ou s’accommoder de sa présence et tenter de « vivre avec » − comme l’ont décidé la France et la plus grande part des pays européens ? Partout dans le monde, les deux grandes options stratégiques de gestion de la pandémie de Covid-19 sont au centre d’un intense débat politique. Une dizaine d’économistes internationaux, d’experts en santé publique et de politistes, viennent d’y apporter de nouveaux éléments, qui plaident fortement pour l’élimination. Origines du Covid-19 : l’hypothèse d’un accident à l’Institut de virologie de Wuhan relancée après la divulgation de travaux inédits. L’hypothèse d’un accident de laboratoire comme origine possible de la pandémie de Covid-19 n’est ni majoritaire ni la plus probable, mais elle n’est pas une théorie complotiste : dans une correspondance publiée jeudi 13 mai par la revue Science, une vingtaine de scientifiques de haut niveau appellent à examiner cette possibilité au même titre que celle du « débordement zoonotique » naturel.
Ce bref article ne pouvait mieux tomber. Quelques heures avant sa publication, trois travaux universitaires (une thèse de doctorat et deux mémoires de master) menés ces dernières années à l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) étaient divulgués sur Twitter, par le compte d’un scientifique anonyme, coutumier des révélations fracassantes. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Coronavirus : la dégradation de la biodiversité en question La séquence génétique complète de ce virus – homologue à 96,2 % du SARS-CoV-2 – avait été publiée le 3 février 2020 dans la revue Nature par les chercheurs du WIV.
Anorexie, boulimie… La crise sanitaire provoque une hausse inquiétante des troubles alimentaires chez les jeunes adultes. C’est une autre vague qui grandit, depuis un an, à la clinique des maladies mentales et de l’encéphale (CMME) de l’hôpital Sainte-Anne, à Paris.
Au sein de son unité spécialisée dans la prise en charge des troubles alimentaires, un lit ne reste jamais vacant plus d’une minute. « On a une liste d’attente d’hospitalisation d’une trentaine de personnes, avec pour chaque place libérée au moins cinq à six patientes en situation d’urgence », décrit la chef de clinique Laura Di Lodovico. Depuis le début de la pandémie de Covid-19 et des restrictions qui y sont associées, les cas de boulimie, d’hyperphagie et d’anorexie ont explosé en France, en particulier chez les jeunes adultes qui affluent dans ce centre parisien.
Dans tous les services spécialisés accueillant ce public que nous avons interrogés, on rapporte un même ordre de grandeur inquiétant : une augmentation d’environ 30 % de la demande par rapport aux autres années. Covid-19 : des dégâts collatéraux majeurs chez les autres malades, privés de diagnostic ou de soins. Cent mille morts du Covid-19 en France, mais combien de décès indirects, liés à la désorganisation des soins qui a entraîné une prise en charge trop tardive de certaines urgences vitales et des retards dans le diagnostic et le traitement de maladies graves ?
A l’heure de la troisième vague épidémique, il reste difficile de quantifier avec précision les pertes de chances occasionnées depuis mars 2020 pour les patients atteints d’un cancer ou d’une pathologie cardiovasculaire… « Les morts provoquées par cette pandémie ne se limiteront pas à celles du Covid-19. Il conviendra d’y ajouter les décès, ces prochaines années, de toutes les personnes privées de soins ou de diagnostic », ont alerté vingt-sept associations de patients dans une tribune publiée dans Le Monde le 6 avril. Lire la tribune : « Nous, personnes souffrant de maladies graves, refusons que nos vies soient délibérément sacrifiées » Lille : l’Institut Pasteur prêt à tester son antiviral contre le Covid-19 sur l’Homme dès fin avril. Les équipes lilloises de l’Institut Pasteur ont identifié en laboratoire un médicament capable d’empêcher la réplication du coronavirus.
L’étape suivante, les tests sur l’Homme, nécessite encore deux autorisations. Explication avec Xavier Nassif, le directeur de l'Institut. Covid-19 : les tests naso-pharyngés « ne sont pas sans risque », prévient l’Académie de médecine. Quand il est mal manipulé, ce drôle de coton-tige qui est introduit dans vos narines depuis plus d’un an pourrait s’avérer dangereux.
