Le partage de 10 millions de doses du vaccin Pfizer-BioNTech provoque une mini-crise au sein de l’UE. Un accord a été trouvé, mais il a un goût amer pour certains.
Au cœur des discussions : la répartition dans l’Union européenne (UE) de 10 millions de doses du vaccin Pfizer-BioNTech pour laquelle les Etats membres se sont déchirés. Vingt-six chefs d’Etat et de gouvernement et le directeur de l’OMS : « Le Covid-19 met en évidence la nécessité d’un nouveau traité international sur la préparation et la riposte aux pandémies » Tribune.
La pandémie de Covid-19 représente le plus grand défi auquel la communauté mondiale est confrontée depuis les années 1940. A cette époque, les dirigeants politiques ont pris la mesure des ravages provoqués par les deux guerres mondiales et se sont retrouvés pour former le système multilatéral. Covid-19 : l’Allemagne va classer la France en « zone à haut risque » et mettre en place des restrictions aux frontières. La France bientôt classée en « zone à haut risque » par Berlin L’Allemagne va classer la France en « zone à haut risque » face à la pandémie de Covid-19, ce qui devrait entraîner des restrictions à l’entrée sur son territoire, a rapporté, jeudi 25 mars au soir, Angela Merkel. « Lorsqu’on observe les taux d’incidence, c’est tout simplement de fait une nécessité (…), un processus pratiquement automatique », a déclaré la chancelière allemande, lors d’une conférence de presse à Berlin dans le cadre d’un sommet de l’Union européenne (UE) en visioconférence consacré à la lutte contre le Covid-19. « Il ne s’agit pas ici d’une décision politique, mais on constate l’évolution du taux d’incidence, et lorsque ce taux – comme c’est ici le cas – dépasse pendant longtemps le seuil des 200, alors cela entraîne un classement en zone à haut risque. »
Covid-19 : l’Union européenne se résout à la guerre des vaccins contre le Royaume-Uni. Du bout des lèvres, ils ont dit oui.
« Œil pour œil, dent pour dent : avec les Russes, l’UE sait à quoi s’attendre. Avec les Chinois, c’est autre chose. Eux font dans la surenchère » Chronique.
L’Europe est au pied du mur et, si la position est inconfortable pour tout le monde, elle l’est particulièrement pour les Vingt-Sept, peu rompus aux épreuves de force. Il s’agit, après tout, d’un groupe que son haut représentant pour la politique extérieure, Josep Borrell, supplie régulièrement de se mettre à « apprendre le langage de la puissance ». Et visiblement, l’apprentissage prend du temps. Covid-19 : l’Union européenne menace de bloquer les exportations du vaccin d’AstraZeneca.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a menacé samedi 20 mars de bloquer les exportations du vaccin du groupe AstraZeneca si l’Union européenne (UE) ne recevait pas d’abord ses livraisons.
La vaccination a repris dans plusieurs pays européens vendredi, après le feu vert donné par l’Agence européenne des médicaments (AEM). Des retards de livraison qui agacent Le groupe pharmaceutique est sur la sellette en Europe, en raison de retards dans la livraison de doses. Le groupe pharmaceutique AstraZeneca doit livrer au deuxième trimestre 70 millions de doses de son vaccin, beaucoup moins que les 180 millions promis dans le contrat signé avec l’Union européenne.
Au premier trimestre, l’UE devrait avoir reçu au total quelque 30 millions de doses d’AstraZeneca, contre 90 millions prévus par le groupe suédo-britannique. Washington affûte sa stratégie vis-à-vis de Pékin. La stratégie chinoise de Joe Biden commence à se mettre en place.
