L'enquête Sumer 2010. Comme les précédentes (1987, 1994 et 2003), l’enquête Sumer 2010 a été réalisée par la Dares et la Direction générale du travail (DGT)-Inspection médicale du travail.
Conçue selon la même méthodologie que les enquêtes de 1994 et de 2003, elle permet de mesurer l’évolution des expositions professionnelles des salariés. Le conseil national de l’information statistique (Cnis) a accordé à l’enquête Sumer 2010 le label d’intérêt général et de qualité statistique. Les publications sur Sumer 2010. Risques psychosociaux. Ce qu’il faut retenir - Risques. Sous l’effet des mutations du monde du travail telles que la complexité grandissante des tâches, la réduction des temps de repos, l’individualisation du travail ou encore les exigences accrues de la clientèle, la prise en compte des risques psychosociaux est devenue incontournable.
Les risques psychosociaux (RPS) correspondent à des situations de travail où sont présents, combinés ou non : du stress : déséquilibre entre la perception qu’une personne a des contraintes de son environnement de travail et la perception qu’elle a de ses propres ressources pour y faire face ; des violences internes commises au sein de l’entreprise par des salariés : harcèlement moral ou sexuel, conflits exacerbés entre des personnes ou entre des équipes ; des violences externes commises sur des salariés par des personnes externes à l’entreprise (insultes, menaces, agressions…). De quoi parle-t-on ? - Les RPS : c’est quoi. C’est quoi les RPS ?
Les risques psychosociaux (RPS) ne sont définis, ni juridiquement, ni statistiquement, aujourd’hui, en France. De quoi parle-t-on ? - Les RPS : c’est quoi. Marie Pezé, docteur en psychologie et spécialiste de la souffrance au travail. Anomie néolibérale et suicide au travail. Résumé Les gestes suicidaires en lien avec le travail se sont multipliés dans le monde ces dernières décennies et risquent d’augmenter dans les années à venir.
On peut les considérer comme l’expression extrême d’une gamme de pathologies individuelles et sociales nourries par la compétition généralisée qui est au cœur du « nouvel esprit du capitalisme ». L’entreprise hypermoderne, illustrée ici par le cas de France Télécom-Orange, représente un microcosme dans le contexte plus large d’une nouvelle « gouvernementalité néolibérale » œuvrant « pour le marché » (selon les expressions de Michel Foucault). Les individus atomisés y deviendraient les simples particules élémentaires de la machine concurrentielle. Ils sont niés dans leur altérité et contraints, sous peine de sanctions, à une obéissance aveugle. Mot-clés : Anomie, gouvernance, honte, identité, mépris, suicide, travail.
Summary Neoliberal Anomie and Work Related Suicide Introduction Marin Ledun [1] Le libéralisme disciplinaire. Management : Marie Pezé : " Les organisations du travail ont créé un climat de solitude" La nouvelle organisation du travail, source de souffrance. Pour répondre au reportage Du harcèlement moral stratégique pour virer facile, publié dans Rue89 le 12 février dernier, il nous semble fondamental de revenir au texte princeps de Philippe Davezies « Les Impasses du harcèlement moral au travail ».
Si la parution du livre de Marie-France Hirigoyen a eu le mérite de permettre à des milliers de salariés de parler de leur souffrance au travail, cette approche du travail fait l’économie de ce qui nous paraît être pourtant l’essentiel : les nouvelles formes d’organisation du travail. Celles-ci génèrent des décompensations psychiques graves sur le lieu du travail. Les modalités d’entretien d’évaluation individuel (alors que par définition le travail ne peut être que le fruit d’un collectif de travail !) C’est la pression des objectifs et des résultats qui remplace au moins en partie les temps imposés par la hiérarchie. Le château où les policiers soignent leur mal-être. Trouvez votre nouvel emploi: Offres et conseils carrière en ligne.
Bore out, caracatérisé par le désintérêt ou l’ennui au travail, est l’opposé du fameux syndrome de burn-out souvent cité.
Trop de travail ou trop peu – les deux situations peuvent rendre malade. Beate Schulze répond aux questions clés concernant le bore-out, le syndrome d’épuisement professionnel. La sociologue et psychologue travaille à l’université de Zurich et fait des recherches dans le domaine de la prévention du stress et du burn-out. Quelles sont les causes du phénomène de bore-out ? Beate Schulze : Le syndrome d’épuisement professionnel, également appelé bore-out, est dû au fait que la personne qui en souffre n’est pas suffisamment sollicitée dans son travail, ce qui fait qu’elle s’ennuie et qu’elle doute d’elle-même et également de la valeur ou du sens de son travail. Mais comment se fait cette évolution ? Le salarié ressent cette situation comme une absence de reconnaissance, l’un des facteurs de stress les plus fréquents. Oui, mais les mécanismes de stress sont différents. Souffrance et Travail. Reconnaître la souffrance au travail - Interview de Marie Pezé.
Japon: le gouvernement veut forcer les employés à prendre des vacances.
Un complément alimentaire s'attaque au marché du burn-out. L'ostéopathie et les outils anti Burn-out. ACT'RH Conseils - Pour une gestion humaine des ressources. Témoignages - types de métiers. Info générales burn out.