Dans sa conquête spatiale, « la Chine veut consolider ses capacités militaires » Marc Julienne, responsable des activités Chine au centre des études asiatiques à l’Institut français des relations internationales (IFRI), a publié, le 20 janvier, une recherche sur « les ambitions spatiales de la Chine ».
Il répond à nos questions avec Isabelle Sourbès-Verger, directrice de recherche au CNRS, spécialiste d’une géographie de l’espace circumterrestre et des politiques spatiales. La Chine est désormais une puissance spatiale majeure, autonome. Mais n’est-elle pas d’abord une puissance spatiale militaire ? Marc Julienne : La plupart des puissances spatiales, dont la Chine, sont d’abord des puissances militaires car leurs programmes naissent souvent dans les forces armées et leurs applications sont à double usage. La Chine cherche à consolider ses capacités militaires. Article réservé à nos abonnés Lire aussi La Chine s’impose comme puissance spatiale. La Russie réinvestit militairement le Caucase. Une région marquée par l’influence russe La Russie s’intéresse dès le XVIIe siècle au Caucase, un carrefour stratégique situé entre mer Noire et mer Caspienne.
La présence de populations chrétiennes soucieuses de protection va y faciliter la pénétration russe. Après l’effondrement de l’Union soviétique au début des années 1990, des conflits « gelés » ou « larvés » apparaissent. Adossés pour la plupart aux frontières occidentales et méridionales de la Russie, ils concernent des entités sans reconnaissance internationale, issues de rébellions séparatistes attisées par Moscou ou de guerres figées depuis des années par des accords de cessez-le-feu mais restées sans solution. Ces guerres peuvent se rallumer, comme dans le Haut-Karabakh, et servir de leviers d’action pour Moscou sur son « étranger proche ». Article réservé à nos abonnés Lire aussi En Azerbaïdjan, l’autocrate Ilham Aliev rendu populaire par la guerre Une région que Moscou veut conserver dans son giron. Sur le mont Blanc, la lutte des glaces entre la France et l’Italie. Nous sommes en septembre 1986, par une belle journée de fin d’été.
Le pape Jean Paul II, en visite pastorale dans la vallée d’Aoste, est dans son élément à la montagne. A Courmayeur, il donne une messe sur le mont Chétif, face au mont Blanc, dans laquelle il dépeint le « toit de l’Europe » comme le symbole d’un continent bientôt réunifié. Au sortir de la cérémonie, il fait à ses hôtes une requête toute simple : celle d’être emmené en hélicoptère sur le sommet.
Mais cette demande plonge les organisateurs dans des abîmes d’embarras. « Quand nous avons contacté les Français, ils nous ont dit : “Le pape, c’est compliqué, c’est un problème international. . ” « C’est absurde mais c’est comme ça : dans le massif du Mont-Blanc, nous ne sommes pas d’accord sur l’endroit où passe la frontière », explique Luciano Caveri. Le Brexit, un nouveau départ pour l’intégration européenne ?
«Le voyeurisme de la dernière chance n’est qu’une des composantes du boom du tourisme polaire» We and our partners store and/or access information on a device, select basic ads, select personalised ads, measure ad performance, develop and improve products, create a personalised ads profile, create a personalised content profile, select personalised content, measure content performance, apply market research to generate audience insights, select basic ads, create a personalised ads profile, select personalised ads, create a personalised content profile, select personalised content, measure ad performance, measure content performance, apply market research to generate audience insights, develop and improve products.
These technologies may process personal data such as IP address and browsing data for ensure security, prevent fraud, and debug, technically deliver ads or content. They may match and combine offline data sources, link different devices, receive and use automatically-sent device characteristics for identification. Contrôlez vos données. Entre Etats-Unis, Inde, Australie et Japon, une alliance XXL pour contrer la Chine. En pleine pandémie de Covid-19, à l’heure où les visioconférences remplacent nombre de sommets diplomatiques, la rencontre de quatre ministres des affaires étrangères, venus spécialement à Tokyo, le 6 octobre, témoignait d’une volonté de marquer les esprits.
Dans le cadre du Dialogue quadrilatéral pour la sécurité (Quadrilateral Security Dialogue ou Quad), Etats-Unis, Inde, Australie et Japon se réunissaient pour discuter stratégie dans l’espace indo-pacifique, face au géant chinois. Quinze pays d’Asie et du Pacifique signent un accord de libre-échange autour de la Chine. Quinze pays d’Asie et du Pacifique ont signé dimanche 15 novembre un important accord commercial, promu par la Chine, à l’occasion de la clôture d’un sommet virtuel de l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (Asean) qui avait débuté jeudi.
Ce Partenariat régional économique global (RCEP) devient l’accord commercial le plus important du monde en termes de produit intérieur brut (PIB), selon des analystes, et concernera plus de 2 milliards d’habitants. Article réservé à nos abonnés Lire aussi La position privilégiée de l’Asie du Sud-Est dans la guerre commerciale Chine - Etats-Unis Libre-échange et propriété intellectuelle. ZEE_France-ultramarins. Xi Jinping veut consolider l’irrésistible ascension chinoise en Afrique.