Le 4 février, lors de sa première visite au département d’Etat en tant que président, le démocrate avait désigné Pékin comme « le plus sérieux compétiteur » des Etats-Unis et affirmé qu’il entendait le contrer en s’appuyant sur ce qu’il avait présenté comme deux piliers de la diplomatie américaine : les alliés et les valeurs. En participant virtuellement, vendredi 12 mars, pour la première fois au niveau des chefs d’Etat et de gouvernement, à un forum régional, Joe Biden a donné une première traduction de ses objectifs, qui s’inscrivent dans la continuité de l’agressivité manifestée à l’égard de Pékin par son prédécesseur, Donald Trump.
Tensions entre les Etats-Unis, la Russie et la Chine après deux cyberattaques majeures. Que se passe-t-il dans le cyberespace ?
Assiste-t-on à un tournant dans l’usage des moyens cyber et à leurs répercussions dans la sphère diplomatique ? C’est en tout cas ce que considèrent de plus en plus d’observateurs. Après une première cyberattaque d’ampleur, officiellement attribuée à la Russie et révélée en décembre 2020, les Etats-Unis doivent gérer depuis début mars les conséquences d’une deuxième opération, majeure, contre un de leurs fleurons informatiques, Microsoft. Vaccins contre le Covid-19 : comment l’Europe tente de combler son retard. C’est désormais un rituel.
Tous les matins, à 5 heures, Thierry Breton échange avec Pascal Soriot, le PDG d’AstraZeneca qui s’est installé en Australie et pour qui l’après-midi est déjà avancé. Pas question pour le commissaire européen de relâcher la pression sur le laboratoire britannico-suédois, qui a failli à ses engagements envers les Vingt-Sept et les a contraints à ralentir leur campagne de vaccination.
Ensemble, les deux Français parlent rendement des usines, goulets d’étranglement, composants chimiques, ou encore partenariats industriels. Plus tard dans la journée, l’ancien ministre, chargé du volet industriel de la stratégie communautaire de vaccination, téléphone à Stéphane Bancel, qui a posé ses valises à Boston (Massachusetts) où il préside la biotech Moderna, et au patron de Pfizer, Albert Bourla, installé pour sa part à Groton (Connecticut).
La Chine, un empire à l’assaut du droit de la mer. Un destroyer de l’US Navy qui passe dans le détroit de Taïwan, début février, au nom de la « liberté de navigation ».
Deux porte-avions américains qui s’exercent de conserve en mer de Chine du Sud quelques jours plus tard. Suivis par dix bombardiers chinois, lancés dans une mission fictive de frappes antinavires. Avant que l’Armée populaire de libération ne lance simultanément ses trois flottes, celles des mers du Nord, de l’Est et du Sud, pour un mois de mars d’exercices tous azimuts… Entre les deux grandes puissances, la saison des démonstrations de force bat son plein, comme pour marquer l’arrivée du nouveau président américain, Joe Biden, à la Maison Blanche. La guerre n’est toutefois pas à l’ordre du jour. Les Etats-Unis n’ont pas signé la Convention des Nations unies sur le droit de la mer adopté en 1982, à Montego Bay (Jamaïque), dont ils sont aujourd’hui les défenseurs les plus bruyants.
Tous ces riverains se heurtent à cette « frontière » dénuée de base légale. « En termes de soft power, le rendez-vous de l’Europe et du vaccin est un fiasco géant » Chronique. Alors que ses voisins européens commençaient à prendre livraison des vaccins anti-Covid-19 commandés par Bruxelles, l’Ukraine, seule au monde, cherchait frénétiquement un moyen de se procurer les précieuses doses. Pour des raisons assez compréhensibles, l’option Spoutnik V, disponible chez le voisin de l’Est un brin envahissant, était exclue. Kiev s’est donc tourné vers son soutien le plus sûr dans l’Union européenne (UE) : la Pologne.
