La Négociation Le type de négociation « gagnant/gagnant » (MOUSLI, 2003) – également désigné comme « stratégie des gains mutuels » (GHAZAL et HALIFA, 1992) ou « négociation raisonnée » (FISHER, URY et PATTON, 1998) – est une pratique sociale productive et constructive qui fait appel à des efforts d’innovation et de créativité. Comme le souligne Bellenger, « négocier, c'est construire quelque chose ». Au lieu de soutenir la problématique du partage (qui implique gagnants et perdants) ce genre de négociation cherche à construire un nouvel équilibre qui augmente la valeur de la collaboration entre les parties. Elle garde comme objectif principal la satisfaction des intérêts respectifs et cherche à aboutir à un accord judicieux afin d’obtenir l’essentiel en proposant des réponses acceptables. Basée sur la coopération, sur une vision « partenaire » plutôt qu’adversaire, la négociation « gagnant/gagnant » tient de l’approche commune plutôt que séparée.
L’aventure d’une vie, la campagne poétique de Leroy Merlin Réaction (0) Réagir à cette vidéo Pour commenter cet article, veuillez vous connecter avec votre compte Mon Figaro. Connexion Plus de chaînes Réunies dans un stade de Manille, 1.500 mères ont répondu à l'appel du gouvernement pour faire la promotion de l'allaitement maternel. 1:01 521 vues Le chef multi-étoilé, Joël Robuchon est mort lundi 6 juillet, des suites d'un cancer. "Rafiki" de Wanuri Kahiu, avec Samantha Mugatsia, Sheila Munyiva, Dennis Musyoka. Stars de la télé-réalité, les Kardashian ont construit un empire : audiovisuel, édition, nouvelles technologies, mode, beauté, déco, fitness... "Mary Shelley", un film de Haifaa Al Mansour, avec Elle Fanning, Douglas Booth, Tom Sturridge, Bel Powley, Owen Richards. L'icône du cinéma hollywoodien joue la mère de Soko sous l'objectif de Petra Collins. 1:33 963 vues Depuis les années 1990, Julia Roberts a conquis le cœur du monde entier en incarnant des personnages romantiques, dramatiques et engagés. 2:11 665 vues 2:24 1672 vues 0:40 101 vues
la Pyramide de Maslow du Web | ButterflyWeb La pyramide de Maslow adaptée à l’utilisation d’internet… Voici une réflexion suite à la lecture d’un article déposé sur le blog Webwave par Jérémy Parola. Le besoin de survie se caractérise par les besoins primaires de l’utilisation d’internet: envoi/réception d’emails, recherche d’informations. Ainsi les moteurs de recherche sont les premier outils pour assouvir ce besoin d’information. Les sites éditeurs vers lesquels redirigent les requêtes en sont la résultante (ex: MétéoCity pour les prévisions météo, CuisineAZ pour la réalisation d’une recette). Le besoin de sécurité : protection des données personnelles et sécurité des paiements sont ceux qui viennent immédiatement à l’esprit. Le besoin d’Appartenance et de sociabilisation: le web a révolutionné l’interactivité entre les internautes. Le besoin d’Estime: mise en avant de soi et volonté d’être reconnu. exemple de vidéo du genre: le lipdub de MétéoCity
Kiabi Shopping Connect : Facebook et technologie RFID au service du shopping connecté Le projet de mettre en place des dispositifs Facebook dans les lieux physiques de Kiabi est issu d’unepremière collaboration entre Kiabi, véritable référence régionale du marché de la mode à petits prix, etHobbynote, la start-up lilloise spécialisée dans le développement d’applications sur Facebook. Ce projet est donc l’initiative de deux entreprises du Nord-Pas-de-Calais. Conscientes du potentiel viral et social qu’offre Facebook, les deux entreprises se sont associées une nouvelle fois afin de donner un tout nouveau sens au Shopping connecté, mais il s’agit surtout de l’opportunité d’offrir à la clientèle de Kiabi une expérience d’achat unique et jusque-là inédite en France. Aujourd’hui, les internautes fervents du shopping en ligne souhaitent pouvoir communiquer facilement avec leurs amis, ils ont envie de partager leurs trouvailles et surtout veulent être recommandés, guidés et accompagnés par leurs proches durant leur expérience d’achat. Première étape : se rendre au magasin
L'étude de motivation selon Joannis L'étude de motivation selon Joannis L’acte d’achat est souvent complexe. Le principe de base de la publicité, et de la vente en général, est de stimuler les motivations et de lever les freins. Il faut donc en premier lieu connaître et comprendre le contexte psychologique dans lequel se place le produit ou le service vendu.Ensuite, il faut identifier les motivations et les freins qui entrent en jeu dans l'achat et dans l'utilisation du produit.Dans son livre devenu incontournable, Henri Joannis identifie 3 types de motivations et deux types de freins. Les motivations hédonistes Quête du plaisir physique et intellectuel, facilitation du travail, satisfactions "magiques", ... Magnifique exemple d'une double motivation : hédoniste "le plaisir du chocolat" et auto-expression "conserver la ligne". Motivation oblative : "être une gentille maman et faire le taxi pour sa progéniture". Voir Les repésentations sociales dans la publicité Motivation d'auto-expression, (sans jeu de mot !)
