Immunothérapie des cancers. Les différentes approches d’immunothérapie Stimuler la réponse immunitaire globale Des molécules solubles participent au fonctionnement du système immunitaire, en particulier les cytokines (famille de molécules comprenant notamment les interleukinesinterleukinesProtéine du système immunitaire, servant de messagers entre les cellules qui le composent. et les interférons).
Synthétisées par certaines cellules en réponse à un signal, elles agissent à distance sur d'autres cellules pour en réguler l'activité et la fonction. Augmenter le nombre ou l’action de ces molécules est une stratégie utilisée pour renforcer la réponse immunitaire. Deux types de cytokines sont déjà utilisées dans ce but : The Cause Of Autoimmune Diseases Like Rheumatoid Arthritis Could Be In Your Fridge. Arthrite : une bactérie cause des maladies inflammatoires. Le 12 octobre 2018 est la Journée mondiale de l'arthrite.
L'occasion de parler des travaux d'une équipe de l'Inserm qui ont identifié une bactérie dont la présence en importante quantité dans le microbiote intestinal serait en partie responsable de la spondylarthrite ankylosante. Les maladies inflammatoires et la composition du microbiote intestinal sont liés Les spondyloarthrites (SpA) sont des maladies articulaires inflammatoires chroniques, caractérisées par une inflammation des articulations de la colonne vertébrale et du bassin. Si le rôle de certains facteurs génétiques, tel l’allèle HLA-B27, a été bien étudié dans le déclenchement ces maladies, celui des facteurs environnementaux, en particulier le rôle possible de la flore bactérienne intestinale (le fameux microbiote), est moins bien connu.
Or, on sait maintenant que la composition de cette flore influe sur le développement des inflammations chroniques. La 2e mutation génétique qui rend résistant au virus du Sida. D'ordinaire, la découverte d'un second gène lié à la résistance au virus du Sida aurait été une bonne nouvelle pour ceux qui le possèdent naturellement.
Mais ce second gène, découvert par une équipe espagnole, est également responsable d'une maladie rare et handicapante. Ces travaux sont publiés dans la revue PLOS Pathogens. "Nous sommes confrontés à une situation in vivo dans laquelle le défaut génétique responsable de cette maladie rare confère une résistance à l’infection par le VIH", expliquent les auteurs dans leur publication. Le Covid-19, un accélérateur de la rougeole ?
Un virus a tué plus de 6 500 enfants en République démocratique du Congo (RDC) et continue de se propager dans le pays.
L’ennemi n’est pas le désormais célèbre coronavirus, qui vient seulement d’atteindre la RDC. Il s’agit plutôt d’un vieil adversaire familier et sous-estimé : la rougeole. Dans ce pays, les cas ont commencé à augmenter depuis octobre 2018. Plusieurs enfants ont été affaiblis, et sont devenus fébriles, avec des yeux rouges et des plaies douloureuses dans la bouche, le tout accompagné d’une éruption cutanée caractéristique. « Depuis, nous courons après le virus », explique Balcha Masresha, épidémiologiste de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l’Afrique, à Brazzaville, dans la République voisine du Congo.
La situation s’est aggravée pour devenir, selon les experts de l’OMS, la plus grande épidémie de rougeole documentée depuis que l’on dispose d’un vaccin contre la rougeole, c’était en 1963. L’autre virus mortel Défaillance L’argent est un problème majeur. Vaccin contre le Covid-19 : où en est-on ? La séquence génétique du SARS-CoV-2, le coronavirus qui provoque le Covid-19, maladie apparue en novembre 2019, a été publiée le 11 janvier 2020.
Ce résultat marqua le point de départ d’une intense activité internationale en recherche et développement visant la mise au point d’un vaccin contre la maladie. L’ampleur de l’impact humain et économique de la pandémie incite à accélérer les recherches sur les vaccins de nouvelle génération, fondés sur de nouveaux paradigmes. Preuve de cette effervescence, le premier candidat vaccin est entré en phase d’essai clinique chez l’homme avec une rapidité sans précédent. C’était le 16 mars 2020. Chats, chiens, canards… et Covid-19. Nadia a été testée positive au SARS-CoV-2 ont annoncé ceux qui en ont la charge.