Varsovie, nous a expliqué le ministre ukrainien des affaires étrangères, Dmytro Kuleba, a généreusement offert 1,2 million de son contingent de doses, livrables en avril. Mais confrontée au ralentissement des livraisons de vaccins dans l’UE et aux révisions à la baisse des engagements des laboratoires pharmaceutiques, la Pologne, craignant de ne pouvoir vacciner sa propre population, a reporté son offre à plus tard. Entre les Etats-Unis et leurs alliés européens, des retrouvailles sans effusion. « America first », prétendait Donald Trump. « America is back », se félicite à présent Joe Biden, son successeur à la Maison Blanche. Un slogan empreint d’un optimisme rédempteur, qui suscite autant d’interrogations que de soulagement chez les alliés des Etats-Unis. Pour l’heure, le nouveau président multiplie les messages et les gestes rassurants à leur attention.
Attaques aux rançongiciels : les autorités tentent de contenir la déferlante. Des consultations déprogrammées, des services fermés, des soignants affolés et des experts cyber, dépêchés en urgence sur place. Mardi 9 février, comme si une pandémie ne suffisait pas, l’hôpital de Dax (Landes) a été partiellement paralysé par une attaque informatique, dont le type et la gravité s’accroissent de manière alarmante : une infection au rançongiciel. Ces virus se livrent à une sorte prise d’otage numérique et sont pilotés par des délinquants qui opèrent, la plupart du temps, depuis l’étranger. Lâchés dans un réseau informatique, ces rançongiciels rendent un grand nombre de fichiers inaccessibles, en immobilisant serveurs et ordinateurs des entreprises ou institutions qui en sont victimes.
Les pirates réclament, ensuite, une rançon pour les déverrouiller. Ce scénario catastrophe se répète semaine après semaine, en France et dans le monde. Une menace « exponentielle » Nombre d'attaques publiques par rançongiciel dans le monde. Après celui de Dax, l’hôpital de Villefranche paralysé par un rançongiciel. Déjà éprouvés par le Covid-19, les hôpitaux français ont aussi à batailler contre les attaques informatiques. Après celui de Dax la semaine passée, le centre hospitalier de Villefranche-sur-Saône (Rhône) a annoncé lundi 15 février être victime d’une attaque « d’ampleur », détectée à 4 h 30 du matin.
Cette attaque par le cryptovirus RYUK (un « rançongiciel ») « impacte fortement » les sites de Villefranche, Tarare et Trévoux de l’hôpital Nord-Ouest, précise ce dernier dans un communiqué. Un rançongiciel est un logiciel malveillant qui bloque les données d’un système informatique, qui ne sont plus accessibles qu’après paiement d’une rançon. Les investigations techniques se poursuivent avec l’aide de l’agence nationale de sécurité des systèmes d’information (Anssi). Lire aussi Dans les hôpitaux français, « le vrai, gros piratage n’a pas encore eu lieu » Ordinateurs déconnectés Une cellule de crise a été installée pour organiser le fonctionnement des trois hôpitaux. Le Monde avec AFP. Des mesures très strictes, avec l’espoir de reprendre vite une vie normale : la stratégie « zéro-Covid » est-elle possible en France ?
« Vivre avec le virus », en espérant que le vaccin nous en délivrera tôt ou tard. Telle semble être la stratégie à laquelle la France et nombre de ses voisins se sont résignés, tentant vaille que vaille de contenir la circulation du SARS-CoV-2 sous un seuil « acceptable » – ce qui se traduit toujours par quelques centaines de morts chaque jour, alors que le pays reste au bord de la rupture sanitaire et économique.
« A l’appui de sa stratégie d’influence en Europe, Pékin dispose d’une arme redoutable : les vaccins anti-Covid-19 » Chronique. En Hongrie, le vaccin russe autorisé en dehors des règles habituelles. Dans les tout prochains jours, la première dose de Spoutnik V devrait être inoculée dans l’Union européenne (UE), bien que l’Agence européenne des médicaments (AEM) soit encore loin de l’avoir autorisée. En Italie, l’attelage hétéroclite du gouvernement de Mario Draghi. Comment les vaccins ravivent les tensions entre Bruxelles et Londres. « Nous allons devenir un voisin amical, le meilleur ami et allié que l’Union européenne [UE] puisse avoir. » Ce 30 décembre 2020, Boris Johnson s’exprime devant la Chambre des communes.
