Guide appareils mobiles en classe. American Psychological Association. (2006). Multitasking: Switching costs. Retrieved from Awwad, F., Ayesh, A., & Awwad, S. (2013). Are Laptops Distracting Educational Tools in Classrooms. Procedia - Social and Behavioral Sciences, 103, 154–160. doi: 10.1016/j.sbspro.2013.10.320 Baker, W., Lusk, E., & Neuhauser, K. (2012). Le ministère publie un guide des usages BYOD. En publiant le 30 mars un "Guide des projets pédagogiques s’appuyant sur le byod" sur Eduscol, le ministère de l'éducation nationale franchit un pas dans le débat sur l'avenir du numérique dans l'école française.
Sous des dehors de pédagogie, il s'agit surtout d'une sorte de dossier conseil pour développer le BYOD dans le système éducatif. Un choix qui pose problème. Une première critique tient d'abord au choix des termes. BYOD/AVEC, comme le suggère la note au bas de la première page, c'est un choix qu'il faut mettre en regard d'une autre initiale : EIM (Equipement Individuel Mobile), qui n'est cité qu'en annexe à la page 30. On ne peut- qu'être étonné de ce choix car il recouvre deux réalités concurrentes (mélangées dans le document) et en tension : les équipements mobiles mis à disposition des élèves par la collectivité d'une part, les équipements que les élèves amènent d'autre part. L'impression qui ressort de la lecture de ce document est mitigée. Bruno Devauchelle. Guide appareils mobiles en classe. FEI 2016 : Vive le BYOD au collège ?
L'élève qui travaille avec son smartphone personnel modifie-t-il son rapport aux savoirs, aux apprentissages, à l’établissement scolaire ?
Comment concrètement mettre en place au collège un dispositif de BYOD (« Bring Your Own Device » : « apporte ton propre matériel ») ou PAP (« Prenez vos Appareils Personnels ») ? Comment même modifier l’espace-classe pour que l’élève y soit plus actif et plus autonome ? Autant de questions essentielles auxquelles se confrontent Brice Sicart et David Cohen, professeurs d’arts plastiques dans l’académie de Nice. Retour sur leurs expériences et leurs projets, présentés au Forum des Enseignants Innovants 2016. Vous permettez à vos élèves d’utiliser en cours d’arts plastiques leurs outils numériques personnels : pour quels usages exactement ? L'expérimentation « smartphone » a été lancée il y a deux ans. L’usage des smartphones est officiellement interdit au collège : avez-vous dû faire face à des comportements inadaptés ? Exemple de charte. Le BYOD : entre perspectives et réalités pédagogiques.
Par Aurélien Fiévez et Gabriel Dumouchel Un dossier conjoint de L’École branchée et de Carrefour éducation.
Illustration par Mélanie Leroux. Pourquoi utiliser les « BYOD » dans une classe. 8 Shares Share Tweet Email L’idée est intéressante, mais est-ce aussi facile qu’on le dit ?
Le BYOD représente-t-il une ouverture technologique de l’école ou plutôt une complexification pédagogique? Selon plusieurs études récentes, l’utilisation d’un outil précis dans une salle de classe présente déjà des difficultés de gestion au quotidien. Pourtant, certains établissements scolaires (Outre-Atlantique) ont fait le choix du BYOD. À titre d’exemple, le Peel District School Board, en Ontario, propose depuis 2013 aux élèves d’utiliser leur propre appareil. Afin d’intégrer au mieux le projet BYOD dans les écoles, le conseil scolaire a même mis en place des outils pour aider les parents et les élèves. Une vidéo explicative, un guide pour les parents, un code de conduite numérique et un ensemble de ressources pour les parents viennent ainsi aider l’intégration dans les classes. Des questions pertinentes surgissent alors pour le pédagogue : par où dois-je commencer ? Les avantages Les inconvénients. Évaluer avec son téléphone portable.
Plickers Principe Plickers est une application servant à faire des QCM en ligne auxquels on répond avec des cartes.
L’enseignant conçoit son QCM (questionnaire) sur le site Plickers, il importe sa liste d’élèves et leur affecte un numéro de carte. Il affecte ensuite des questions à ses classes. Il imprime ensuite les cartes sur papier et les distribue aux élèves selon le numéro qui leur est affecté sur le site. L’élève donne sa réponse à une question en tournant sa carte de façon à ce que la lettre correspondant à sa réponse soit en haut. Étudiants en BTS SIO 1re année Lycée Geoffroy-Saint-Hilaire / Étampes. Le BYOD : entre perspectives et réalités pédagogiques. Apprendre en mode BYOD (Bring Your Own Device) : Dossier complet. Infobourg, portail réputé sur l’éducatif et le numérique au Canada a mis en ligne fin février 2015 un dossier sur la thématique du BYOD autrement dit le Bring Your Own Device ou en français l’AVAN (« Apportez Votre Appareil Numérique ») : Le BYOD : entre perspectives et réalités pédagogiques.
Le BYOD : Qu’est-ce que c’est et qu’est-ce que ça change ? Ce type de configuration est de plus en plus prisé dans des contextes d’apprentissage, de formation et bien évidemment dans le monde scolaire et éducatif. Si le fait de travailler avec ses outils personnels confère certains avantages, il reconfigure grandement l’environnement d’apprentissage et la relation apprenant – enseignant/formateur/animateur. Ce dossier vise à toute à la fois à marquer des repères sur l’utilisation du BYOD mais également à apporter un éclairage scientifique sur ce nouveau contexte pour comprendre et apprendre avec le numérique. BYOD et contexte scolaire.
A l'heure où le droit à la déconnexion fait son entrée dans la législation française pour les entreprises, le lien que nous entretenons avec nos équipements mobiles personnels dans la sphère privée autant que dans la sphère professionnelle est aisément mesurable.
La peur d'être déconnecté en est devenue une réalité sociale qui porte un nom : la nomophobie. Ce néologisme n'est plus ni moins que la traduction d'une dépendance à notre smartphone. Les récentes études publiées sur l'équipement des foyers français en termes d'outils numériques ne manquent pas de confirmer ce ressenti général. Ainsi, 77 % des adolescents et jeunes adultes de 13 à 19 ans sont équipés d'un smartphone et 68 % d'un ordinateur. L'addictologue Laurent Karila recourt à l'expression “doudou virtuel” pour caractériser cette dépendance se manifestant par une angoisse de ne pas être alerté en temps réel d'une notification sur un réseau social ou d'un message manqué.