Ce fut une première, car Nadia est une tigresse, pensionnaire du zoo du Bronx, à New York. Qui plus est, sa sœur, et quelques autres félins du même établissement ont une toux inquiétante, mais devraient se remettre. Ainsi, les animaux, en l’occurrence les félins, seraient sensibles au coronavirus. Doit-on alors s’inquiéter pour la santé de nos chats et autres animaux domestiques ?
Peuvent-ils participer à la propagation de l’agent pathogène ? Difficile d’être catégorique, car plusieurs études récentes apportent des éléments de réponse, sans vraiment trancher. Résultats ? Les anticorps : quelle protection offrent-ils vraiment ? Aux États-Unis, la FDA (Food and Drug Administration) a récemment autorisé, en suivant une procédure d’urgence, un test sanguin pour dépister les anticorps contre le SARS-CoV-2.
C’est une première sur le marché américain. Ce test arrive à point nommé, au moment où les experts et les responsables de la santé voient dans l’immunité d’une large part de la population un moyen d’arrêter la pandémie. Au Colorado, une entreprise qui fabrique un test de détection des anticorps a fait don de kits au comté de San Miguel afin que tous les habitants puissent être testés s’ils le souhaitent. Et en Italie, le gouvernement souhaite faire de l’immunité un passeport pour autoriser le « retour au travail ». Pourquoi le Covid-19 tue plus les personnes âgées. Les différentes statistiques sur les cas de Covid-19 ont un point commun : plus le patient est âgé, plus la probabilité d’une évolution grave voire fatale de la maladie est élevée.
Cela peut sembler évident à première vue, mais en réalité, cette distribution des cas sévères en fonction de l’âge est plutôt inhabituelle pour une pandémie. La grippe, surtout pendant la première vague d’une épidémie, entraîne presque toujours une proportion de décès comparativement plus forte chez les moins de 65 ans, surtout chez les jeunes enfants. En Corée du Sud, en Chine, en Espagne et en Italie, à la mi-mars, il n’y avait par exemple pas un seul mort du Covid-19 parmi les enfants infectés âgés de 0 à 9 ans. Dans la tranche d’âge de 40 à 49 ans, le taux de mortalité (par rapport aux cas confirmés) varie de 0,08 % en Corée du Sud à 0,4 % en Italie et en Chine. Comment fonctionnent les modèles qui prédisent l’évolution de la pandémie. Lorsque Neil Ferguson s’est rendu à la résidence du premier ministre britannique au 10 Downing Street, à Londres, à la mi-mars, il était beaucoup plus près de la pandémie de Covid-19 qu’il ne le pensait.
Neil Ferguson, épidémiologiste et mathématicien à l’Imperial College de Londres, a alors présenté aux membres du gouvernement les derniers résultats des modèles mis au point par son équipe pour simuler la propagation du coronavirus SARS-CoV-2 dans la population britannique. Moins de 36 heures plus tard, il annonçait sur Twitter qu’il avait de la fièvre et de la toux. Un test positif au coronavirus a suivi peu après.
Haro sur les cytokines. Il est suspecté d’être la cause de l’hécatombe imputable au virus de la grippe espagnole (qui emporta de 20 millions à 50 millions, voire 100 millions d’individus) ainsi que du considérable, et anormal pour une grippe, taux de mortalité chez les jeunes adultes, constaté lors de cette pandémie qui frappa le monde à la fin de la Première Guerre mondiale.
Il serait aussi déclenché par le virus H5N1 de la grippe d’origine aviaire (un peu plus de cinq cents cas dans les années 2000). Et il est au cœur de toutes les attentions pour comprendre les formes sévères de l’infection au SARS-CoV-2, le virus responsable de la pandémie actuelle de Covid-19. Il s’agit de l’« orage de cytokines », ou « tempête cytokinique » ou encore « choc cytokinique ».