En Allemagne, un tabou se lève sur la dette et crée un tollé chez certains dirigeants politiques. Il est des sujets, en Allemagne, qui peuvent très vite enflammer le débat politique. Covid-19 dans le monde : l’UE demande à AstraZeneca de lui livrer les vaccins comme convenu. Face aux variants du Covid-19, l’UE s’engage vers des restrictions à l’intérieur de ses frontières. C’était il y a presque un an. La Chine tisse sa toile commerciale à travers le monde. Négocier avec la Chine, ou pas ? La question taraude de nombreuses chancelleries depuis que Pékin, en pleine guerre commerciale et technologique avec Washington, multiplie les gestes d’ouverture tous azimuts dans le monde entier afin de trouver des relais de croissance moins hostiles. Donald Trump annonce qu’il n’assistera pas à la prestation de serment de Joe Biden, une première depuis 1869.
Etats-Unis : scène de chaos à Washington, des partisans de Donald Trump entrent dans le Congrès, la certification de l’élection présidentielle suspendue. Annuler la dette publique : le ton monte entre les économistes. Washington accuse la Russie d’être derrière une opération d’espionnage informatique. Guerre commerciale : l’Europe s’arme enfin. Les vaccins, nouvelle arme diplomatique de la Chine. Covid-19 : vers une campagne de vaccination coordonnée dès la fin du mois dans l’Union européenne. L’Elysée veut réformer l’aide publique au développement. Les Vingt-Sept suspendus au verdict de l’Union européenne sur les vaccins contre le Covid-19.
Les dirigeants de l’Union européenne s’accordent pour réduire d’au moins 55 % leurs émissions de CO2 d’ici à… 2030. Le plan de relance européen est débloqué. UE : un plan de relance à 25 et veto sur l’accord Brexit si nécessaire, selon Clément Beaune. Pétrole : l’OPEP et la Russie signent un accord fragile. Philippe Lavigne, chef d’état-major de l’armée de l’air et de l’espace : « Nous assistons à une contestation des espaces aériens » Le G20 promet de « ne reculer devant aucun effort » à propos de l’accès aux vaccins. Président Trump, an IV : l’heure de la terre brûlée. Plan de relance : l’UE en quête d’une parade pour lever les veto de Varsovie et Budapest. « Nous avons surestimé nos capacités » : dans le Haut-Karabakh, la débâcle de l’Arménie. Plan de relance européen : une étape cruciale a été franchie. « N’allez pas à la gym, n’organisez pas de dîner. Annulez tout » : la Suède change de stratégie pour endiguer l’épidémie de Covid-19. La Hongrie et la Pologne bloquent le plan de relance européen.
Quinze pays d’Asie et du Pacifique signent un accord de libre-échange autour de la Chine. L’Indo-Pacifique, une alliance XXL pour contrer la Chine. L’UE et les Etats-Unis s’alarment des mesures prises par la Chine contre les députés de Hongkong. Haut-Karabakh : Vladimir Poutine scelle la défaite d’Erevan après l’accord de « cessez-le-feu total » entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan. Comment l’Europe tente d’enrayer la fuite de ses données. Face à l’aggravation de la crise sanitaire, Bruxelles se met en position d’agir.
Face à l’aggravation de la crise sanitaire, Bruxelles se met en position d’agir. Négociations tendues autour de la nouvelle PAC européenne. Les cinq guerres de la Turquie d’Erdogan. Les débats s’enveniment sur le non-respect de l’Etat de droit par la Pologne et la Hongrie. La Pologne et la Hongrie bloquent le plan de relance européen. L’ONU à l’épreuve de la diplomatie à distance. Face à la Chine, un Occident impuissant. La Grèce annonce que le dialogue avec la Turquie va reprendre pour la première fois depuis 2016. La Chine sur le pied de guerre. Immigration : Ursula von der Leyen veut « abolir » le règlement de Dublin qui cristallise les tensions.
