Research - Eviter que l’hétérogénéité de la zone euro soit accrue après la crise du coronavirus. Natixis Research Global Markets. Sortir de l'euro n'est finalement plus la priorité de Marine Le Pen. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez nos CGU et l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts.
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Une même monnaie, mais des économies nationales fort différentes. Alors que la France a accusé un déficit extérieur de ses paiements courants de 19 milliards d'euros en 2016, l'Allemagne a enregistré la même année un excédent de 261 milliards d'euros. Pas besoin d'être grand clerc pour comprendre que la monnaie unique n'est adaptée ni à l'une ni à l'autre, comme si on voulait faire passer le même costume à «Passe- Partout» , le nain le plus célèbre de France, et au basketteur Tony Parker. Le Fonds monétaire international, qui a des experts chevronnés et impartiaux, a ainsi calculé que l'euro est en réalité sous-évalué d'environ 18% pour l'Allemagne et qu'il est au contraire surévalué de 6,8% pour la France.
Natixis Research Global Markets. Les conséquences d’une sortie de l’Euro – RussEurope. Le décalage entre le taux de change réel de l’Allemagne et celui de la France, tel qu’il a été mesuré dans les études du FMI[1] auxquelles ont a déjà fait référence[2], pose de nouveau le problème de l’Euro, et donc d’une possible sortie de ce dernier.
Si cette sortie s’accompagne d’une dissolution de la zone Euro, ce qui est la plus probable des solutions car on ne voit pas l’Italie et d’autres pays rester dans l’Euro une fois que la France en serait sortie, il convient d’envisager les conséquences économiques de la nouvelle situation. A – 01 – 2017-external-sector-report A – 01 – External sector report 2016 – copie Quels seraient les nouveaux taux de change ? Dans le cas d’une dissolution de la zone Euro, que celle-ci soit consensuelle ou qu’elle soit provoquée par une sortie unilatérale de la zone Euro, on peut penser que les nouvelles parités de change s’établiraient, au bout de quelques mois, autour des niveaux des taux de change réels estimés par le FMI. Effets économiques Graphique 1. L’ombre d’un euro fort plane sur la reprise économique européenne. Le déficit commercial et l’Euro – RussEurope. Les derniers chiffres du commerce extérieur confirment ce que nous savions depuis des années.
L’Euro est, pour la France, un piège mortel. L’accroissement récent du déficit commercial avec les autres pays montre bien la nature même de ce piège[1]. Le problème, ici n’est pas conjoncturel. Le dollar faible envoie l’euro sur des sommets. Les doutes sur l’économie américaine et le raffermissement de la reprise dans l’union monétaire alimentent la hausse de la monnaie unique.
Etrange retournement. Alors qu’en début d’année nombre d’économistes prédisaient que 2017 serait l’année du dollar fort, c’est désormais la hausse de l’euro que la planète finance scrute avec attention. « Le consensus s’est complètement retourné ces dernières semaines », résume Christian Parisot, économiste chez Aurel BGC. Mardi 25 juillet au matin, l’euro valait ainsi 1,1654 dollar, se détendant un peu. Vendredi 21 juillet, au lendemain de la réunion de la Banque centrale européenne (BCE), il avait grimpé à 1,1683 dollar, soit son niveau le plus élevé depuis la fin août 2015.
Avec la «monnaie commune», le FN en pleine confusion. Sortir de l’austérité sans sortir de l’euro… grâce à la monnaie fiscale complémentaire. Via les crédits qu’elles accordent, les banques commerciales privées disposent dans la zone euro d’un quasi monopole de création de la monnaie.
Après les injections massives de liquidités à bas coût de la Banque centrale européenne (BCE) au système bancaire privé, il est clair que ce monopole enferme l’économie européenne dans une trappe déflationniste. Dans les périodes récessives, les banques commerciales sont structurellement incapables d’assurer une création contracyclique de monnaie de crédit destinée aux secteurs productifs. Pour nourrir leurs profits, elles dirigent l’essentiel de leurs liquidités vers les marchés financiers où elles alimentent de dangereuses bulles spéculatives. Ce que l'écartement des taux dit de l'état de la zone euro. L'obsession du « spread » renaîtrait-il en zone euro ?