Le prélèvement naso-pharyngé, procédé utilisé pour détecter les malades du Covid-19, n’est « pas sans risque », a averti jeudi 8 avril l’Académie de médecine. Ce type de prélèvement, opéré grâce à un écouvillon, est devenu « la méthode de référence », que ce soit pour les tests PCR ou les tests antigéniques, dont le résultat est plus rapide, souligne l’Académie dans un communiqué. Un patient sur trois ayant guéri du Covid-19 souffrirait de problèmes psychologiques ou neurologiques ultérieurs. Une personne sur trois qui a surmonté le Covid-19 a eu un diagnostic de troubles neurologiques ou psychiatriques dans les six mois suivant l’infection, selon la plus grosse étude à ce jour sur le bilan mental d’anciens malades du Covid-19.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Des troubles psychiatriques liés au Covid-19 à ne pas négliger L’incidence des atteintes neurologiques telles que les hémorragies cérébrales (0,6 %), les accidents vasculaires cérébraux (2,1 %) et la démence (0,7 %) était globalement plus faible, mais le risque était généralement plus élevé parmi les patients qui avaient été fortement malades. En France, 68 000 personnes seraient mortes du Covid-19 en 2020. La surmortalité 2020 ne cesse d’être réévaluée. L’Insee établit le bilan des morts de cette année particulière à 654 000 personnes en France métropolitaine, rapporte un article de l’Institut national d’études démographiques (INED) publié le 17 mars. On compte donc 55 000 décès de plus qu’en 2019, toutes causes confondues, soit une hausse de 9,2 %. Il s’agit d’un bilan apparemment paradoxal, car le nombre des victimes du Covid durant la même période s’élève, lui, à 68 000 selon l’INED, ou à 65 000 selon le recensement de Santé publique France.
« Nous avons été tels des prisonniers sans avoir le droit de sortir » : pour les personnes âgées, un si long enfermement. « Il faut que l’on sorte le plus vite possible de ce bourbier » ; « Quand pourra-t-on sortir ? » ; « On ne nous donne aucune explication » : ces phrases sont tirées des lettres de Nelly. Certaines se terminent par « Vive la liberté ! » et sont signées « Une internée forcée ». Alcool, tabac, drogues et médicaments… Les addictions, autre dégât collatéral du Covid-19. « Il y a deux choses qui m’ont alerté : je commençais à boire le matin et à cacher des verres, des bouteilles… », raconte Alexis (tous les prénoms ont été changés). Ce mercredi de janvier, ce quadragénaire parisien est venu en consultation au centre de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (Csapa) Rabelais de Montreuil (Seine-Saint-Denis), où il est suivi depuis quelques mois. Cette structure a pour mission, à l’instar des quelque 500 antennes Csapa sur le territoire, « l’accueil gratuit, anonyme et inconditionnel des publics consommateurs de substances », résume Géraldine Talbot, sa responsable.
Pour Alexis, publicitaire et père d’un jeune enfant, tout a dérapé lors du premier confinement, au printemps 2020. En quelques semaines, sa consommation de vin, « déjà un peu au-dessus des recommandations officielles », souligne-t-il, double. Carburant, béquille, l’alcool devient une obsession. Covid-19 : le dépistage massif par prélèvement salivaire est désormais possible en France. Le dépistage massif du virus SARS-CoV-2 par prélèvement salivaire est désormais possible.
Dans un avis, rendu public jeudi 11 février, la Haute Autorité de santé (HAS) autorise le recours à cette méthode dans le cadre de dépistages « à large échelle » sur un groupe fermé (établissement scolaire, Ehpad…). Le caractère « non invasif » du test permet une « acceptabilité » sur les personnes symptomatiques, précise l’instance.
Le test naso-pharyngé – parfois douloureux chez les jeunes enfants – rencontrait une résistance dans les contextes où il n’est pas démontré que le virus circule, comme les opérations de « dépistage aléatoire » mises en place par l’éducation nationale. Le SARS-CoV-2 circulait sans doute en France dès novembre 2019. Grippe, gastro ou bronchite : les mesures anti-Covid-19 ont éteint presque toutes les autres épidémies hivernales. « Lever, travail, coucher : j’ai l’impression de revivre la même journée sans fin » : la grande déprime des Français face à la crise. Le plus dur, ce sont les nuits. Celles où il se réveille et cogite, sans pouvoir se rendormir.