Plan de relance européen : les « recommandations » à haut risque de la Commission. Plan de relance européen : les « recommandations » à haut risque de la Commission. Une Europe plus verte, plus numérique et plus « géopolitique » : Ursula von der Leyen veut relancer ses grands projets. La Chine reconnaît plus d’un million de « formations » par an au Xinjiang. Washington proclame unilatéralement que les sanctions de l’ONU contre l’Iran sont à nouveau en vigueur.
La Grèce, premier pays européen à acheter le Rafale. Brexit : l’UE furieuse contre Boris Johnson, qui l’accuse de préparer un « blocus » Boris Johnson justifie son revirement sur l’accord du Brexit pour faire face aux « menaces » de l’UE. Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, menace Emmanuel Macron : « Ne cherchez pas querelle à la Turquie » Le Brexit qui vient pèse sur la fragile collaboration franco-britannique sur les migrants. La hausse de l’euro inquiète la Banque centrale européenne. L’Europe du Sud affiche sa solidarité dans la crise migratoire et face à la Turquie. L’Europe ne se laisse plus séduire par Pékin. La réponse incertaine de la Turquie et de la Grèce à une offre de médiation de l’OTAN. Allemagne : le gazoduc Nord Stream 2 menacé par l’affaire Navalny. Nouvel affrontement militaire entre la Chine et l’Inde dans l’Himalaya. A Beyrouth, Macron obtient des partis libanais un calendrier de réformes.
Sans accord avec l’UE et en plein Covid-19, les Britanniques s’inquiètent d’un possible « Brovid » Difficile tournée diplomatique chinoise en Europe. Les provocations turques en Méditerranée embarrassent une OTAN impuissante. L’UE se dit prête à sanctionner la Turquie faute de progrès dans le dialogue avec la Grèce en Méditerranée. Démission du commissaire européen au Commerce Phil Hogan, emporté par un scandale lié au coronavirus. A Brégançon, Macron et Merkel expriment leurs attentes communes face à la Russie.
Le fonds de relance européen profitera surtout à l’Est et au Sud. Bruxelles approuve, sous conditions, le rachat de Bombardier Transport par Alstom. Les Etats-Unis annoncent le retrait de près de 12 000 soldats d’Allemagne. Jean-Yves Le Drian en visite officielle au Liban, pays de l’hyperinflation et des licenciements massifs. « Une escalade sans précédent » : face à la Chine, la ligne dure s’impose aux Etats-Unis. Pablo Iglesias : « Le dogmatisme néolibéral qui a fait tant de mal à l’Europe du Sud a été corrigé » « Ce n’est pas le contribuable français qui paiera » le plan de relance européen, assure Emmanuel Macron. Après 90 heures de négociations, les Européens adoptent un plan de relance historique.
Pourquoi le plan de relance européen est une petite révolution. 210720 euco final conclusions fr. Ouïghours: l’entrave aux naissances, un critère de génocide. Un emprunt de 750 milliards d’euros et une solidarité difficilement forgée : les Européens s’accordent sur un plan de relance historique. Au quatrième jour d’un sommet laborieux, un nouveau plan de relance va être proposé aux 27. « Bilatérales », coups de gueule et portes qui claquent : à Bruxelles, les coulisses d’une négociation hors normes. Plan de relance européen : après un week-end sous tension, les discussions entre les Vingt-Sept reprennent lundi. Le Royaume-Uni suspend « immédiatement » son traité d’extradition avec Hongkong. Sommet européen : divisés, les Vingt-Sept se retrouvent pour tenter de trouver un accord sur un plan de relance.