David Wallerstein et les "menus XL" - Toxic World Dimanche 15 août 7 15 /08 /Août 16:30 US - David Wallerstein était un buisnessman américain qui a tout d'abord travaillé dans l'industrie du cinéma en intégrant en 1926, l'année de ses 21 ans, la chaine de cinéma Balaban & Katz au Texas. Diplomé de la Harvard Buisness school, il a vite grimpé les échelons de la compagnie pour se retrouver en charge, dans les année 60s, des ventes de popcorn, sodas et autres confiseries. Mais cette tache s'avère plus difficile qu'il n'y paraissait: les clients ne mordaient pas à l'ameçon des offres promotionelles: "2 pour le prix d'un", "20% de reduction pour la première scéance",.. rien n'y faisait, les ventes stagnaient. Si son idée était bonne, la solution était finallement toute simple: augmenter la taille des portions!.... David Wallerstein fut donc le père du "Supersize", les portions/menus XL en France. Aujourdhui, une taille normale de frites au fast food correspond à une grande taille il y a 30 ans.
Le pouvoir d’écouter Écouter est plus puissant que d’avoir la réponse. Que l’on soit parent, leader, recruteur, chercheur, patron, consultant ou coach, savoir écouter s’impose comme un talent qui peut tout changer. Ce talent en or est au cœur de nombreux moments critiques de nos vies et des organisations. Bien écouter différencie ceux qui appliquent leurs solutions préconçues de ceux qui partent de l’autre pour connecter, évaluer, comprendre, innover et influencer. Une excellente écoute est le signe d’une grande maturité chez les leaders pour communiquer et établir une relation authentique. Et les occasions d’écouter ne manquent pas. Souvent galvaudée, l’écoute va au delà d’entendre l’autre et de lire ses signaux non verbaux. Montez en gamme. Il existe 4 niveaux d’écoute. 1- Écoute formelle 2- Écoute active 3- Écoute empathique 4- Écoute métapositionnelle Les niveaux 3 et 4 sont les plus difficiles à atteindre. Pour obtenir une entrevue qualitative, l’écoute a aussi besoin d’un fil conducteur. 1- Évaluer J'aime :
Acheter une maison ou de la lessive... même mécanismes ? Publié par Emilie Moronvalle le sept 10, 2012 dans le Blog | 0 commentaire Un processus de base Bouclons la boucle sur l’étude de notre consommateur avec le comportement d’achat. Nous avons déjà vu les variables qui sont propres au consommateur et son processus de décision. Mais qu’en est-il du processus d’achat ? Après l’achat, c’est fini ? Il s’agit d’un facteur ESSENTIEL à prendre en compte. Si vous voulez fidéliser votre client et renforcer votre image, à vous de jouer les marketers ! Regardez plutôt ce tableau, il vous permettra d’y voir un peu plus clair… Vous pouvez maintenant « ranger » votre produit dans l’une de ces catégories pour anticiper l’implication de votre futur acheteur et y adapter votre stratégie marketing. Un outil bien utile Vous avez maintenant toutes les clés en main avec ces 3 conseils de février pour connaître votre consommateur et l’appréhender au mieux ! A vous de jouer, et n’hésitez pas si vous avez besoin de compléments
L'écoute active L'écoute active Comment pratiquer l’écoute active? Pour simplifier, considérons qu’il s’agit de savoir écouter et de savoir activer l’expression de l’interlocuteur. bien écouter, c’est d’abord être en EMPATHIE, ce qui revient à isoler soigneusement ce qu’exprime votre interlocuteur de ce que nous ressentons nous-mêmes en l’écoutant (en particulier sympathie ou antipathie). Il ne faut pas pour autant chercher à effacer ses sentiments (apathie). bien écouter, c’est aussi manifester une ATTITUDE COMPREHENSIVE au sens des attitudes de PORTER. C’est d’abord se taire lorsque votre interlocuteur parle ou lorsqu’il cherche la suite de ses idées: la première technique d’écoute active est donc LE SILENCE. Ainsi votre interlocuteur reconnaîtra comme dans un miroir l’image de ce qu’il a dit ; cette image l’aidera à clarifier son point de vue et à l’approfondir (la reformulation a un effet de “rebond”) : ainsi, il se sentira compris et encouragé à s’exprimer. Source:www.inh.fr