Le travail des femmes au XIXe siècle. Contexte historique Si le thème du travail dans la peinture est courant en Hollande, et ce depuis le XVIIe siècle, ce n’est pas le cas en France, où l’on a longtemps jugé ce sujet indigne.
Boucher et Fragonard ont, certes, peint des lavandières au XVIIIe siècle, mais ce n’était là qu’un prétexte pour montrer des scènes galantes et des paysages oniriques.Millet est un des premiers, au milieu du XIXe siècle, à décrire sans détour des scènes de labeur, en l’occurrence celles de paysans ; il ouvrait ainsi la voie à l’exploration d’un thème dans lequel s’inscrivent ces quatre toiles conjuguées au féminin. Analyse des images Au-delà de ce premier point, force est de constater que le traitement varie d’une œuvre à l’autre.
Chez Daumier comme chez Delachaux, il se dégage des personnages une impression de noblesse. Au contraire, La Blanchisseuse suggère clairement la difficulté de la tâche accomplie jour après jour. Chez Degas, l’approche du sujet est différente. Interprétation Animations Liens. Comprendre l'atmosphère fantastique - The Ten Steps. Film d'animation muet : Le Horla, un délire silencieux. "Le Désespéré", tableau de Gustave Courbet (XIXe siècle) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le Désespéré est un tableau du peintre français Gustave Courbet réalisé entre 1843 et 1845. C'est un autoportrait sous les traits d'un jeune homme qui regarde fixement devant lui, les mains crispées dans ses cheveux. Description[modifier | modifier le code] L'œuvre est un autoportrait de Gustave Courbet qui se représente de face, en gros plan, la bouche entrouverte et le regard plongeant dans celui du spectateur. Ses yeux sont écarquillés et ses deux mains semblent lui arracher les cheveux. La source lumineuse vient d'en haut, sur la gauche, et accentue les contrastes.
Histoire du tableau[modifier | modifier le code] Inachevée, surnommée L'Homme rendu fou par la peur, cette gouache sur papier où Courbet se représente date de 1843-1844 (National Gallery, Norvège). On pense que cette peinture (huile sur toile, 45 x 54 cm) a été réalisée entre 1843 et 1845, au début de son installation à Paris. Analyse[modifier | modifier le code] "Danse macabre", musique classique, Camille de Saint-Saëns. Aleksandr Sergueïevitch Pouchkine.
Écrivain russe (Moscou 1799-Saint-Pétersbourg 1837).
Introduction C'est le héros de la lumière et de l'allégresse. Il a la démarche dansante, les lèvres épaisses et gourmandes, l'œil clair, ensoleillé par une flamme intérieure. Nuit et jour, il court les fêtes et le plaisir. Dans ses veines bouillonnent quelques gouttes de sang africain. Rien ne le retient dans son envol, ni la cage dorée des salons, ni l'étreinte des femmes, ni la pesante protection d'un tsar. Edgar Allan Poe. Écrivain américain (Boston 1809-Baltimore 1849).
Les expériences de la jeunesse Journaliste, inventeur, poète, romancier, Poe est surtout connu comme auteur de contes, dans lesquels une imagination morbide, inquiète, jointe à l'emploi de la science-fiction, préfigure certaines tendances de la littérature du xxe s. Aux États-Unis, sa réputation fut longtemps médiocre. C'est l'étranger, surtout la France, qui fit sa fortune littéraire. Découvert en 1848 par Baudelaire, qui le traduit et voit en lui son double, Edgar Poe devient pour Baudelaire, puis pour Mallarmé et Valéry le prototype de l'archange maudit. « Les États-Unis, écrit Baudelaire, ne furent pour Poe qu'une vaste prison qu'il parcourait avec l'agitation d'un être fait pour respirer dans un monde plus normal que cette grande barbarie éclairée au gaz ; sa vie intérieure, spirituelle de poète et même d'ivrogne n'était qu'un effort pour échapper à cette atmosphère antipathique. » Poe naît d'une famille d'acteurs ambulants.
Théophile Gautier. Écrivain français (Tarbes 1811-Neuilly 1872).
Figure marquante de la vie littéraire du xixe siècle, Théophile Gautier aborda autant la critique d'art que le conte fantastique ou le récit historique. Grâce à sa théorie de « l'art pour l'art », il est surtout connu pour être le maître du mouvement poétique du Parnasse. Le romantique engagé Dès 1814, Théophile Gautier quitte ses « montagnes bleues » des Pyrénées et s'installe avec sa famille à Paris. Au collège Charlemagne, il fait la connaissance de Gérard Labrunie (le futur Gérard de Nerval) avec qui il partage un goût pour les poètes latins dits décadents, les « grotesques ».
"La Cafetière", Théophile Gautier, livre audio. "Le Cauchemar", tableau de Füssli, émission. ZOLA, A quoi rêvent les pauvres filles, lecture audio MP3. Découvrir le naturalisme (diaporama)