Cinq ans après la dernière crise sur le marché des taux souverains de l'union économique et monétaire, les écarts de taux à 10 ans (« spreads ») entre l'Allemagne (le pays de référence pour les investisseurs) et d'autres Etats membres de la zone euro sont à nouveau regardés de près. C'est notamment le cas de la France qui a vu l'écart de taux passer de 26 points de base (0,26 point de pourcentage) en septembre 2016 à un plus haut de 86 points de base le 7 février dernier, soit son plus haut niveau depuis début août 2012. Mais la France n'est pas isolée : l'Italie voit également son spread avec l'Allemagne passer au-dessus de 200 points de base (2 points de pourcentage) pour la première fois depuis trois ans.
Le Portugal doit également faire face à des niveaux de spreads proches de ceux de début 2014. Le maintien du risque politique. Il faut renégocier les traités, sinon la zone euro explosera. Etre ou ne pas être dans l’euro.
Etre ou ne pas être dans l’UE. C’est en termes radicaux et binaires que se pose aujourd’hui le débat européen. Une alternative qui s’apparente à bien des égards à celle du choix entre la peste et le choléra. Comme s’il était définitivement acté, que l’euro ne peut pas être réformé. France-Allemagne : qui bénéficie le plus d’une baisse de l’euro ? Il faut parfois se méfier des évidences, en voilà une : « la baisse de l’euro profite d’abord aux pays dont les exportations sont sensibles au prix ».
Et pour mesurer cette sensibilité, il suffit de calculer l’élasticité prix des exportations en volume : à un niveau de gamme élevé correspond une sensibilité aux prix faible. Les travaux (ceux du Trésor, de l’INSEE, du CAE ou de Patrick Artus) ne sont certes pas totalement convergents en la matière, mais ils confèrent au mieux une position intermédiaire à la France, qui plus est en régression par rapport à l’Allemagne, positionnée sur le haut de gamme. La France sortirait donc gagnante, par exemple, d’une baisse de la monnaie unique face au dollar, pas l’Allemagne. C’est, en fait, un peu plus compliqué. Il faut d’abord ne pas oublier que la baisse de l’euro avantage l’industrie et les services exportateurs.
Or l’industrie, c’est encore environ 26% du PIB en valeur en Allemagne contre 14% en France. La conclusion s’impose d’elle-même. Italie : faut-il s'inquiéter du creusement du déficit Target-2 ? L'Italie, maillon faible de la zone euro ?
La Péninsule, qui doit faire face à un référendum indécis mais décisif sur les réformes constitutionnelles de son président du Conseil Matteo Renzi, est touchée par une croissance désespérément médiocre, par un système bancaire plombé par les créances douteuses et par une situation politique tendue. Or, une statistique vient jeter une lumière vive sur la perte de confiance des agents économiques italiens dans leur propre économie, c'est le bilan du dispositif Target-2. Natixis Research Global Markets. Natixis Research Global Markets. Une crise décisive de la zone euro est inéluctable - Décryptage éco. En Finlande, le débat sur la sortie de l'euro prend de l'ampleur. Hormis ceux qui s'imaginent encore que cette belle et bonne monnaie est un facilitateur d'amitié entre les peuples et une prémisse à l'installation d'un éternel été en Europe, les autres, ceux qui ont compris - qu'ils s'en réjouissent ou le déplorent - que l'euro est une bête agonisante, tendent encore trop à croire que le vent de la désintégration sera un vent du Sud.
Entre une Espagne sans gouvernement qui retourne au urnes le 26 juin, une Italie malade de ses banques et de sa dette obèse (2.200 milliards d’euros, 132 % du PIB), une crise grecque qui refait surface sur fond de chantage de l'ex-Troïka et d'un début d'asphyxie financière, on sent en effet que l'Europe du Sud a un potentiel cataclysmique certain. Mais question cataclysmie, le Nord de l'eurozone ne sera pas forcément en reste. Contrairement à ce que l'on croit, certains pays, y compris parmi ceux qu'on a l'habitude de considérer comme des modèles de vertu économique et de bien-être des populations, s'y portent mal. Europe : DiEM perdidi, par Frédéric Lordon (Les blogs du Diplo, 16 février 2016) A n’en pas douter, le lipogramme est un exercice littéraire de haute voltige – en tout cas selon la lettre sacrifiée, puisque le lipogramme consiste précisément à tenter d’écrire un texte en renonçant totalement à l’usage d’une certaine lettre.