Où il cherche des solutions, longuement, pour mieux passer la crise. « La tête est trop pleine : mon sommeil en pâtit, la fatigue s’accumule », confie-t-il. « Si on fait le choix de garder les écoles ouvertes, il faut être prêt à fermer beaucoup d’autres choses » La chercheuse Vittoria Colizza dirige, à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), un laboratoire spécialisé dans la modélisation des épidémies.
Si la fermeture des écoles n’apparaît pas inéluctable, un nouveau confinement lui semble la seule mesure à même de permettre de reprendre le contrôle de l’épidémie dès lors que le variant britannique − baptisé « VoC 202012/01 » − aura pris le dessus sur les variants historiques. Une vaste étude montre l’efficacité de la colchicine pour traiter la COVID-19. Covid-19 : le variant britannique pourrait être plus létal, prévient Londres. Le premier ministre britannique a douché les espoirs d’un déconfinement rapide du pays, vendredi 22 janvier, malgré le succès de la campagne vaccinale nationale et des niveaux d’infection qui semblent désormais stagner. Entre autres mauvaises nouvelles, Boris Johnson, entouré de ses deux conseillers scientifiques en chef, Patrick Vallance et Chris Whitty, lors d’une conférence de presse depuis Downing Street, a suggéré que le variant « britannique » du nouveau coronavirus « pourrait être davantage mortel en plus d’être davantage transmissible » que la souche initiale.
Apparu pour la première fois dans le Kent à l’automne 2020, ce variant (dénommé VoC 202012/01), désormais prévalent en Angleterre, « se transmet entre 30 % et 70 % plus facilement que le virus souche. La France a connu 9 % d’excédent de mortalité en 2020. En 2020, la France a connu la plus importante mortalité de son histoire récente, selon les chiffres publiés vendredi 15 janvier par l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), qui pourraient encore être revus à la hausse dans les prochaines semaines. Covid-19 : après leur hospitalisation, trois patients sur quatre présenteraient des symptômes durables, selon une étude chinoise. Six mois après l’apparition des symptômes, 76 % des patients sortis de l’hôpital ont déclaré présenter encore au moins un symptôme, les femmes étant plus touchées. Covid-19 : les repas jouent un rôle central dans les contaminations.
Covid-19 : la polémique sur l’origine du virus s’amplifie. Un an environ après son apparition, la polémique rebondit sur l’origine du Covid-19, sa transmission et sa gestion par les autorités chinoises. Un sujet scientifique devenu extrêmement politique. Mardi 1er décembre, la chaîne américaine CNN mais aussi le Wall Steet Journal ont fait de nouvelles révélations. La date ne doit peut-être rien au hasard : c’est, officiellement, le 1er décembre 2019 qu’un premier malade a été repéré à Wuhan, la capitale de la province chinoise du Hubei, présentant les symptômes d’une nouvelle maladie respiratoire. Dépression, troubles du sommeil, anxiété… les inquiétants effets psychiques de la pandémie et du confinement. Dépression, troubles du sommeil, anxiété… les inquiétants effets psychiques de la pandémie et du confinement. Cancers, infarctus, AVC... la double peine des dégâts collatéraux du Covid-19. Covid-19 : le « shelter », un hôpital de campagne d’un nouveau genre déployé à Bayonne.
Le vaccin contre le Covid-19 de Pfizer « ne semble pas adapté à une vaccination de masse » Covid-19 : « Chaque indicateur a ses limites pour évaluer l’évolution de la situation » Traitements du Covid-19 : résultats négatifs pour l’essai Solidarity, confirmant l’inefficacité du Remdesivir et de l’hydroxychloroquine. Covid-19 : comment les scientifiques jugent la stratégie sanitaire française. Covid-19 : le défi des soignants face au mystère des symptômes persistants. Une nouvelle étude sur un car chinois conforte la thèse de la transmission aérienne du coronavirus. Coronavirus : pourquoi tant de contaminations et si peu de morts ? Progression « exponentielle » de l’épidémie en France métropolitaine. Coronavirus : la Russie va expérimenter son vaccin sur 40 000 personnes. La forte proportion de cas asymptomatiques complique la lutte contre le Covid-19. Global Deaths Due to Various Causes and COVID-19.
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