Le marché et la distribution des cosmétiques bio et naturels. Une étude de marché exclusive pour :
Chiffres Beauté 2020 & Tendance Marché - France & Monde. 31,3 %.
C’est le pourcentage de consommateurs qui déclarent avoir acheté en ligne au moins un produit cosmétique au cours de l’année 2020, faisant du secteur de la beauté le 4ème marché e-commerce en terme de nombre de clients. Ce pourcentage devrait continuer de croître en 2021. En France et à l’international, le secteur de la beauté et des cosmétiques est en plein essor depuis plusieurs années, et plus particulièrement sur le web.
Tous les ans, les ventes de produits cosmétiques en boutique diminuent au profit des ventes en ligne. Dynamisé notamment par des influenceurs populaires et très influents, l’innovation produit dont font preuve les marques et les nouvelles technologies digitales, le marché de la beauté est un secteur porteur auquel les consommateurs consacrent une bonne partie de leur budget. Cosmétiques BIO, un marché en plein éclat - Les Phytonautes. Les produits cosmétiques et d’hygiène classiques sont de plus en plus montrés du doigt à cause de certains ingrédients pouvant être dangereux pour la santé.
Par conséquent, les consommateurs(-trices) se tournent plus facilement vers les cosmétiques biologiques. Quelles sont les nouvelles tendances sur ce marché et les nouveaux produits ? Cosmétique et hygiène BIO, un marché en forme Selon les chiffres du Baromètre Agence BIO/CSA 2017, 43% des Français ont achetés des produits cosmétiques BIO en 2016 contre seulement 24% en 2013. Il existe donc un réel engouement pour ces produits plus naturels pour l’hygiène et le soin de la peau, des cheveux… L’association Cosmebio annonce que d’ici 2020 1 consommateur sur 2 aura un cosmétique BIO dans sa salle de bain ! Les 3 premiers critères de sélection au moment de l’achat d’un cosmétique dans les rayons est dans l’ordre : le label, la marque puis la liste des ingrédients.
Les nouveautés en cosmétiques sur le salon Natexpo Sources : Cosmétiques : à la recherche du « naturel » Cosmétiques : à la recherche du « naturel » - PDF, 250 Ko Autorité de surveillance du marché des cosmétiques, la DGCCRF vérifie la conformité des produits commercialisés sur le territoire national et veille à la loyauté de l’information délivrée aux consommateurs.
L’enquête menée en 2019 démontre l’existence d’allégations insuffisamment justifiées, une absence de traçabilité de certains produits et la présence de substances interdites ou d’allergènes non mentionnés dans la liste des ingrédients. Qu’est-ce qu’un cosmétique « naturel » ou « biologique » ? Les produits cosmétiques naturels ou « bio » contiennent en proportions variables des ingrédients naturels et/ou « bio ». Si la teneur en ingrédients bio dans un produit annoncé comme bio est inférieure à 100 %, elle doit être indiquée. Dans les deux cas, tout ingrédient d’origine pétrochimique est exclu. Un ingrédient bio est composé d’ingrédients ou de matières premières biologiques. Les résultats de l’enquête 2019.
Cosmétiques : la crise a accéléré les tendances au bio et au « Do-It-Yourself » À quoi bon se maquiller lorsqu’on est confiné ?
Pourquoi diable sortir le tube de rouge à lèvres lorsque l’on doit porter un masque ? Entre confinement et changements des comportements, la crise sanitaire ébranle aussi le secteur de la beauté. Du côté des entreprises, le Français L’Oréal a par exemple vu son bénéfice net reculer de plus de 21 % au premier semestre, à 1,82 milliard d’euros. L’américain Estée Lauder a vu ses ventes reculer de 32 % et a subi une perte de 388 millions d’euros. → À LIRE. . « L’industrie cosmétique a souffert du confinement, avec des différences sensibles selon les circuits et les produits, confirme Patrick O’Quin, président de la Fédération des entreprises de la beauté (FEBEA). Boom des ventes en ligne, retour au maquillage naturel « Quelques produits s’en sortent mieux, précise cependant Patrice O’Quin.
On note aussi un retour à un maquillage plus naturel. « La tendance au bio-naturel a été dopée par le confinement », confirme Patrick O’Quin.