Covid-19 : comment certains malades deviennent des supercontaminateurs. Une progression "exponentielle" de l'épidémie de coronavirus en France selon la Direction générale de la santé. Une progression "exponentielle" de l'épidémie de coronavirus en France, c'est le mot employé par la Direction générale de la santé.
Avec plus de 7000 cas recensés en seulement 24h, l'obligation du port du masque se généralise. Comment est-elle respectée en banlieue parisienne 24h après l'entrée en vigueurde l'arrêté de la préfecture ? Reportage à suivre en Seine-Saint-Denis dans ce journal avec Mathilde Bouquerel. Coronavirus: notre carte de France évolutive du Covid-19 pour suivre l'épidémie.
Coronavirus : nouveaux clusters et taux de reproduction en hausse, quelle est la situation en France ? Vidéo de Science4all _ Les super-contaminateurs. Vidéo (anglais) Simulating an epidemic. Vidéo (anglais) Exponential growth and epidemics. 0le Monde _ Les Décodeurs_ Qu’est-ce que le « R0 », le taux de reproduction du virus ? Alors que l’on s’interroge sur le risque de rebond de l’épidémie de Covid-19, le R0 est l’une des valeurs les plus surveillées en France et à l’étranger.
Ce chiffre, qui est l’un des principaux indicateurs utilisés par les épidémiologistes, doit être interprété avec précaution. Le R0, un indicateur reposant sur trois facteurs Prononcé « R zéro », le R0, ou nombre de reproduction de base, indique le nombre moyen de nouveaux cas d’une maladie qu’une seule personne infectée et contagieuse va générer en moyenne dans une population sans aucune immunité (on appelle les gens sans immunité des personnes susceptibles).
Coronavirus : le Conseil scientifique estime qu'une deuxième vague est "extrêmement probable" Covid-19 : décoder les chiffres du coronavirus. Data science vs fake Diffusé le 1 avril 2020 Depuis le début de l’épidémie de Coronavirus, les chiffres pleuvent.
Le nombre de malades, de décès, les modes de transmission ou la période d’incubation : que nous disent réellement ces données ? Comment décoder et bien comprendre ces statistiques ? Un numéro spécial de la série « Data science vs Fake, saison 2 ». Ce film a été terminé dans la nuit du 31 mars au 1er avril 2020, avec les chiffres actualisés de l’OMS et les données publiées par l’Université John Hopkins de Baltimore pour la datavisualisation de la propagation de l’épidémie.
Réalisation : Pascal Goblot Production : Escalenta, Universcience, Arte G.E.I.E., France Télévisions, avec le soutien du Mesri et du CCSTI La Turbine-Sciences. (124) Coronavirus : confinements solidaires. Nos fiches explicatives sur la maladie à coronavirus Covid-19. Assurer un rôle d'expertise et de conseil.
Rapports, ouvrages, avis et recommandations de l'Académie. Comment explique-t-on que les populations européennes et d'Amérique du Nord semblent être les plus touchées par cette pandémie ?
Quelles sont les hypothèses qui expliqueraient le relatif faible nombre de cas constaté en Afrique ? Il n’y a pas d’explication encore définitive. Bien sûr, le fait que la distribution des âges soit bien plus jeune en Afrique qu’en Europe va dans le sens observé (pour mémoire, en France, chez les sujets hospitalisés seule une petite minorité, 5% des patients, ont moins de 44 ans). Récemment, l’Académie nationale de médecine a piloté une étude apportant des résultats importants: sur la base de données comparatives recueillies de la même façon en zone tempérée (France et Italie), et en zone africaine intertropicale, sa conclusion est que les climats chauds ont un fort effet réducteur sur la transmission de SARS-CoV-2. Coronavirus chez les enfants: pourquoi nous devons protéger les enfants contre Covid-19. Children and young people are vulnerable to the new coronavirus, but the Covid-19 disease appears to be less severe in children than in some older adults, and scientists aren’t sure why.
Chiffres utiles d'un article au titre "peu" nuancé : Covid-19: peu de transmission dans les écoles par les enfants. Des élèves respectent la distanciation sociale dans la cour d’une école élémentaire à Strasbourg, le 22 juin 2020 © AFP Frederick Florin Les enfants de 6 à 11 ans transmettent peu le Covid-19 à l’école, que ce soit aux autres élèves ou aux adultes, un constat « rassurant » au moment où les établissements scolaires rouvrent, selon une étude française rendue publique mardi. « Typiquement, les enfants sont infectés dans les familles, par leurs parents le plus souvent, mais après, transmettent très peu à l’école », explique à l’AFP son auteur principal, Arnaud Fontanet, de l’Institut Pasteur.
Ces travaux viennent confirmer d’autres observations similaires, même si leurs résultats restent préliminaires puisqu’ils n’ont pas encore été publiés dans une revue scientifique, souligne Pasteur. Basée sur des tests de détection d’anticorps, l’étude a été réalisée dans six écoles primaires de Crépy-en-Valois (Oise), commune très touchée par l’épidémie en février-mars. Enseignants peu touchés. Epidemic Simulator. Modele-Jouet Epidémie. Épidémie, nuage radioactif et distanciation sociale.
Le but de ce billet (un peu inhabituel) est d’illustrer de façon simple l’incroyable efficacité potentielle des mesures de distanciation sociale (limiter les rencontres, hygiène, télétravail, fermeture des écoles…) lorsque l’on est face à une épidémie qui vire à la pandémie.
Une épidémie est une réaction en chaîne, et cela change tout sur l’impact potentiel de mesures de ce type, par rapport à d’autres sources de danger. Pour bien le comprendre, imaginons une autre situation : supposons que l’on ne soit pas face à une épidémie, mais à un danger d’un autre type, disons un nuage radioactif (ou chimique). Du fait de la présence du nuage, imaginons qu’il devienne risqué de sortir, que cela puisse nous rendre malade, voire à terme nous tuer.
(Et supposons qu’enfermés chez soi on ne craigne rien). Etalab-covid19-dashboard Suivi de l’épidémie de COVID-19 en France.