Un consommateur paradoxal et rationnel. Même si la consommation des ménages a plutôt bien résisté à la crise, pourquoi le désir de consommer marque-t-il le pas ?
Le consommateur, 100% rationnel et raisonnable, voit ses comportements en matière de recherche d’informations avant l’achat évoluer. Heureusement, le plaisir d’acheter demeure… et reste sous la houlette du budget disponible. Abordons ces paradoxes et frictions avec notre interviewé, Flavien Neuvy, économiste, directeur de L’Observatoire Cetelem. Pourquoi l’envie de consommer est-elle en berne ? Il convient d’abord de rappeler que la consommation des ménages a plutôt bien résisté à la crise. Le consommateur devient-il alors plus raisonnable ?
Le consommateur est un agent économique parfaitement rationnel. Cela induit-il de nouveaux comportements en matière de recherche d’informations avant l’achat ? Flavien Neuvy, économiste, directeur de L’Observatoire Cetelem Absolument. Que sont devenus le « bonheur personnel » et la part de « rêve » induits par l’achat ? (c) ill. Apple, fruit de la passion. Comme Nespresso, Free ou Harley-Davidson, mais à un niveau inédit, Apple a créé des clients dépendants qui deviennent les meilleurs agents de la marque.
Enquête sur les ressorts d'un attachement pas toujours rationnel. LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Par Raphaëlle Rérolle Ce sont de banales files d'attente, mais le monde entier les a vues : des centaines de personnes sagement alignées devant les boutiques Apple - pardon, les Apple Stores - plusieurs heures avant leur ouverture. Tout ça dans l'espoir d'acheter une machine, pourtant disponible à peu près partout, et en quantité largement suffisante, au moins à terme. Le 22 septembre, vingt-quatre heures après son lancement, l'iPhone 5 avait déjà trouvé 2 millions d'acquéreurs, soit le double du 4S, son prédécesseur, et 4 fois plus que son "ancêtre", le 4. Avec un prix de base de 680 euros, l'iPhone 5 est pourtant le téléphone portable le plus cher sur le marché. Et d'une marque très puissante. Psychologie et impact des couleurs en email marketing.
La couleur a un impact sur la perception et l’efficacité des campagnes d’emailing.
On peut d’ailleurs parler dans ce cas de psychologie des couleurs, compte tenu de leurs effets sur le taux de délivrabilité et plus globalement sur le destinataire. Il y a quelques semaines, une amie travaillant dans un grand groupe de publication m’a demandé si j’avais des études à lui fournir pour appuyer les arguments qu’elle défendait auprès d’un client. Celui-ci souhaitait utiliser un arrière-plan noir pour sa campagne d’email. Malheureusement, je n’avais rien de concret à lui présenter mais, en me mettant à la place du destinataire, j’en ai déduis que je n’apprécierais pas recevoir un email semblant sortir tout droit des années 1990.
Effet de mode ou pas, il n’empêche que la couleur a un impact sur la perception et l’efficacité des campagnes d’emailing. Les propriétés psychologiques des couleurs Nous savons tous que les couleurs ont des effets différents sur nos humeurs. (via KISSmetrics) En résumé. La Pyramide de Maslow du Web. La pyramide de Maslow adaptée à l’utilisation d’internet… Voici une réflexion suite à la lecture d’un article déposé sur le blog Webwave par Jérémy Parola.
Le besoin de survie se caractérise par les besoins primaires de l’utilisation d’internet: envoi/réception d’emails, recherche d’informations. Ainsi les moteurs de recherche sont les premier outils pour assouvir ce besoin d’information. Les sites éditeurs vers lesquels redirigent les requêtes en sont la résultante (ex: MétéoCity pour les prévisions météo, CuisineAZ pour la réalisation d’une recette). Le besoin de sécurité : protection des données personnelles et sécurité des paiements sont ceux qui viennent immédiatement à l’esprit. Si nous effectuons un focus sur les données personnelles nous y trouverons celles inhérentes : - aux coordonnées de l’internaute (utilisation intempestive via le spam par exemple), - à la protections des images et de sa vie privé (sécurisation de son e-reputation) La pyramide de Maslow [Les jeudi d’Emilie]